mardi 1 novembre 2011

Henze;Symphonies 1


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Henze;Symphonies 1 Reviews and Opinions



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Les six premières Symphonies de l’un des plus grands symphonistes de notre temps, 14 août 2010
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Henze;Symphonies 1 (CD)
Les cent dernières annees ont vu la composition de plusieurs cycles de symphonies de très grande qualite, depuis celui de Guy Ropartz (1864-1955) à celui de Erkki-Sven Tüür (ne en 1959), en passant par celui d’Alexandre Glazunov (1865-1936), de Jean Sibelius (1865-1957), de Wilhelm Peterson-Berger (1867-1942), de Charles Tournemire (1870-1939), de Ralph Vaughan Williams (1872-1958), de Hugo Alfven (1872-1960), de Charles Ives (1874-1954), d’Havergal Brian (1876-1972), de Natanael Berg (1979-1957), de Jan van Gilse (1881-1944), de Karl Weigl (1881-1949), de Nikolaï Miaskovsky (1881-1950), de Georges Enesco (1881-1954), de Gian Francesco Malipiero (1882-1973), d’Arnold Bax (1883-1953), d’Egon Wellesz (1885-1974), d’Heitor Villa-Lobos (1887-1959), d’Ernst Toch (1887-1964), de Kurt Atterberg (1887-1974), de Bohuslav Martinü (1890-1959), de Serge Prokofiev (1891-1953), d’Arthur Honegger (1892-1955), de Darius Milhaud (1892-1974), de Jean Absil (1893-1974), d’Erwin Schulhoff (1894-1942), de Walter Piston (1894-1976), de Paul Hindemith (1895-1963), de Boris Lyatoshinsky (1895-1968), de William Grant Still (1895-1978), d’Howard Hanson (1896-1931), de Richard Flury (1896-1967), de Roger Sessions (1896-1985), de Jean Rivier (1896-1987), d’Alexandre Tansman (1897-1986), de Roy Harris (1898-1979), de Marcel Mihalovici (1898-1985), de Robert Casadesus (1899-1972), de Carlos Chvez (1899-1978), de George Antheil (1900-1959), d’Ernst Krenek (1900-1991), d’Edmund Rubbra (1901-1986), de Conrad Beck (1901-1986), de Vissarion Chebaline (1902-1963), de Gavriil Popov (1904-1972), de Karl Amadeus Hartmann (1905-1963), d’Eduard Tubin (1905-1982), de William Alwyn (1905-1985), d’Eugène Bozza (1905-1991), de Benjamin Frankel (1906-1973), de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) bien sûr, mais aussi de Paul Creston (1906-1985), d’Arnold Cooke (1906-2005), d’Ahmed Adnan Saygun (1907-1991), de Camargo Guarnieri (1907-1993), de Miloslav Kabelc (1908-1979), de Vagn Holmboe (1909-1996), de William Schuman (1910-1992), d’Allan Pettersson (1911-1980), d’Alan Hovhaness (1911-2000), de Donald Gillis (1912-1978), de Daniel Jones (1912-1993), de George Lloyd (1913-1998), d’Humphrey Searle (1915-1982), de Vincent Persichetti (1915-1987), de David Diamond (1915-2005), d’Isang Yun (1917-1995), de Richard Arnell (ne en 1917), de George Rochberg (1918-2005), de Lex van Delden (1919-1988), de Cludio Santoro (1919-1989), de Mieczyslaw Weinberg (1919-1996), de Galina Oustvolskaïa (1919-2006), d’Alexander Lokshin (1920-1987), de Peter Racine Fricker (1920-1990), de Robert Simpson (1921-1997), de Malcolm Arnold (1921-2006), de Francis Thorne (ne en 1922), d’Einojuhani Rautavaara (ne en 1928), d’Avet Terterian (1929-1994), de John Davison (ne en 1930), d’Aubert Lemeland (ne en 1932), de David Morgan (ne en 1932), de Jaan Rääts (ne en 1932), d’Easley Blackwood (ne en 1933), de Jacques Charpentier (ne en 1933), de Krzysztof Penderecki (ne en 1933), d’Alfred Schnittke (1934-1998), de Peter Maxwell Davies (ne en 1934), de Guia Kantcheli (ne en 1935), d’Aulis Sallinen (ne en 1935), de Philip Glass (ne en 1937), de Valentin Silvestrov (ne en 1937), de William Bolcom (ne en 1938), de William Thomas McKinley (ne en 1938), de Boris Tishchenko (ne en 1939), de Leif Segerstam (ne en 1944), de Peteris Vasks (ne en 1946), de Jean-Claude Wolff (ne en 1946), ou bien encore de Kalevi Aho (ne en 1949), sans compter de nombreux chef-d’oeuvres isoles. L’ensemble des symphonies que nous a laisse d’Hans Werner Henze est l’un de plus importants parmi ceux-ci.
