mercredi 29 février 2012

Concertos Pour Violon


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Concertos Pour Violon Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Des interpretations parfaites, 15 fevrier 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Concertos Pour Violon (CD)
Nikolaï Miaskovsky est ne en 1881 à Novo-Georgievsk près de Varsovie (Pologne, à l’epoque faisant partie de la Russie), où son père, un officier russe, etait stationne. Il etait Lieutenant du Genie en 1906 lorsqu’il demissionna de l’Armee pour entrer au Conservatoire de Saint Petersbourg en 1906, où il fut l’elève de Nikolaï Rimski-Korsakov (1844-1908) et d’Anatoly Lyadov (1855-1914), après avoir pris des cours pendant quelques mois avec Reinhold Glière (1874-1956). Il se lia rapidement d’amitie avec un camarade d’etude, de dix ans son cadet, Serge Prokofiev (1891-1953), de qui il restera toute sa vie un ami très proche. Sa carrière musicale fut brutalement interrompue par la guerre, où il fut grièvement blesse. En 1921, il devint professeur de composition au conservatoire de Moscou, où il eut de nombreux elèves, parmi lesquels Vissarion Chebaline (1902-1963), Aram Khatchatourian (1903-1978), Dmitri Kabalevski (1904-1987), Evgeni Golubev (1910-1988), German Galinin (1922-1966) et Boris Boris Tschaikowski (1925-1996), et où sa probite intellectuelle le fit surnommer la « Conscience musicale de Moscou ». En 1947, il fut nommement denonce, en compagnie de Gavriil Popov (1904-1972), Dmitri Chostakovitch (1906-1975), Vissarion Chebaline, Serge Prokofiev, Aram Khatchatourian et Dmitri Kabalevski comme « formaliste », la pire accusation que le regime stalinien pouvait prononcer à l’encontre d’un artiste. Il mourut d’un cancer en 1950. Miaskovsky, initialement très proche d’Alexandre Scriabine (1871-1915) et de la philosophie de Fedor Dostoïevski (1821-1881), combine une inspiration melodique très profondement russe, alliee à une technique d’ecriture musicale influencee par le « Groupe des Six ». Il constitue un pont essentiel pour comprendre le passage de la musique russe du dix-neuvième siècle à celle du vingtième.
Le Concerto pour violon Op. 44 de Nikolaï Miaskovsky a ete compose au printemps 1938. Il fut cree à Moscou le 10 janvier 1939 par son dedicataire, David Oïstrakh, alors âge de trente ans. La première partie, dont l’ampleur est celle d’un mouvement symphonique, est de caractère melancolique, encore renforce par le chant rêveur du violon. Le mouvement central, lyrique et relativement court, est suivi du Final, plus developpe et qui exige une virtuosite extrême, tant de la part de l’orchestre que de celle du soliste.
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Falstaff [VHS] [Import USA]


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Falstaff [VHS] [Import USA] Reviews and Opinions



4 internautes sur 4 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Un très grand Falstaff avec un Karajan chez lui à Salzbourg, 28 octobre 2010
Par Lamouche Jean-Luc (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 100 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Falstaff (DVD)
Cet enregistrement live, d’une excellente qualite sonore, et d’une très bonne restitution d’images pour l’epoque (juin 1982 !), est une reference pour cet ouvrage lyrique du dernier Verdi, tire de la celèbre oeuvre de Shakespeare avec un excellent livret d’Arrigo Boito.
Le grand vieillard Verdi (il mourra en 1901 alors que ce dernier opus du maître date de 1893) contribua, avec cette oeuvre, à ouvrir la voie à ce qu’allait devenir l’opera au XXe siècle. En effet, Falstaff ne met en valeur aucune aria deployee (comme aimait à le faire Verdi jusqu’alors). On a en fait, la plupart du temps, un recit, assez proche de la melodie continue, et même parfois du "parlando" (entre chant et parole). Certains passages peuvent être compares à "l’arioso" wagnerien, en plus "moderne" encore (voir la date de creation de l’ouvrage).
Tout ici se trouve sous la direction de deux hommes : Herbert von Karajan, bien-sûr, qui maîtrise avec une energie comme d’habitude exceptionnelle l’Orchestre Philharmonique de Vienne ; mais aussi le metteur en scène Günther-Schneider-Siemssen, qui fut un des artistes preferes du maestro à Salzbourg notamment.
A ce propos, il faut dire que la mise en scène et les decors sont très conventionnels ; mais, qui s’en plaindra dans la periode actuelle du parfois n’importe quoi
Les principaux interprètes sont très bons : citons Giuseppe Taddei (Falstaff), Rolando Panerai (Ford), la grande Christa Ludwig (Mrs. Quickly), Francisco Araiza (Fenton), Raina Kabaivanska (Alice Ford), Janet Perry (Nannetta), etc.
Voilà donc une equipe solide, qui emporte l’adhesion, surtout dans l’Acte III, avec le second tableau (scène fantastique du chêne et du chasseur noir, suivie de la si celèbre et extraordinaire fugue finale).
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2 internautes sur 2 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
unr grande soiree, 9 janvier 2010
Par discophile "lediscophile" (Montpellier, France) - Voir tous mes commentaires(TOP 100 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Falstaff (DVD)
Ce live est captivant de bout en bout avec d’abord une musique d’un legèrete toute Mozartienne du dernier Verdi. Falstaff a toujours reussi à Karajan (integrale EMI avec Moffo, schwarzkopf etc de reference), on est ebloui par le niveau des chanteurs et de l’orchestre viennois qui obeit au doigt et à l’oeil du grand Karajan.
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4 internautes sur 7 ont trouve ce commentaire utile :
3.0 etoiles sur 5
un vaudeville, 22 mai 2004
Par joe (beyrouth Liban) - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Herbert Von Karajan - His Legacy for Home Video: Giuseppe Verdi - Falstaff [Import USA Zone 1] (DVD)
Bien sûr l’orchestre est fabuleux. La direction aussi. Taddeï force un peu sur la rouerie, la Ludwig, elle ,crève l’ecran.Les sortilèges du parc de Windsor nous font penser à la" Fairy Queen "de Purcell. La mise en scène aurait pû être plus drôle.Malheureusement on ne rit jamais.
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Chostakovitch - Symphonies 5 & 6 ( coll. Grand Répertoire )


