jeudi 30 juin 2011

BRUCKNER:SINFONIE NR.7


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BRUCKNER:SINFONIE NR.7 Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
une version essentielle, 18 decembre 2010
Par earthlingonfire - Voir tous mes commentaires(TESTEURS)
  
(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : BRUCKNER:SINFONIE NR.7 (CD)
Qui se serait attendu à voir la discographie de la 7° symphonie de Bruckner bouleversee en 2000 C’est bien ce qu’a fait Wand, de même qu’avec ses 4 autres disques bruckneriens avec l’Orchestre philharmonique de Berlin (les 4°, 5°, 8° et 9°).
Là où tant de chefs ont theâtralise le premier mouvement et solennise le deuxième, Wand fait l’inverse : avec lui le premier mouvement est lyrique et paisible, le deuxième narratif et tourmente. Et c’est lui qui a raison.
Wand est un des très rares à avoir exactement perçu et rendu le caractère du premier mouvement, longue promenade paisible et non champ de bataille comme celui des 5° et 8° par exemple. C’est ce qui explique le reproche de tiedeur fait à Wand, mais il n’y a en fait aucun conflit rythmique ni harmonique dans ce mouvement. C’est pourquoi toutes les versions "dramatiques" qui fabriquent des evenements sur les moments-cles me semblent le faire artificiellement, arbitrairement, et au prix d’un contresens.
Le 2° mouvement est confondant d’intensite sobre et penetree. Wand n’en fait pas un ceremonial pompeux mais le recit d’une histoire pleine de doute, d’hesitation, d’humilite.
Le scherzo est admirable pour la gradation dynamique de reprise en reprise, progressant d’une retenue tendue à un deferlement lapidaire.
Le finale, enfin, l’ecueil de la symphonie, tellement plus difficile à justifier que ceux des 4°, 5° ou 8° par exemple, tombe ici sous le sens. Les equilibres entre pupitres et entre tempi sont d’une evidence souveraine, la nettete des phrases pas moins. On aurait presque l’impression de retrouver l’OPB de Karajan pour la perfection avec la sonorite sombre et dense de l’OPB de Furtwängler...
Une version essentielle.
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BRUCKNER:SINFONIE NR.8


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BRUCKNER:SINFONIE NR.8 Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
merite 6 etoiles, 18 decembre 2010
Par earthlingonfire - Voir tous mes commentaires(TESTEURS)
  
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Ce commentaire fait reference à cette edition : BRUCKNER:SINFONIE NR.8 (CD)
Au crepuscule, et au sommet, de la longue carrière du chef d’orchestre Günter Wand, RCA profite de ses invitations à la tête de l’Orchestre philharmonique de Berlin pour publier quelques enregistrements dont l’importance n’est peut-être pas encore perçue à sa juste hauteur. Après les Inachevee et Grande de Schubert, paraissent de Bruckner les symphonies n° 5, 4, 9, 7 et 8, cette dernière juste avant le decès du chef. Chacun de ces disques renouvelle la discographie, pourtant plethorique, de l’oeuvre, et j’ai envie d’ajouter que le differentiel, l’apport de Wand est à chaque fois plus grand. Certains de ces disques relativisent en grande partie les qualites bruckneriennes d’Eugen Jochum, c’est dire. La 8°, plus grand chef-d’oeuvre acheve de Bruckner, apogee du genre symphonique et une des plus grandes oeuvres d’art du patrimoine universel, toutes categories confondues, est aussi sur ce CD, où elle trouve sa plus parfaite expression, l’aboutissement suprême de l’art de Wand. Et pourtant, son accueil par la presse française a ete tiède, en tout cas au regard de sa qualite exceptionnelle (8 de Repertoire, 4 Diapason).
Quelques toux (trop rares pour être retenues contre ce disque) viennent rappeler que l’on est en concert, ce qu’on oublierait facilement tant le fini instrumental est impressionnant. Le Philharmonique de Berlin, confie à un chef de haut vol, peut donc retrouver son niveau de l’epoque Karajan... Dès le debut, on ne peut qu’être frappe par la comprehension intime que Wand manifeste de l’oeuvre, qui sous sa baguette se developpe d’elle-même, avec une parfaite logique. La tension entre action et contemplation, entre tragique et extase, qui problematise la discographie de cette symphonie, est ici resolue. Non pas qu’on soit sur une sorte de voie mediane-mediocre, mais dans un en-deçà de la biffurcation, où l’auditeur vit le recit psychologique tout en ressentant l’appel de l’infini. Pas de conflit non plus entre expressivite et beaute musicale : les phrases se deroulent dans une plastique irreprochable, tout en etant gorgees de sens : resultat, un impact maximal. A ce niveau, Wand reussit tout, absolument tout. Depuis l’allegro moderato, les colorations des cordes comme des cuivres subjuguent. Le scherzo est un modèle sans doute insurpassable. Contrairement à tant d’autres chefs, Wand comprend que ce n’est pas un moment d’agression (difference fondamentale avec la 7°) mais une sorte de chevauchee fantastique. Les attaques subtilement decalees des cuivres (quelle mise en place !) sont encore plus reussies que chez Haitink à Vienne, et les coups de timbale revèlent un pouvoir d’emotion inconnu jusque là. Ce n’est certainement pas Jochum qui aura nous aura serre le coeur avec ce mouvement. Les vagues et les ressacs de l’adagio ne sont pas moins anthologiques, avec ces arêtes vives dans le mouvement si magnifiquement rendues, et la terrible noirceur des roulements de timbales. Le finale est necessaire, ineluctable, jusqu’à cette prodigieuse coda. Guide par les phrases ascendantes de violons, d’abord maladroites, incomplètes (3-3-2, comme l’a trop grossièrement souligne Celibidache), qui souffrent, qui travaillent, pour finalement s’extirper de l’imperfection, aneanti par les cors et les trombones, l’auditeur est porte par les timbales jusqu’à la contemplation de l’absolu où, arrache à son enveloppe charnelle, il est accueilli par les sonneries des trompettes. Veritablement apocalyptique, selon son surnom apocryphe, à la fois ex-termination et revelation, cette 8° est à peu près sans concurrence.
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Alwyn: Intégrale des symphonie - Sinfonietta pour cordes


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Alwyn: Intégrale des symphonie - Sinfonietta pour cordes Reviews and Opinions



