mercredi 19 octobre 2011

BRUCKNER:SYMPHONIE NO.7


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BRUCKNER:SYMPHONIE NO.7 Reviews and Opinions



6 internautes sur 10 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
legendaire, 29 août 2008
Par Heyraud Bernard "BH" (paray le monial , france) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Bruckner : Symphonie n° 7 - Karajan Gold (CD)
dernier enregistrement du maestro (avril 89,il disparait trois mois plus tard). Sonorite translucide , presque irreelle ; le philharmonique de Vienne eblouissant . Des musiciens au sommet de leur profession qui temoignent leur estime et leur gratitude . Des artistes . Il est des carrières qui se terminent plus mal !
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6 internautes sur 12 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Inegal, 18 octobre 2007
Par Denis Urval (Paris, France) - Voir tous mes commentaires(TOP 10 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Bruckner : Symphonie n° 7 - Karajan Gold (CD)
Durant sa longue carrière, Karajan a reussi de grandes choses (dans Richard Strauss, ou surprise, la seconde Ecole de Vienne), mais pas seulement. Même s’il emane d’un chef qui a très frequemment dirige Bruckner, cet enregistrement avec Vienne est pour une part très beau, mais aussi pour une part decevant, et ce n’est pas le fait qu’il s’agisse de son dernier, comme le rappelle l’editeur, qui y change quelque chose. Le premier mouvement est le plus problematique. Il ne se passe rien pendant les premières minutes ; l’orchestre est opulent et race, oui, mais cela ne saurait suffire. Un peu avant 5’ la progression n’a vraiment rien d’ineluctable. Tout est etale, statique, au mieux joli. Le mouvement lent est bien meilleur, avec des teintes très chaudes, une ambiance crepusculaire. Karajan, le Visconti de la direction d’orchestre Le Scherzo manque à nouveau d’elan, même si le Trio et le Finale retrouvent les couleurs et les qualites du mouvement lent. Alors, on peut se laisser tenter, mais je pense qu’il faut à l’interpretation de Bruckner une forme de tension interieure qui ici fait plus d’une fois defaut.
Je retiendrais par exemple dans cette ½uvre Celibidache en concert en juin 1971, avec l’orchestre de Stuttgart, publie naguère par Arkadia, et qu’on trouve depuis chez DG dans un coffret des symphonies 7/8/9 : très sensuel et fluide dans le premier mouvement, incomparablement tendre dans le second.
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 Remarques sur ce commentaire (2)
8 internautes sur 22 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Bruckner VII.Symphonie, 28 juin 2005
Par Mr. Mellow - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Bruckner : Symphonie n° 7 - Karajan Gold (CD)
En cette enregistrement (IV.1989), il maestro Herbert von Karajan (1908-1989) et l’Orchestre Philharmonique de Vienne eclipsent l’interpretation normal de Bruckner VII.Symphonie. L’O.P. de Vienne sont fatastique; fort et agile. Ils sont parfait vraiment.C’est le dernier enregistrement de maestro Karajan. Et c’est grand.
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