mardi 26 juillet 2011

Magnificat / Les Laudes


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Magnificat / Les Laudes Reviews and Opinions



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5.0 etoiles sur 5
En particulier, pour le « Magnificat », l’un des chef-d’oeuvre de Jean-Louis Florentz, remarquablement interprete, 16 avril 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Magnificat / Les Laudes (CD)
Jean-Louis Florentz est ne à Asnières en 1947. De 1971 à 1975, il fut elève au Conservatoire de Paris, et eut comme professeurs Olivier Messiaen (1908-1992), Pierre Schaeffer (1910-1995) et d’Antoine Duhamel (ne en 1925). Pensionnaire à la Villa Medicis à Rome de 1979 à 1981, il enseigna en 1981 et 1982 la composition et la musique africaine occidentale au Kenyatta University College de Nairobi (Kenya). Il devint alors professeur d’analyse des musiques de tradition orale au Conservatoire National Superieur de Musique de Lyon, jusqu’en 2000. Il a en outre ete elève-titulaire à l’Institut d’etho-musicologie des communications animales de l’Ecole Pratique des Hautes-Etudes où il a travaille en particulier sur les polyphonies des oiseaux en milieu equatorial. Il est mort à Paris en 2004 .
D’un caractère rugueux et passionne, solitaire, Florentz etait un artiste profondement libre et independant. Parmi ses oeuvres majeures, on peut citer le « Magnificat - Antiphone pour la Visitation » Op. 3, pour tenor, choeur mixte et orchestre (1980), les « Laudes - Kidân za-nageh » Op. 5, sept pièces pour orgue (1985), « Debout sur le Soleil » Op. 8, chant de resurrection pour orgue (1990), « Asmarâ » Op. 9, pour choeur mixte à cappella (1992), « Le Songe de Lluc Alcari » Op. 10, pour violoncelle et orchestre (1994), « L’Ange du Tamaris » Op. 12, pour violoncelle solo (1995), « Les Jardins d’Amenta » Op. 13, conte symphonique pour grand orchestre (1997), « L’Anneau de Salomon » Op. 14a, danse symphonique (1999), « L’Enfant des Iles », poème symphonique pour grand orchestre Op. 16 (2002), et « Qsar Ghilâne, ou Le Palais des Djinns » Op. 18, poème symphonique pour orchestre (2003).
« Sens profond de la nature. Aspiration vers l’infini. Esprit voue à la contemplation et, parallèlement, oriente vers les sciences. Pensee et oreille attentives aux rites de civilisations lointaines. Influence des musiques extra-europeennes. Echos du monde des insectes, comme de celui des oiseaux et de toute une vie animale secrète et fremissante - tout ceci associe à la liturgie. Par-dessus tout, spiritualite profonde. Telles sont les particularites que me semble reveler la musique de Jean Louis Florentz. Telles sont, en tout cas, les remarques que m’inspirent aussi bien la lecture de la partition de son Magnificat dont la creation m’avait laisse une vive impression. A chaque nouvelle approche de cet ouvrage, je retrouve à la fois le foisonnement d’idees et l’imagination sonore qui m’avaient dejà seduit dans sa partition anterieure, Tenere, outre des qualites de "fini" dans la mise en oeuvre que j’apprecie particulièrement. Enfin, j’y decouvre à nouveau un sens aigu du mystère sans lequel, pour moi, il n’est pas de vraie musique. » (Henri Dutilleux).
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