1 internaute sur 2 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Les cinq symphonies de William Alwyn, remarquablement interpretees, 17 fevrier 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Symphonie N°1,2,3,4 Et 5 (CD)
Les cent dernières annees ont vu la composition de plusieurs cycles de symphonies de très grande qualite, depuis celui de Guy Ropartz (1864-1955) à celui de Erkki-Sven Tüür (ne en 1959), en passant par celui de Carl Nielsen (1865-1931), d’Alexandre Glazunov (1865-1936), de Jean Sibelius (1865-1957), de Wilhelm Peterson-Berger (1867-1942), de Charles Tournemire (1870-1939), de Ralph Vaughan Williams (1872-1958), de Hugo Alfven (1872-1960), de Charles Ives (1874-1954), d’Havergal Brian (1876-1972), de Jan van Gilse (1881-1944), de Karl Weigl (1881-1949), de Nikolaï Miaskovsky (1881-1950), de Georges Enesco (1881-1954), de Gian Francesco Malipiero (1882-1973), d’Arnold Bax (1883-1953), d’Egon Wellesz (1885-1974), d’Heitor Villa-Lobos (1887-1959), d’Ernst Toch (1887-1964), de Kurt Atterberg (1887-1974), de Bohuslav Martinü (1890-1959), de Serge Prokofiev (1891-1953), d’Arthur Honegger (1892-1955), de Darius Milhaud (1892-1974), de Jean Absil (1893-1974), d’Erwin Schulhoff (1894-1942), de Walter Piston (1894-1976), de Paul Hindemith (1895-1963), de Boris Lyatoshinsky (1895-1968), de William Grant Still (1895-1978), d’Howard Hanson (1896-1931), de Richard Flury (1896-1967), de Roger Sessions (1896-1985), de Jean Rivier (1896-1987), d’Alexandre Tansman (1897-1986), de Roy Harris (1898-1979), de Marcel Mihalovici (1898-1985), de Robert Casadesus (1899-1972), de Carlos Chvez (1899-1978), de George Antheil (1900-1959), d’Ernst Krenek (1900-1991), d’Edmund Rubbra (1901-1986), de Conrad Beck (1901-1986), de Vissarion Chebaline (1902-1963), de Gavriil Popov (1904-1972), de Karl Amadeus Hartmann (1905-1963), d’Eduard Tubin (1905-1982), d’Eugène Bozza (1905-1991), de Benjamin Frankel (1906-1973), de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) bien sûr, mais aussi de Paul Creston (1906-1985), d’Arnold Cooke (1906-2005), d’Ahmed Adnan Saygun (1907-1991), de Camargo Guarnieri (1907-1993), de Miloslav Kabelc (1908-1979), de Vagn Holmboe (1909-1996), de William Schuman (1910-1992), d’Allan Pettersson (1911-1980), d’Alan Hovhaness (1911-2000), de Donald Gillis (1912-1978), de Daniel Jones (1912-1993), de George Lloyd, 1913-1998), d’Humphrey Searle (1915-1982), de Vincent Persichetti (1915-1987), de David Diamond (1915-2005), d’Isang Yun (1917-1995), de Richard Arnell (ne en 1917), de George Rochberg (1918-2005), de Lex van Delden (1919-1988), de Cludio Santoro (1919-1989), de Mieczyslaw Weinberg (1919-1996), de Galina Oustvolskaïa (1919-2006), d’Alexander Lokshin (1920-1987), de Peter Racine Fricker (1920-1990), de Robert Simpson (1921-1997), de Malcolm Arnold (1921-2006), de Francis Thorne (ne en 1922), d’Hans Werner Henze (ne en 1926), d’Einojuhani Rautavaara (ne en 1928), d’Avet Terterian (1929-1994), de John Davison (ne en 1930), d’Aubert Lemeland (ne en 1932), de David Morgan (ne en 1932), de Jaan Rääts (ne en 1932), de Jacques Charpentier (ne en 1933), de Krzysztof Penderecki (ne en 1933), d’Alfred Schnittke (1934-1998), de Peter Maxwell Davies (ne en 1934), de Guia Kantcheli (ne en 1935), de Philip Glass (ne en 1937), de Valentin Silvestrov (ne en 1937), de William Bolcom (ne en 1938), de William Thomas McKinley (ne en 1938), de Boris Tishchenko (ne en 1939), de Leif Segerstam (ne en 1944), de Peteris Vasks (ne en 1946), de Jean-Claude Wolff (ne en 1946), ou bien encore de Kalevi Aho (ne en 1949), sans compter de nombreux chef-d’oeuvres isoles. L’ensemble des symphonies que nous a laisse William Alwyn (1905-1985) est tout à fait interessant.
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Les Sonates Pour Violons


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Les Sonates Pour Violons Reviews and Opinions



2 internautes sur 2 ont trouve ce commentaire utile :
3.0 etoiles sur 5
Inegal mais pas ininteressant, 29 janvier 2009
Par jacqueslefataliste (Albi, France) - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Les Sonates Pour Violons (CD)
La critique la plus couramment adressee à Anne-Sophie Mutter est celle de « narcissisme ». Ce terme assez meprisant a notamment ete utilise pour condamner ces enregistrements des Sonates pour violon et piano de Beethoven. Or, il me semble qu’il y aurait d’autres choses à dire : il est vrai que le jeu d’Anne-Sophie Mutter n’est pas celui de tout le monde, il est vrai que ses phrases sont souvent inhabituels, très recherches, et parfois inutilement sophistiques et versatiles, il est vrai enfin que sa sonorite souvent detimbree est assez unique dans le monde du violon. Je ne pretends donc pas que ces enregistrements ressemblent aux autres, ni même qu’ils soient parfaits, loin de là. Mais ils sont le fruit d’une demarche approfondie, mûrie et assumee : Mutter (qui a interprete beaucoup de musique contemporaine de façon très convaincante) cherche, avec Orkis, à interpreter ces ½uvres en se liberant de la ligne classique, en essayant d’en degager la profondeur à l’aide de tempi retenus et d’une reinvention constante du phrase et du son. Le resultat est certes assez inegal, mais il est là : si certains passages sont moins convaincants, semblent trop affectes et finissent par irriter, d’autres sont vraiment beaux et nous permettent d’entendre ces ½uvres d’une façon non seulement neuve mais aussi enrichissante. La 10e sonate est, par exemple, magnifique, l’Andante con variazioni de la 9e devient une longue quête initiatique, l’Adagio de la 6e est vraiment emouvant etc.
Pour une vision classique de ces ½uvres, je recommanderais l’enregistrement de Petr Messiereur et Stanislav Bogunia (Calliope) ou bien sûr celui, mythique, de Grumiaux et Haskil. Mais pour une vision differente, certes imparfaite mais libre et inventive, celle-ci me semble assez interessante.
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1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
du plus profond de l’intimite de Beethoven, 20 novembre 2010
Par A. Torres - Voir tous mes commentaires(TOP 1000 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Les Sonates Pour Violons (CD)
Anne-Sophie reunie ici force et caractère, dans un programme charge d’emotion, passion et virtuosite. Mutter, avec son complice Lambert Orkis, se place en position de decouverte du plus profond de l’intimite de Beethoven. Avec son Stradivarius 1710 specialement choisi pour l’occasion, Anne-Sophie met en relief la vie tourmentee du compositeur. Il s’agit d’une interpretation mûre et reflechie, et nullement surpassee par le temps: Anne-Sophie sait nous faire entendre un Beethoven qui reste d’actualite car il continue à nous parler tout droit au coeur. On remarque en plus pendant tout le programme la complicite entre les deux instrumentistes, ce qui paraît indispensable pour l’interpretation de ces oeuvres.
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1 internaute sur 3 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Très bonne idee, 10 août 2003
Par "andremey3" - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Les Sonates Pour Violons (CD)
Voila un coffret plus ou moins bien critique par les magazines specialises qui a ma faveur. Deja le talent de Anne Sophie Mutter n’est pas à remettre en doute. Son interpretation, quelque peu romantique, se laisse agreablement ecouter, et reussit à nous communiquer quelques emotions. Il y a si peu d’integrales de ces sonates qu’on ne va quand meme pas critiquer l’une des meilleurs cote prise de son (les autres sont analogiques). En plus il y a des super bonus si on se sert du CD comme CD Rom (partitions...)
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mercredi 29 juin 2011

Enregistrements Decca 1950-195


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Enregistrements Decca 1950-195 Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
et de trois, 30 septembre 2010
Par Gilles-daniel Percet (F) - Voir tous mes commentaires(TOP 1000 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Enregistrements Decca 1950-195 (CD)
Gulda, bien sûr une reference. Mais attention à ceux qui s’y perdraient : on a desormais trois fois une integrale des sonates de Beethoven par lui : sur Decca, sur Amadeo (c’est celle aussi de la reedition Brilliant) et maintenant sur Orfeo (des bandes radio à l’epoque). Or, aucun doublon (ni triple) là-dedans. Ce sont bien trois versions differentes. Maboules de Gulda, cassez donc votre tirelire en consequence, et nouilles jusqu’à la fin du mois pour tout le monde! A la rigueur, epinards sans beurre.
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4 internautes sur 5 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Pas sublime : necessaire, 15 mai 2007
Par Hebert Jerôme "Jerôme Hebert" (France) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Enregistrements Decca 1950-195 (CD)
J’avais dejà eu l’occasion d’entendre quelques sonates de Beethoven par Gulda, notamment sur France Musique, mais je n’avais jamais entendu ses premiers enregistrements. En outre je n’avais pas ecoute l’ensemble des 32 sonates sous ses doigts. Il faut se rendre à l’evidence, nous nous trouvons là en possession d’une integrale de premier plan. Je crois même pouvoir dire qu’il s’agit de la plus belle integrale disponible actuellement sur le marche. Il faudra passer outre un son assez precaire pour les enregistrements les plus anciens (1951) et ne s’attarder que sur la pure beaute pianistique. Le propos de Gulda est d’une totale fluidite, d’une maîtrise incroyable, proprement inouïe. Pas question dans ces interpretations de surjouer l’energie beethovenienne, de casser la phrase. Il semble qu’il improvise pour nous la plus belle des musiques. Pas question non plus de froideur, de regard distancie pose sur l’oeuvre, de pseudo-objectivite. Pas question enfin de minauder, de nous la jouer manieriste. Ca coule de source, c’est evident, c’est immediatement accessible, naturel. C’est incroyable qu’il ait fallu atendre tant de temps pour que nous possedions cette integrale en CD ! On a vraiment affaire au travail d’un genie, d’un surdoue qui nous livre le plus precieux temoignage de l’art beethovenien, de l’art tout court.
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mardi 28 juin 2011

