lundi 4 juillet 2011

Mendelssohn : Symphonie n° 3 « Ecossaise » ; n° 4 « Italienne » / Ouverture « Les Hébrides »


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Mendelssohn : Symphonie n° 3 « Ecossaise » ; n° 4 « Italienne » / Ouverture « Les Hébrides » Reviews and Opinions



2 internautes sur 2 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
La peinture est encore fraîche, 3 janvier 2008
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Mendelssohn : Symphonie n° 3 « Ecossaise » ; n° 4 « Italienne » / Ouverture « Les Hebrides » (CD)
Hormis la version de Paul Paray à Detroit, cette « Symphonie Ecossaise » gravee par Antal Dorati à Londres en mai 1956 demeure à ma connaissance la plus flagrante de la discographie. Les micros de la Mercury expliquant sans doute cela...
Les brumes des Highlands sont ici balayees par la bourrasque, et les paysages de la lande paraissent dans leur rocailleuse nudite.
La clarte des plans sonores, les reliefs burines, les lignes cambrees et electrifiantes (la decharge des contrebasses au debut du finale !) sont aiguillonnes au vif.
La subtilite des ambiances, que Peter Maag evoquera en fin paysagiste en fevrier 1957 au Kingsway Hall avec la même phalange (Decca), est ici sacrifiee au profit d’un impact qui touche le coeur de la cible.
Tout aussi anthologique, cette "Grotte de Fingal" exacerbe les contrastes rythmiques et dynamiques : l’acuite du trait rivalise avec les vives chamarrures de couleurs.
Mais le chef hongrois se ferait presque ravir la vedette par le complement de programme, sous la baguette de Stanislaw Skrowaczewski au pupitre de l’orchestre de Minneapolis qu’il avait lui-même precedemment dirige entre 1949 et 1960.
Dans cette Symphonie n°4, il faudrait eplucher les annales pour en trouver une lecture aussi alacre et pimpante.
L’allegro vivace retendu en seulement 7’15 s’incarne pourtant avec la plus parfaite diction qu’on n’ait jamais entendue, tous tempi confondus.
La virtuosite des archets est stupefiante. La nettete du contrepoint en est obsedante, mais ne se paie certes pas de secheresse tant les instrumentistes americains usent d’une palette dense et saturee.
Quant au Saltarello final, il vous secoue en tous sens jusqu’à vous mettre bas du fauteuil !
Une « Italienne » tracee à la mine et coloriee à la gouache, vous en rêviez La voilà !
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