Hans Werner Henze est ne en 1926 à Gütersloh, Westphalie (Allemagne). Il debute ses etudes musicales à la Staatsmusikschule de Braunschweig en 1942, puis travaille comme pianiste accompagnateur du Stadttheater de Bielefeld en 1945, avant de reprendre ses etudes à l’Institut de musique sacree de Heidelberg où il est, de 1946 à 1948, l’elève de Wolfgang Fortner (1907-1987). Assistant aux premières academies musicales de Darmstadt dès 1946, il y rencontre deux ans plus tard Rene Leibowitz (1913-1972) avec lequel il travaille intensivement, et « Apollo et Hyazinthus » d’après Trakl, pour clavecin, huit instruments solistes et voix d’alto compose en 1949 temoigne de cet enseignement du dodecaphonisme. Il noue parallèlement des liens avec le theâtre, et collabore en particulier avec Heinz Hilpert au Deutsches Theater de Constance, où est cree en 1948 son premier Opera, « Das Wundertheater » d’après Cervantès. Après des sejours à Berlin et Munich, pour fuir l’homophobie qui continuait à règner à cette epoque en Allemagne, il choisit de s’installer en Italie en 1953, où sa musique est alors influencee par la vocalite italienne. De 1962 à 1967, Henze assure des master-classes de composition au Mozarteum de Salzbourg. Dans les annees qui suivent, il s’oriente vers le marxisme, et passe un an à Cuba, où il enseigne et où il dirige sa sixième Symphonie en novembre 1969. Il a fonde les Cantieri Internazionali d’Arte à Montepulciano en 1976, et consacre depuis une partie de son temps à l’enseignement.
Parmi les oeuvres majeures qu’il a compose à ce jour, on peut noter une Sonate pour piano, une Sonate et une « Serenade » pour violon solo, une « Serenade » pour violoncelle seul, deux Sonates pour guitare, une Sonatine pour trompette solo, la Suite « Five Scenes from the Snow Country » pour marimba solo, une Sonate pour violon et piano, une Sonate pour alto et piano, cinq Quatuors à cordes, un Quintette avec piano, un Quintette à vent, une Sonate pur trompette piccolo, trois trompettes, cor et trois trombones, deux Concertos pour piano, trois Concertos pour violon, un Concerto pour contrebasse, une « Fantaisie » pour cordes, « Compases para preguntas ensimismadas », « Tristan » et « Sebastian im Traum » pour ensemble orchestral, dix Symphonies, de nombreux Operas et oeuvres lyriques, dont « Boulevard Solitude », « König Hirsch », « Der Prinz von Homburg », « Elegy for Young Lovers », « The Bassarids », « Der junge Lord », « Der langwierige Weg in die Wohnung der Natascha Ungeheuer », « We Come to the River », « The English Cat », « Das verratene Meer », « Venus und Adonis », « L’Upupa und der Triumph der Sohnesliebe », « Phaedra », ou bien encore « Elogium Musicum (amatissimi amici nunc remoti) », des musiques de ballet, dont « Undine », l’Oratorio « Das Floß der Medusa », un Requiem, de nombreuses pièces vocales, ainsi que des musiques de film.
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