Salambo : trois suites dorchestre


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Salambo : trois suites dorchestre Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Les trois Suites d’orchestre de « Salammbô » de Florent Schmitt, très bien interpretees, 16 juillet 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Salambo : trois suites d’orchestre (CD)
Florent Schmitt est ne à Blâmont (Meurthe-et-Moselle) en 1870. Il etudia à Nancy puis au Conservatoire de Paris, où il fut elève de Jules Massenet (1842-1912) et de Gabriel Faure (1845-1924). En 1900, il reçut le Premier Grand Prix de Rome pour sa cantate « Semiramis ». Schmitt fut cofondateur en 1909 de la Societe Musicale Independante avec Maurice Ravel (1875-1937), Émile Vuillermoz (1878-1960), Louis Aubert (1877-1968), Charles Koechlin (1867-1950), Jean Hure (1877-1930) et Gabriel Faure. Il fut le directeur du Conservatoire de Lyon de 1921 à 1924. Sous l’Occupation, il a ete le co-president d’honneur de la Section Musicale du « Groupe Collaboration » à partir de decembre 1941 et, à la Liberation, des poursuites judiciaires ont ete engagees contre lui pour « indignite nationale » ; cependant, après enquête, ces poursuites ont ete classees sans suite et, en 1952, il a ete promu Commandeur de la Legion d’honneur. Il est mort à mort à Neuilly-sur-Seine en 1958.
Parmi ses oeuvres majeures, on peut noter une Sonate libre en deux parties enchaînees pour violon et piano, un Trio à cordes, un Quatuor à cordes, un Quatuor pour flûtes, un Quatuor pour saxophones, un Quintette avec piano, une Symphonie concertante pour orchestre et piano, une seconde Symphonie, une symphonie « Janiana » pour cordes, deux musiques de ballets, « La Tragedie de Salome » et « Oriane et le prince d’amour », le Psaume XLVII, pour soprano, choeur, orgue et orchestre, une Messe pour quatre voix et orgue, ainsi que de nombreuses Melodies et Choeurs.
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Mozart : Don Giovanni


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Mozart : Don Giovanni Reviews and Opinions



6 internautes sur 8 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Une reference, 20 decembre 2007
Par Thierry B. "Thierry B." (Montreuil sous Bois, France) - Voir tous mes commentaires(TOP 1000 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Mozart - Don Giovanni ( integrale ) (CD)
C’est une reference devant laquelle on a coutume de s’incliner. Giulini cree et anime un drame avec un talent incomparable. Schwarzkopf n’a jamais ete meilleure et Sciutti est inimitable en Zerline (encore que le rôle reclamerait un medium plus charnu). Taddei est l’admirable chanteur que l’on sait mais ce n’est pas la basse requise (sa partie est la plus grave de l’oeuvre !). Wächter n’a pas le velours de Siepi mais sa caracterisation est remarquable. Sutherland etonne et fascine, plus quelle ne convainc. Alva est trop leger pour Ottavio. Une legende certes, mais ce n’est pas l’Unique.
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13 internautes sur 18 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Superbe !!!!, 21 decembre 2002
Par Cine Max "un-vrai-de-vrai" (noyon) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Mozart - Don Giovanni ( integrale ) (CD)
Une interpretation legendaire de ce chef d oeuvre !!!Tout est en symbiose ! La direction de l orchestre a la fois preste et intense sans aucun temps mort !!!!L interpretation de Wachter en un Don giovanni plein de vitalite et de panache !!!!Dona Elvira par une Schwarzkopf au sommet de son art !!!Scuitti dans une Zerline tout en finesse et seduction....Les autres interpretes s integrent parfaitement à l ensemble !Assurement un must de Guiliani !!!!
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6 internautes sur 10 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
La meilleure interpretation de Don Giovani, 19 fevrier 2007
Par Latour07 (Paris, France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
(TESTEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Mozart - Don Giovanni ( integrale ) (CD)
L’interpretation de Giulini est de loin la meilleure interpretation du chef d’oeuvre des operas de Mozart. Elle surclasse toutes celles que j’ai pu entendre. Une fraîcheur, un enthousiasme, une clarte de voix, une orchestration d’une precision remarquable. Exceptionnel.
En outre, mon grand-père mozartien m’a toujours eleve sur la rare qualite du livret ecrit par le prêtre defroque Lorenzo Daponte. Sublime texte. Du Boileau, du Mariveau, du Molière : du genie ! L’esprit revolutionnaire est en outre exprime avec eclat dans l’air de "la liberta !", mais aussi celui, sublime, de "Finch’han dal vino calda la testa, una gran festa fa preparar".
La poesie inspire le texte comme en evoquant l’amour :
"Dalla sua pace (...)
De sa paix depend la mienne;
ce qui lui plaît me rend la vie,
ce qui l’afflige me fait mourir.
Si elle soupire, je soupire aussi ;
sa colère est mienne, ses pleurs sont miens;
et je n’ai de bonheur si elle n’en a point.
(...)"
Et la peinture sociale de la noblesse, quant offense par Zerlina du fait qu’il ne puisse donner credit à sa parole, Don Giovani s’exclame :
" (...) La noblesse porte peinte dans les yeux l’honnêtete. Or donc, ne perdons point de temps : à l’instant même je te veux epouser."
Revolutionnaire Mozart. Quel genie ! Quelle beaute !
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2 internautes sur 6 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Un crève-coeur..., 10 juillet 2009
Par Marc Marcucci - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Mozart - Don Giovanni ( integrale ) (CD)
Nous tenions là sans doute la meilleure interpretation de don Giovanni depuis des lustres, version à laquelle j’etais particulièrement attache et puis patatras! Jacobs nous livre un vision brûlante du chef-d’oeuvre mozartien, version que j’ecoute et reecoute inlassablement depuis sa sortie. Après Jacobs, il est difficile de retourner à autre chose. Giulini restera donc classe au rayon "souvenirs emus" de ma discothèque...
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lundi 27 juin 2011

R. Strauss: Salome(2Cd)(Reissue)


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R. Strauss: Salome(2Cd)(Reissue) Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
la meilleure Salome de studio , 17 mars 2010
Par earthlingonfire - Voir tous mes commentaires(TESTEURS)
  
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Ce commentaire fait reference à cette edition : R. Strauss: Salome(2Cd)(Reissue) (CD)
Les rencontres discographiques de Karajan et des Wiener Philharmoniker ont toujours exacerbe le sensualisme latent du chef autrichien. La fête sonore est telle qu’on peut l’imaginer d’autant que pour enregistrer cette Salome, EMI s’est fait aider par Decca, specialiste du son spectaculaire et habitue en particulier à enregistrer l’Orchestre philharmonique de Vienne à la Sofiensaal. Dans ce fleuve de pure volupte, il n’y a que peu de place pour le theâtre, mais comment faire la fine bouche La distribution n’est peut-être pas la plus grande à avoir ete enregistree, mais ne demerite pas. Il faut d’abord connaître le Jochanaan de Jose Van Dam, adequation absolue entre un rôle, personnage et musique, et une voix, noble, ronde et chaude. Agnes Baltsa, qui n’est pas la chanteuse du siècle, est encore jeune, tandis que Böhm oscille entre caractère et lyrique. Le couple Herode-Herodiade est en tous cas bien leger, pour ne pas dire impuissant à evoquer la corruption. Ce choix delibere de Karajan peut laisser sceptique : on en regretterait presque les Dunn et Cassilly de Karl Böhm (DG). Quant au rôle-titre, le chef, soucieux de marquer l’ouvrage de son empreinte jusqu’au bout, le confie à une jeune "decouverte", une certaine Hildegard Behrens. Dans un sens, son flair est certain, puisqu’elle allait être appelee à succeder à Gwyneth Jones comme hochdramatischer Sopran wagnerien du moment par defaut. En 1977 et dans Salome, elle a encore une fraîcheur vocale et dramatique meritoires. La voix a quelque chose d’un peu fade, incolore, et cette absence de chair dans la masse peut lui donner un rien de durete desagreable, mais après tout on n’est pas si loin de la "soubrette à voix d’Isolde" qu’est Salome selon les mots de Strauss lui-même. Le rôle est de toute façon indistribuable, alors inutile de chipoter davantage. Un coffret de toute façon indispensable orchestralement, même s’il est judicieux de le completer par une version en public avec Inge Borkh ou Ljuba Welitsch.
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Saint François dAssise


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Saint François dAssise Reviews and Opinions



1 internaute sur 2 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
L’enregistrement de la creation de « Saint François d’Assise » d’Olivier Messiaen, l’un des operas majeurs du vingtième siècle, 22 mai 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Saint François d’Assise (CD)
Olivier Messiaen est ne à Avignon en 1908. Fils de Pierre Messiaen et de la poetesse Cecile Sauvage, il fut profondement influence par les poèmes de sa mère. A l’epoque de la première Guerre mondiale, il acquiert une foi catholique qui ne le quittera plus. Il entre, à l’âge de 11 ans, au Conservatoire de Paris, pour etudier le piano et les percussions, puis l’orgue et la composition. Il a notamment comme professeurs Charles-Marie Widor (1844-1937), Maurice Emmanuel (1862-1938), qui lui fait decouvrir les anciens rythmes grecs et les modes exotiques, Paul Dukas (1865-1935) et Marcel Dupre (1886-1971). Il devient organiste à l’eglise de la Trinite à Paris à l’âge de 22 ans et, de 1936 à 1939, il enseigne à l’École normale de musique de Paris et à la Schola Cantorum. En compagnie d’Andre Jolivet (1905-1974), d’Yves Baudrier (1906-1988) et de Jean-Yves Daniel-Lesur (1908-2002), il crea « Jeune France », groupe de compositeurs destine à promouvoir la musique nouvelle. Fait prisonnier en 1940, il compose durant sa reclusion son « Quatuor pour la fin du Temps », dont la première est donnee dans le camp le 15 janvier 1941 par un groupe de musiciens prisonniers, la partie du piano etant jouee par le compositeur. Libere en mars 1941, il retourne enseigner à Paris, où il devient professeur au Conservatoire. Il compte parmi ses elèves Yannis Xenakis (1922-2001), Marius Constant (1925-2004), Pierre Boulez (ne en 1925), Antoine Duhamel (ne en 1925), Betsy Jolas (nee en 1926), Karlheinz Stockhausen (1928-2007), François-Bernard Mâche (ne en 1935), Gilbert Amy (ne en 1936), Paul Mefano (ne en 1937), Alain Louvier (ne en 1945), Gerard Grisey (1946-1998), Jean-Louis Florentz (1947-2004), Tristan Murail (ne en 1947), Kent Nagano (ne en 1951), Philippe Fenelon (ne en 1952), Alain Mabit (ne en 1953) et George Benjamin (ne en 1960). Il est mort en 1992 à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine).
« L’Ascension » pour orchestre (1933), le « Quatuor pour la fin du Temps » pour violon, clarinette, violoncelle et piano (1940), les « Visions de l’Amen » pour deux pianos (1943), les « Trois petites Liturgies de la presence divine » pour choeur de voix de femmes, piano, ondes Martenot et orchestre (1944), les « Vingt regards sur l’Enfant Jesus » pour piano (1944), la « Turangalîla-Symphonie » pour piano, ondes Martenot et orchestre (1948), la « Messe de la Pentecôte » (1950), le « Livre d’orgue » (1951), les « Oiseaux exotiques » pour piano et petit orchestre (1955), le « Catalogue d’oiseaux » pour piano (1956), « Sept Haïkaï » pour piano et petit orchestre (1962), « Couleurs de la Cite celeste » pour piano, ensemble à vent et percussions (1963), « Et exspecto resurrectionem mortuorum » pour orchestre (1964), « Des canyons aux etoiles... » pour piano et orchestre (1972), l’Opera « Saint François d’Assise » (1975), « Le Livre du Saint-Sacrement » pour orgue (1984), et « Éclairs sur l’Au-Delà... » pour orchestre (1991) sont quelques unes de ses oeuvres majeures, qui font d’Olivier Messiaen l’un des plus grands compositeurs du vingtième siècle.
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Real Chopin: Complete Works on Period Instruments


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Real Chopin: Complete Works on Period Instruments Reviews and Opinions



6 internautes sur 6 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
La meilleure integrale de Chopin qui ait jamais existe !, 11 janvier 2011
Par Maciej Chizynski "Maciej Ch." (Pologne) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Real Chopin: Complete Works on Period Instruments (CD)
Ce coffret est unique : non seulement il y a des interpretations sur instruments anciens, Pleyel de 1848 et Erard de 1849, mais aussi, et avant tout, il y a de très bonnes intepretations par de très grands chopiniens, peut-être parfois un peu moins connus en France, des laureats et des medailles du Concours Chopin. Vous y trouverez Nelson Goerner (3 disques), Kevin Kenner, Tatiana Shebanova (4 disques), Dang Thai Son, Fou Ts’ong, Janusz Olejniczak (2 disques) et beaucoup d’autres. L’orchestre qui accompagne les pianistes est l’Orchestre du XVIIIe siècle, dirige par Frans Brüggen. Les chanteurs sont polonais, donc l’articulation des paroles est superbe. Mariusz Kwiecien chante au MET à New York et Aleksandra Kurzak fait carrière à La Scala et dans d’autres operas connus. Le même disque avec les melodies de Chopin, edite separemment en avril 2010, a eu le Diapason d’or. En ce qui concerne la musique pour piano seul, j’adore les ballades de Goerner et les recitals de Dina Yoffe et de Kevin Kenner. Les preludes par Wojciech Switala je trouve mieux et plus interessants que les preludes par Alain Planès (enregistres sur un Pleyel pour Harmonia Mundi). Il faut remarquer ici que ce coffret est aussi exceptionnel pour d’autres raisons : les disques ne sont pas classifies par types d’½uvres de Chopin (nocturnes, polonaises, mazurkas, etc.), mais, au contraire, contiennent des recitals où c’etaient les artistes mêmes qui ont pu choisir les compositions qu’ils voulaient enregistrer. Goerner, par exemple, a enregistre sur un disque 4 ballades et 3 nocturnes. Yoffe deux scherzos, des mazurkas et des polonaises. C’est pour cette raison-là que les mêmes compositions se repètent parfois deux ou, même, trois fois et c’est pour cela qu’il y en a autant de disques dans le coffret. Il faut aussi remarquer que le disque « 0 » est l’ancien recital par Raoul Koczalski qui etait un des meilleurs chopiniens d’avant guerre. Ajoutons que la serie n’est pas definitive : l’Institut National Frederic Chopin à Varsovie (et non pas Societe Frederic Chopin, comme on a l’habitude de dire en France !) continuera les enregistrements sur les deux instruments anciens et, en plus, il a commence à editer une nouvelle serie ; pas « noire », mais, cette fois-ci, « blanche », sur instruments contemporains. Le coffret est très beau : il y a un gros livret dedans avec des explications et des photos. La qualite du son est formidable et les instruments sont très bien prepares. Ils donnent une vision de ce que Chopin pouvait entendre lorsqu’il jouait ses compositions : un silence et une ambiance particulièrement intime. Attetion : le nouveau disque avec Howard Shelley jouant du Pleyel vient d’être edite ! Esperons qu’il y en aura beaucoup plus d’autres.
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1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Un charme irresistible, 8 mai 2011
Par Cymus - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Real Chopin: Complete Works on Period Instruments (CD)
Le Frydyrik Chopin Institute a ete cree en 2001 par une loi du Parlement polonais, avec pour mission de promouvoir les recherches sur la vie et l’½uvre du compositeur. Outre l’organisation de conferences, de concerts, la cooperation avec d’autres institutions pour la diffusion de l’heritage de Chopin, l’activite de l’Institut consiste en la publication d’enregistrements nouveaux par des interprètes contemporains. Le projet d’enregistrer l’integralite de l’½uvre sur instruments d’epoque a commence en 2005 avec la gravure de Mazurkas par le pianiste chinois Fou Ts’ong sur un piano Erard 1849 et s’est acheve en 2009 avec l’enregistrement des nocturnes par le pianiste d’origine vietnamienne Dang Thai Son. Ces disques sont sortis separement dans un premier temps avant d’être reunis dans ce merveilleux coffret. Vingt disques en tout, classes dans leur ordre de realisation, auxquels s’ajoute un enregistrement public du grand chopinien polonais Raul Koczalski, jouant sur un Pleyel 1847, capte en 1948 au Belvedère de Varsovie.
La presentation du coffret a dejà ete faite par un autre internaute et il n’est pas utile d’y revenir, si ce n’est pour confirmer qu’il s’agit d’une très belle initiative, dont l’originalite et l’interêt ne consiste effectivement pas seulement à avoir fait ces enregistrements sur instruments d’epoque, mais aussi à avoir donne carte blanche à chaque interprète dans le choix des compositions qu’il allait jouer. Au total, c’est bien l’integrale de l’½uvre que l’on trouve, mais chaque categorie dispersee dans plusieurs disques et jouee par differentes musiciens.
On peut d’ailleurs eprouver une certaine difficulte pour s’y retrouver si l’on veut par exemple ecouter toutes les mazurkas ou tous les nocturnes. Mais le coffret est assorti d’un excellent livret (en trois langue dont l’anglais, mais pas le français). Celui-ci contient une presentation de chaque disque, mais aussi un index des ½uvres avec indication des differents disques où elles sont enregistrees. L’interêt du livret ne s’arrête pas là. On y trouve egalement une presentation du projet, une analyse des compositions de Chopin par genre, ainsi qu’une presentation des differents interprètes.
En definitive, cet ensemble nous permet sans doute de nous faire une meilleure idee de la manière dont le compositeur concevait ou entendait ses propres ½uvres. Surtout, l’ecoute de ces disques nous en offre une vision et un plaisir renouveles. Et confirme que le charme de cette musique est irresistible.
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dimanche 26 juin 2011

Byrd:Three Masses


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Byrd:Three Masses Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
Stunning music, 6 fevrier 2006
Par FrKurt Messick "FrKurt Messick" (Bloomington, IN USA) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Byrd:Three Masses (CD)
--William Byrd-- William Byrd was a composer of grace and power. A staunch Catholic in an increasingly Protestant country, Byrd maintained his church loyalties at high cost. However, as a recognised genius at liturgical music, he had powerful admirers and friends, perhaps including Queen Elizabeth herself. Producing musical settings to Latin texts in a new-regime English-dominated church environment took courage. However, Byrd persevered all his life to produce music that remains timeless while being firmly rooted in its time. --Mass for Five Voices, Four Voices, Three Voices-- Each mass consists of five primary pieces: the Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus & Benedictus, and the Agnus Dei. The five-voice mass is probably the latest composition of the three masses presented here. It requires two tenor parts, and has an elongated Credo ending vis-à-vis the other masses. Like other Byrd compositions, in Phillips words, ’remains true to the English preference for counterpoint.’ Counterpoint is a particular kind of polyphony that has a different emphasis, but a way to think about it is of having a melody against a melody in the same piece. The four-voice mass was likely the first composition, and remains the most popular. The three-voice mass presented some difficulties of composition, according to Phillips, to present counterpoint for so few voices. Nonetheless, it remains an exquisite piece of liturgical music. The Mass for Five Voices, however, is probably one of Byrd’s greatest works, and thus has pride of place in this collection. --Ave Verum Corpus-- As an added bonus, the Tallis Scholars have provided the 4-minute motet Ave Verum Corpus, also by Byrd. A motet is typically a choral composition sung at services other than masses (often at Vespers, although sometimes as anthem music). Byrd, together with Tallis (from whom this ensemble derives its name), was considered a master of the Flemish style of motet. --Liner Notes- Being internationally acclaimed, the Tallis Scholars’ CDs typically present their commentary and texts in English, French, German and Italian (together with any Latin texts); that is true of this disc. The cover art also typically represents visual arts contemporary with the compositions - here it is a piece by Rubens, who was a contemporary of William Byrd. --The Tallis Scholars-- The Tallis Scholars, a favourite group of mine since the first time I heard them decades ago, are a group dedicated to the performance and preservation of the best of this type of music. A choral group of exceptional ability, I have been privileged to see them many times in public, and at almost every performance, their singing seems almost like a spiritual epiphany for me, one that defies explanation in words. Directed by Peter Phillips, the group consists of a small number of male and female singers who have trained themselves well to their task. Their recordings are of a consistent quality that deserve more than five stars; this particular disc of pieces by Byrd deserves a place on the shelf of anyone who loves choral music, liturgical music or Gregorian chant, classical music generally, or religious music. It is astonishing.
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Dmitri Kabalevsky 7


Prix : EUR 51,03
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Dmitri Kabalevsky 7 Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Des interpretations remarquablement sobres des deux Concertos pour violoncelle de Dmitri Kabalevky, 20 août 2010
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Dmitri Kabalevsky 7 (CD)
Dmitri Kabalevky est ne en en 1904 à Saint-Petersbourg, Russie. Son père, mathematicien, lui communiqua très tôt son goût pour la litterature, la peinture, la geographie, les sciences naturelles et la technique, et il doit à sa mère, il doit son goût precoce pour la musique. En 1918, sa famille s’installa à Moscou, où il entreprit en 1919 des etudes de piano. Il integra le Conservatoire de Moscou en 1925, où il eut Nikolaï Miaskovski (1881-1950) comme professeur de composition, et Alexandre Goldenweiser (1875-1961) comme professeur de piano. Kabalevski rejoignit, dès son entree au conservatoire, le groupe PROKULL (Production Collective des Etudiants Compositeurs), un groupe d’etudiants du conservatoire de Moscou cherchant à faire le lien entre l’ASM (Association pour la Musique Contemporaine, filiale russe de l’association internationale du même nom) et la RAPM (Association Russe pour la Musique Proletarienne) et, en compagnie de Vissarion Chebaline (1902-1963), il publia des articles dans la revue « Musique de notre temps » de l’ASM. Excellent pedagogue, il fut nomme en 1932 professeur assistant de composition au Conservatoire de Moscou, et sera titularise en 1939. En 1940, il devint President de l’Union des compositeurs sovietiques (poste qu’il gardera jusqu’en 1948, quand il fut remplace par Tikhon Khrennikov) creee après la dissolution de l’ASM et de la RAPM, et Redacteur de la revue « Sovietskaia Musika ». Toutefois, à la mi-janvier 1948, il fut accuse par Andreï Jdanov, en même temps que Sergueï Prokofiev (1891-1953), qu’Aram Khatchaturian (1903-1978), que Gavriil Popov (1904-1972), que Dmitri Chostakovitch (1906-1975), que Nikolaï Miaskovsky et que Vissarion Chebaline, de « Formalisme », la pire accusation que l’on pouvait porter contre un artiste pendant la periode stalinienne. De tous ces musiciens, Kabalevski fut le seul à faire son autocritique et, par suite, dans le decret du 10 fevrier 1948, son nom, contrairement à celui de ses confrères, n’apparaît plus ; ce fait lui valut, jusqu’à la fin de ses jours, une farouche inimitie d’un certain nombre de ses confrères, qui l’accusèrent, depuis ce jour, « d’opportunisme ». Le fait qu’il etait alors, ni plus, ni moins, que le President de l’Union des compositeurs sovietiques, ce qui, en cette epoque terrible, l’exposait encore plus que ses confrères, constitue, peut-être, une circonstance attenuante ; il fut d’ailleurs l’un des rares compositeurs majeurs de sa generation à avoir suivi les orientations de la politique officielle en matière de creation musicale après les decrets Jdanov de 1948 (« realisme socialiste »), et il restera fidèle à ces orientations jusqu’à sa mort - même dans les annees quatre-vingt où ces orientations n’avaient plus d’appuis officiels et, de fait, nuisaient à sa reputation. Son oeuvre d’après guerre s’intègre en partie - mais en partie seulement - dans ce moule, trouvant une partie de sa source dans les formes d’arts musicales populaires de son pays, tout comme Jean Sibelius (1865-1957), Bela Bartok (1881-1945), Igor Stravinski(1882-1971), Heitor Villa-Lobos (1887-1959), Darius Milhaud (1892-1974), Benjamin Britten (1913-1976) et bien d’autres, avant et après Kabalevski, mais ce dernier n’ayant jamais gomme l’influence qu’il avait initialement reçu de la musique française, tout particulièrement de Maurice Ravel (1875-1937) et de Francis Poulenc (1899-1963), ainsi que de l’Avant-Garde russe emigree à cette epoque, Igor Stravinsky et Sergueï Prokofiev. Kabalevski est mort en 1987 à Moscou.
Parmi ses oeuvres majeures, on peut noter trois Sonates et Vingt-quatre preludes pour piano, ainsi que de nombreuses pièces pour cet instrument destinees aux enfants (à la fin de sa vie, Kabalevsky sera, à titre benevole, « professeur de musique » dans l’ecole primaire de son quartier...), dont deux sonatines connues de nombreux jeunes pianistes, une remarquable Sonate pour violoncelle et piano (dediee à, et creee par Mstislav Rostropovitch), deux Quatuors à cordes, quatre Concertos pour piano (dont le troisième fut cree par Alexis Weissenberg, alors âge de 14 ans), un Concerto pour violon « a la Poulenc », deux Concertos pour violoncelle, la Suite symphonique « Romeo et Juliette », une « Ouverture Pathetique » et le Poème symphonique « Le Printemps », quatre Symphonies, cinq Operas, dont le truculent « Colas Breugnon » tire du roman eponyme de Romain Rolland, plusieurs musiques de scène, dont les « Comediens », des melodies et des ballets, ainsi que son Requiem profane « En memoire de ceux qui ont peri dans la lutte contre le fascisme » sur des poèmes de Robert Rozhdestvensky - à ne pas confondre avec sa troisième Symphonie « Requiem ».
Le Concerto pour violoncelle N° 1 Op. 49 de Kabalevsky est le second d’une trilogie de concertos dediee "à la Jeunesse", qui comprend egalement le Concerto pour violon Op. 48 compose en 1948 et cree par le violoniste Igor Bezrodny, alors âge de 18 ans, ainsi que le Concerto pour piano N° 3 Op. 50 ecrit en 1953, donne en creation avec au piano Vladimir Ashkenazy, alors âge de 14 ans. En trois mouvements, le premier Concerto pour violoncelle, compose en 1949, certainement la meilleure oeuvre concertante ecrite par Kabalevsky, commence par un accord stacatto, suivie par une longue marche jouee par le violoncelle. Un second sujet, proche du premier, fait passer la metrique de 9/8 à 6/8, suivi d’une troisième thème passionne, avant qu’un passage joue pizzicato n’introduise la fin du mouvement. Kabalesky utilise une chanson patriotique dediee aux morts de la seconde Guerre mondiale comme thème principal du mouvement lent, repete quatre fois, une autre melodie populaire servant de refrain entre chaque "strophe" developpee sur le thème principal. Une chanson folklorique est introduite dans le final, developpee suivant huit variations, avec rappel des thèmes des mouvements precedents.
Le Concerto pour violoncelle N° 2 OP. 77 ete compose en 1964, et fut cree l’annee suivante par son dedicataire, Daniil Shafran, avec qui Kabalevsky avait enregistre son premier concerto pour violoncelle quelques annees auparavant. L’oeuvre est en trois mouvements, joues sans interruption, lies les uns aux autres par une cadence de l’instrument soliste. Le thème principal, dominant toute l’oeuvre, est un thème initialement jouee pizzicato par le violoncelle dans le Molto sostenuto qui debute l’oeuvre, thème repris ensuite par les flûtes de l’orchestre. Ce thème principal est ensuite repris dans le second mouvement, qui explore de nouveaux territoires, avant que le troisième mouvement ne progresse encore dans cette veine agitee, puis ne s’apaise dans les dernières mesures, dans un climat calme et serein.
Marina Tarasova, violoncelle ; Symphony Orchestra of Russia, Veronika Dudarova.
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Berlioz: Beatrice Et Benedict


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Berlioz: Beatrice Et Benedict Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
Un joyau magnifiquement servi par Davis, 2 juin 2011
Par Henrard "ivan henrard" (france) - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Berlioz: Beatrice Et Benedict (CD)
Berlioz a 57 ans lorsqu’il aborde cette oeuvre avec un enthousiasme juvenile dont la musique porte eminemment temoignage. C’est d’autant plus surprenant que aigri par le manque de reconnaissance de ses compatriotes et par les evenements douloureux de sa vie personnelle, il se lance dans cette composition comme dans une renaissance. Il ecrit à son fils Louis, en novembre 1860 : « J’ai tant travaille, tous ces jours-ci, que cette distraction même a contribue à me remettre sur pied. Je ne puis suffire à ecrire les morceaux de musique de mon petit opera, tant ils se presentent avec empressement ; chacun veut passer le premier. Quelquefois j’en commence un avant que l’autre soit fini. A l’heure qu’il est, j’en ai ecrit quatre, et il m’en reste cinq à faire. Tu me demandes comment j’ai pu reduire les cinq actes de Shakespeare en un seul acte d’opera-comique. Je n’ai pris qu’une donnee de la pièce ; tout le reste est de mon invention. Il s’agit tout bonnement de persuader à Beatrice et à Benedict (qui s’entre-detestent), qu’ils sont chacun amoureux l’un de l’autre et de leur inspirer par là, l’un pour l’autre, un veritable amour. C’est d’un excellent comique, tu verras. Il y a en outre des farces de mon invention et des charges musicales qu’il serait trop long de t’expliquer. »
Berlioz renoue aussi avec son cher Shakespeare qui l’inspira toute sa vie.
Citons encore Berlioz « Vous ririez si vous pouviez lire les sots eloges que la critique me donne. On decouvre que j’ai de la melodie, que je puis être joyeux et même comique. L’histoire des etonnements causes par L’Enfance du Christ recommence. Ils se sont aperçus que je ne faisais pas de bruit, en voyant que les instruments brutaux n’etaient pas dans l’orchestre ».
Au crepuscule de sa vie, l’artiste fier et terrible se voyait ainsi reconnaitre son immense talent par un public qui jusque là avait boude ses chefs d’oeuvres.
Malgre la douceur et la sagesse de la vieillesse que le public prêtait à Berlioz dans cette oeuvre, l’orchestre reste nerveux, les rythmes fantasques, les melodies bondissantes. Le musicien deroule un equilibre subtil du naturel et de l’humour.
L’ouverture est magnifique et fougueuse et est sans contetse avec celle des francs juges ou de Waverley la plus belle signe par le maître.
Trois airs sublimes emaillent l’oeuvre : le nocturne cloturant le deuxième acte "nuit paisible" qui rapelle le duo des troyens "nuit d’ivresse", dans une atmosphère etheree et sensuelle; "Je vais d’un coeur aimant" petite merveille de dix minutes pour trio de voix à la melodie qui reste sans doute une des plus belles pages de la musique.
"Je vais le voir",un autre bijou de 9 minutes qui vous fait monter les larmes aux yeux de par la melancolie et la passion qu’il evoque, ses reminiscences mozartiennes et son clacissisme superbe.
Cette version de Colin Davis est une reference absolue.
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Beethoven: Symphonies Nos. 1-9 [Special Edition] [Hybrid SACD] [Box Set]


Prix : EUR 41,02
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Beethoven: Symphonies Nos. 1-9 [Special Edition] [Hybrid SACD] [Box Set] Reviews and Opinions



9 internautes sur 11 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Presque parfait... mais pas tout à fait., 13 avril 2008
Par Dabon - Voir tous mes commentaires(TOP 1000 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Beethoven: Symphonies Nos. 1-9 [Special Edition] [Hybrid SACD] [Box Set] (CD)
Les aspects positifs de ce coffret :
- Les mouvements lents ne sont jamais pris TROP lentement, ils ne sont jamais statiques ou soporifiques - je dois admettre que c’est un defaut chez Bernstein. Ainsi le 2nd mouvementt de la "Pastorale" ressemble à une tendre valse, le 3è mouvement de la 9è parle d’un langage gracieux et eloquent, le Trio de la 7è n’est pas excessivement lourd...
Parallèlement, les tempos soutenus sont plein d’entrain sans pour autant tomber dans l’exageration. Le Scherzo de la 4è est petillant: precis et rapide à souhait, quel regal !
- Le baryton dans la 9è est excellent ! Enfin une version qui n’est pas "surchantee", en voix exagerement gutturale, enfin l’on entend chaque note avec une precision absolue. Le final de cette 9è est très reussi, lumineux.
- Autre point positif, le son bien sûr : le travail d’ingenieur du son est remarquable, le realisme est saisissant ! Ecoutez l’orage de la "Pastorale"... Les timbales notamment ont beaucoup gagne avec l’enregistrement Haute Definition : on entend tout le spectre de leur timbre, de leur resonance, elles participent ainsi pleinement à l’harmonie au lieu d’être simplement bruyantes.
Les passages doux et fins sont d’une purete, d’une beaute poignante ; les passages agites ont un impact saisissant ; les passages fugues gagnent en clarte par rapport aux enregistrements des annees 50 à 70 ; la masse chorale de la neuvième, ce defi technique, est realise avec brio.
- Qualites annexes : Le livret est bien fourni et très interessant (un texte pour chaque symphonie) ; le "packaging" est très elegant.
- On beneficie en bonus de l’ouverture Leonore n°2 (très bonne) et du triple concerto pour piano, violon et violoncelle (oeuvre non indispensable mais neanmoins plaisante).
Les points negatifs à present :
- Il y en a un : Haitink prend les deux point d’orgue au debut de la 5è symphonie très courts. Dommage, car je trouve que le celebrissime motif de quatre notes perd ici en solennite, trop presse par le temps...
- Le mixage est vraiment bon, mais n’est pas forcement au goût de tout le monde, à tout moment ; c’est une façon de faire parmi d’autres, mais est-ce la meilleure Est-ce normal que les cordes graves soient submergees par l’orchestre lorsqu’elles reprennent le thème du second mouvement de la 5è symphonie Pour chipoter, la repartition stereo des pupitres est discutable, les timbales notamment ne sont pas assez centrees ce qui fatigue un peu à l’audition.
- Certains passages, de part leur proprete sonore même, perdent legèrement en force dramatique par rapport aux enregistrements plus bruts des annees 60-70.
On ne peut pas tout avoir, mais ce qu’apporte ce coffret est l’essentiel, selon moi : les oeuvres, dans toute leur beaute et leur force. Il est adapte à une sonorisation hi-fi qui lui donne toute son ampleur.
Au final donc, un coffret d’excellente qualite, que je conseille vivement. Pourra-t-on faire encore et toujours mieux
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 Remarques sur ce commentaire (2)
1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
par curiosite, 12 decembre 2009
Par Michel Decker - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Beethoven: Symphony No. 9 ’Choral’ [Hybrid SACD] (CD)
achate par curiosite, excellent pour le son mais je prefère karayan pour le tempo l’energie et la justesse
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23 internautes sur 34 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Mieux que Karajan et le philar de Berlin , 11 novembre 2006
Par Francois Anne "tristanf" (Paris, France) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Beethoven: Symphonies Nos. 1-9 [Special Edition] [Hybrid SACD] [Box Set] (CD)
Là est la question...
Karajan avec le philharmonique de Berlin avait mis la barre très haut.
Et bien je crois, personnellement, que Haitink et le LSO a fait mieux.
C’est d’une precision assez phenomenale, et tjours juste par rapport à la partition...
Quant à l’enregistrement, il est de très haute qualite, rien à redire.
Dans le dernier classement des orchestres europeens, organise par le Monde de la Musique, le LSO est classe 3ème derrière Le Philharmonique de Vienne 1er (rien de bien surprenant ^^) et le Concertgebouw d’Amsterdam 2nd... Je crois qu’il n’y a plus de doute après avoir entendu cela...
Et pour avoir ete le ecouter à la salle Pleyel, en live, c’est encore mieux :)
Bon donc voilà, si vous voulez entendre une splendide interpretation des 9 symphonies avec une qualite d’enregistrement excellente... Foncez !!!
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samedi 25 juin 2011

Beethoven: Piano Sonatas; Eroica Variations; Electotal Sonatas


Prix : EUR 34,99
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Beethoven: Piano Sonatas; Eroica Variations; Electotal Sonatas Reviews and Opinions



14 internautes sur 14 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Au sommet, 28 octobre 2009
Par Nardis - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : 27 Sonates pour piano (CD)
Les mots manquent pour qualifier ce monument de l’histoire pianistique. Pourtant, la concurrence est rude, on s’en doute. Sauf qu’ici, il ne s’agit pas d’une compilation, mais d’une entreprise pharaonique, d’un travail titanesque de relecture et de reflexion sur les partitions. Une vision, une revisitation moderne, donc, mais par un artiste au bagage infiniment lourd, à l’experience si longue qu’il s’epuisera avant même d’en finir avec ce labeur, et symboliquement, à l’oree de la 32e. Peut-on imaginer plus magnifique conclusion Il ne saurait même être question de comparer cette somme avec telle ou telle autre (bon, disons Arrau, par exemple). Ce serait absurde. Comme si des alpinistes s’avisaient de comparer la Nanda Devi, le K2 et l’Alpamayo. D’ailleurs, Gilels ne se demarque pas fondamentalement des ses aînes, ni de ses contemporains. Il ne fait pas non plus, fondamentalement, tellement "mieux". Non, ce qui le distingue, c’est l’integrite, l’homogeneite de son discours, des premières aux dernières sonates. Ce qui fait la valeur de cette quasi integrale, c’est, tout simplement, qu’elle nous semble venir de Beethoven lui-même - comme si Beethoven se reincarnait dans Gilels, son caractère abrupt, rocailleux, mais aussi son amour de la danse, son côte "peuple" et même un peu ours. Oh, bien sûr, on peut sourire et argumenter que le Beethoven d’aujourd’hui n’est pas celui d’hier ni celui de demain. J’ai la faiblesse de penser differemment. Il y a une telle humilite, une telle noblesse chez ce Gilels-là, un tel acharnement à "servir", et une telle amplitude de moyens, expressifs et digitaux, on se sent comme devant quelque chose de parfaitement abouti et, peut-être, de definitif. L’enregistrement est à la hauteur de l’interpretation, purement et simplement sublime.
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5 internautes sur 5 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Quel dommage, 23 avril 2010
Par DUNCANIDAHO "DUNCANIDAHO" (FRANCE) - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : 27 Sonates pour piano (CD)
Que la maladie n’ait pas permis à Emil Gilels de finir cette integrale.
Tout est en effet ici totalement en accord avec (ce que nous supposons être) la volonte du grand compositeur.
Quand Gilels et son grand ami et compatriote Svialoslav Richter ont commence à enregistrer les sonates de Beethoven, beaucoup se sont insurges devant tant d’audace et de vista.
Leurs interpretations semblaient revolutionnaires par rapports à celles des Backhaus et autres Schnabel.
Maintenant on s’apercoit que cette vision, plus rude, plus virile, plus abrupte aussi a fait ecole.
Cependant comme pour Richter, Gilels est loin de paraitre austère, la poesie est toujours presente,(le mouvement lent de la "Hammerklavier" le lyrisme toujours sous jacent et surtout on sent (comme chez Kempff ou Serkin) un amour et un respect quasi mystique de l’oeuvre.
Gageons que là haut Emil aura pu jouer la 32ème qui manque cruellement ici.
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Divas Glory Days-Italian Edition


Prix : EUR 116,97
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Divas Glory Days-Italian Edition Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
Une parcours passionnant de la carrière de Maria Callas, 23 juin 2011
Par igor "rouminsky" (Paris, France) - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Divas Glory Days-Italian Edition (CD)
Ce coffret très bien conçu retrace la carrière de Maria Callas au travers d’enregistrements pour la plupart ’live’ et certes bien connus. Pour qui ne souhaite pas forcement acquerir 20 ou 30 integrales d’operas par la Callas, cette edition est un excellent compromis.
Callas, hormis de rares exceptions, etait plus epoustouflante sur scène que dans un studio d’enregistrement. Il faut donc accepter des conditions sonores, parfois precaires, mais heureusement souvent acceptables.
La plupart des enregistrements s’etalent sur la periode doree de Callas, entre 1949 et 1955. Du premier CD (les debuts de Callas en 49 avec Bellini, Puccini et... Wagner), jusqu’aux 3 derniers CD’s consacres au verisme (curieusement intitules Tosca-Puccini-Verismo alors que ne figure aucun extrait de Tosca - seule lacune du coffret), la plupart des grands rôles de la Callas y sont representes.
A noter: 3 CD’s consacres à la seule Norma avec des extraits de... 6 representations. Passionnant pour qui veut comparer les differentes incarnations. Idem pour la Traviata qui occupe 3 CD’s egalement. L’essentiel du coffret est consacre à l’opera italien, même si l’on retrouve ici et là des extraits de Gluck, Mozart, Thomas, tous d’ailleurs chantes en italien, comme il etait d’usage à cette epoque.
Livret très complet et instructif de Jürgen Kesting avec une belle iconographie.
A recommander sans hesitation à tous les amoureux d’un âge d’or revolu du bel canto, et surtout aux admirateurs de la grande Callas.
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Trios for Piano Violin & Cello


Prix : EUR 43,75
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Trios for Piano Violin & Cello Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Trois beaux Trios avec piano, bien interpretes par le Trio Matisse, 4 octobre 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Trios for Piano Violin & Cello (CD)
Charles Edward Ives est ne en 1874 à Danbury, Connecticut (USA). Son père, George Ives, etait chef de la musique de l’artillerie de l’Union dans l’armee des États-Unis durant la guerre de Secession. L’une des choses ayant pu avoir influence sa future esthetique musicale fut d’avoir ecoute dans la place de Danbury la fanfare de son père jouant simultanement avec d’autres fanfares venant des autres côtes de la place. Celui-ci lui donna quelques cours de theorie musicale avec une grande ouverture d’esprit, encourageant son fils à experimenter des harmonisations bitonales voire polytonales ; Charles Ives s’entraîna ainsi à chanter des melodies dans une tonalite, tandis que son père l’accompagnait dans une autre tonalite. Son père lui fit egalement decouvrir la musique de Stephen Foster (1926-1964), le createur de la chanson populaire americaine. Charles Ives partit pour New Haven en 1893, fut diplôme à l’Hopkins School puis, en septembre 1894, suivit à l’Universite de Yale les cours d’Horatio Parker (1863-1919), et y termina ses etudes dans des domaines très divers, comprenant le grec, le latin, les mathematiques et la litterature. Il eut une remarquable carrière dans les assurances, fut president de l’Ivy League, association elitiste regroupant les meilleurs des anciens elèves des huit plus anciennes universites privees du nord-est des États-Unis, tout en etant à cette epoque un compositeur prolifique, jusqu’à ce qu’il soit victime d’arrêts cardiaques en 1918. En 1930, il prit sa retraite, ce qui lui donna plus de temps pour se consacrer à la musique, mais il resta incapable d’ecrire de nouvelles compositions, revisant toutefois dans les annees 1940 sa « Concord Sonata » pour piano. La musique de Charles Ives fut ignoree pendant presque toute sa vie, et beaucoup de ses oeuvres durent attendre de nombreuses annees avant d’être creees ; Henry Cowell (1897-1965) et Elliott Carter (ne en 1908) furent parmi les premiers defenseurs de sa musique. Ives est mort en 1954 à New York. Parmi ses oeuvres majeures, on peut noter deux Sonates pour piano, quatre Sonate pour violon et piano, un Trio avec piano, deux Quatuors à cordes, « The Unanswered Question » pour formation de chambre, « Central Park in the Dark » et dix « Sets » pour orchestre de chambre, deux « Sets » pour orchestre, dont « Three Places in New England », cinq Symphonies, dont la « Holidays Symphony », plusieurs oeuvres chorales pour Choeur ou pour Choeur et orchestre, ainsi que cent quatorze Melodies.
Luis de Pablo est ne en 1930 à Bilbao (Espagne). Il etudie très jeune la musique, mais suit les cours de droit de l’Universite Complutense de Madrid, dont il sort diplôme en 1952. Avocat, il complète sa formation musicale en autodictate, en analysant les oeuvres du XXe siècle et en s’exerçant à composer. Il se depense beaucoup pour faire connaître en Espagne la musique moderne, et fonde les concerts « Tiempo y Música » en 1959. Au debut des annees 1960, il se rend à Darmstadt, puis à Paris pour y suivre les cours de Max Deutsch (1892-1982), ancien elève d’Arnold Schönberg (1874-1951). Devant les oppositions des franquistes et de l’ETA, il s’exile aux États-Unis, où il enseigne à l’universite de Buffalo, puis au Canada, où il est professeur à l’universite d’Ottawa et à celle de Montreal. Parmi les oeuvres majeures qu’il a compose à ce jour, on peut noter un Sonate pour piano, « Il Violino spanolo » pour violon solo, « Saturno » pour 2 percussionnistes, un Trio à cordes, un Trio avec piano, « Modulos IV », « Parodia » et « Caligrafia serena » pour quatuor à cordes, « Metforas » pour piano et quatuor à cordes, « Sinfonias » pour dix-sept cuivres, un « Concierto de cmara » pour piano et orchestre de chambre, deux Concertos et « Sueños » pour piano et orchestre, un Concerto pour clavecin, « Une Couleur » pour saxophones et orchestre, « Quasi une fantasia » pour sextuor à cordes et orchestre, « Invenciones », « Tombeau » et « Oroitaldi » pour orchestre, les Operas « La Madre invita a comer », « Kiu » et « El Viajero indiscreto », « Zurezko olerkia » pour choeur mixte et percussions, ou bien encore le cycle « Tarde de poetas » pour soprano, baryton, choeur mixte et ensemble.
Alessandro Solbiati est ne en 1956 à Busto Arsizio (Italie). Parallèlement aux etudes de piano et de composition qu’il effectue au conservatoire de Milan avec Eli Perrotta et Sandro Gorliet, il suit les cours de Franco Donatoni (1927-2000) à « l’Accademia Chigiana » de Sienne de 1977 à 1980. Il a en particulier ete professeur au Conservatoire « Giovanni Battista Martini » de Bologne de 1982 à 1994, et enseigne la composition au Conservatoire « Giuseppe Verdi » de Milan depuis 1995. Parmi les oeuvres majeures qu’il a ecrit à ce jour, on peut noter une Sonate et « Interludio I- IV » pour piano, « Quaderno d’immagini » pour cymbalum, dedie à Luigi Gaggero, un Trio à cordes, un Trio avec piano, le « Quartetto con Lied » pour quatuor à cordes, « Notturno » pour Quintette, « Sette pezzi » pour orchestre à cordes, « By my Window » et « Quattro pezzi » pour piano et orchestre, « Canto per Ania » pour violoncelle et orchestre, « Die Sterne des Leidlands » pour orchestre, deux Symphonies, ou bien encore l’Oratorio « Nel deserto ».
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Mass: Pizzetti Masse Di Requiem


Prix : EUR 274,05
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Mass: Pizzetti Masse Di Requiem Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Pour la Messe de Martin, et le Requiem de Pizzetti, très bien interpretes, 18 août 2010
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Ce commentaire fait reference à cette edition : Mass: Pizzetti Masse Di Requiem (CD)
Frank Martin est ne en 1890 à Genève (Suisse). Avant même de debuter l’ecole, il jouait dejà du piano, maîtrisait l’improvisation et, à 9 ans, il composa des chants complets, sans avoir reçu aucune instruction musicale. Il etudia les mathematiques et la physique à l’Universite de Genève pendant deux ans, tout en travaillant à la composition et en etudiant le piano avec Joseph Lauber (1864-1952). De 1918 à 1926, il vecut à Zurich, à Rome et à Paris. En 1926, il fonda la Societe de Musique de Chambre de Genève, qu’il dirigea en tant que pianiste et claveciniste pendant 10 ans ; durant cette periode, il enseigna aussi la theorie musicale et l’improvisation à l’institut Jaques-Dalcroze, et la musique de chambre au Conservatoire de Genève. Pour trouver plus de temps pour ses compositions qu’il ne le pouvait en Suisse, il partit aux Pays-Bas en 1946, s’installa finalement à Naarden, mais, de 1950 à 1957, il enseigna neanmoins la composition au Staatliche Hochschule für Musik à Cologne (Allemagne). Par la suite, il renonça complètement à l’enseignement, et se concentra exclusivement sur ses compositions. Il est mort en 1974 à Naarden. Parmi ses oeuvres majeures, on peut noter huit Preludes pour piano, « Quatre pièces brèves » pour guitare, deux Sonates pour violon et piano, le « Trio sur des melodies populaires irlandaises » pour piano, violon et violoncelle, un Quatuor à cordes, la « Pavane couleur du temps » pour deux violons, alto et deux violoncelles, les « Six monologues de Jedermann », un Concerto pour sept instruments à vent, timpani, percussion et orchestre à cordes, « Polyptique » pour violon et deux petits orchestres de chambre, une Ballade pour saxophone, cordes, piano et percussion, deux Concertos pour piano, un Concerto pour violon, un Concerto pour violoncelle, une « Petite symphonie concertante », les Etudes symphoniques « Les quatre elements », une Symphonie, « Les Dithyrambes » pour soli, choeur et orchestre, l’Oratorio profane « Le vin herbe », les Oratorios « In Terra Pax » et « Golgotha », une Messe pour double choeur, un Requiem, ou bien encore « Der Cornet », cycle de Melodies d’après Rainer Maria Rilke.
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