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Chostakovitch - Symphonies 5 & 6 ( coll. Grand Répertoire ) Reviews and Opinions



3 internautes sur 3 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Deux eprouvants temoignages de Mitropoulos et Reiner dans Chostakovitch, 17 juillet 2006
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Chostakovitch - Symphonies 5 & 6 ( coll. Grand Repertoire ) (CD)
Très caracteristique du style incantatoire de Mitropoulos, cette lecture captee en 1953 à New York propose un visage torture et convulsif de la "Cinquième symphonie", qui subit ici un traitement quasi expressionniste.
Les dechirements de conscience du compositeur sont tirailles jusqu’au tourment. Voilà qui exacerbe l’inquietude et la substance tragique de cet opus en trompe-l’oeil, mais dissimule en même temps sa subtile ironie.
Tout amateur de Chostakovitch devra neanmoins connaître cette approche très particulière, qui instille le fantôme du psychodrame mahlerien dans cette partition d’apparence postromantique.
Plus eprouvante encore : cette "Sixième" qu’enregistra Fritz Reiner à Pittsburgh en 1945.
Passant de l’effroi à la dereliction, le "largo" glace le sang par sa froideur irremissible. Les deux mouvements vifs ne se deparent pas de ce sentiment tragique, et semblent en permanence sous le joug d’une obedience astreignante.
D’un pessimisme sans secours, cette version s’impose par son intransigeance, sa perfection formelle et son refus de l’ambivalence parodique, comme un des temoignages les plus sombres de la discographie chostakovienne.
Inattendu dans ce repertoire, le chef hongrois confère à l’oeuvre une raideur qu’on n’avait jamais entendue à ce degre de malaise.
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Concerto Pour Piano N 2


Prix : EUR 46,95
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Concerto Pour Piano N 2 Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Une très belle interpretation du Concerto pour piano N° 2 de Hans Werner Henze, 31 janvier 2010
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Concerto Pour Piano N 2 (CD)
Hans Werner Henze est ne en 1926 à Gütersloh, Westphalie (Allemagne). Il debute ses etudes musicales à la Staatsmusikschule de Braunschweig en 1942, puis travaille comme pianiste accompagnateur du Stadttheater de Bielefeld en 1945, avant de reprendre ses etudes à l’Institut de musique sacree de Heidelberg où il est, de 1946 à 1948, l’elève de Wolfgang Fortner (1907-1987). Assistant aux premières academies musicales de Darmstadt dès 1946, il y rencontre deux ans plus tard Rene Leibowitz avec lequel il travaille intensivement, et « Apollo et Hyazinthus » d’après Trakl, pour clavecin, huit instruments solistes et voix d’alto compose en 1949 temoigne de cet enseignement du dodecaphonisme. Il noue parallèlement des liens avec le theâtre, et collabore en particulier avec Heinz Hilpert au Deutsches Theater de Constance, où est cree en 1948 son premier Opera, « Das Wundertheater » d’après Cervantès. Après des sejours à Berlin et Munich, il choisit de s’installer en Italie en 1953, où sa musique est alors influencee par la vocalite italienne. De 1962 à 1967, Henze assure des master-classes de composition au Mozarteum de Salzbourg. Dans les annees qui suivent, il s’oriente vers le marxisme, et passe un an à Cuba, où il enseigne et où il dirige sa sixième Symphonie en novembre 1969. Il a fonde les Cantieri Internazionali d’Arte à Montepulciano en 1976, et consacre depuis une partie de son temps à l’enseignement.
Parmi les oeuvres majeures qu’il a compose à ce jour, on peut noter une Sonate pour piano, une Sonate et une « Serenade » pour violon solo, une « Serenade » pour violoncelle seul, deux Sonates pour guitare, une Sonatine pour trompette solo, la Suite « Five Scenes from the Snow Country » pour marimba solo, une Sonate pour violon et piano, une Sonate pour alto et piano, cinq Quatuors à cordes, un Quintette avec piano, un Quintette à vent, une Sonate pur trompette piccolo, trois trompettes, cor et trois trombones, deux Concertos pour piano, trois Concertos pour violon, un Concerto pour contrebasse, une « Fantaisie » pour cordes, « Compases para preguntas ensimismadas », « Tristan » et « Sebastian im Traum » pour ensemble orchestral, dix Symphonies, de nombreux Operas et oeuvres lyriques, dont « Boulevard Solitude », « König Hirsch », « Der Prinz von Homburg », « Elegy for Young Lovers », « The Bassarids », « Der junge Lord », « Der langwierige Weg in die Wohnung der Natascha Ungeheuer », « We Come to the River », « The English Cat », « Das verratene Meer », « Venus und Adonis », « L’Upupa und der Triumph der Sohnesliebe », « Phaedra », ou bien encore « Elogium Musicum (amatissimi amici nunc remoti) », des musiques de ballet, dont « Undine », l’Oratorio « Das Floß der Medusa », un Requiem, de nombreuses pièces vocales, ainsi que des musiques de film
(Pour le Concerto pour piano N° 1 de Hans Werner Henze : Peter Ruzicka, piano ; NDR Orchestra, Christopher Tainton ; Wergo, 2007 - ASIN B0000ADYD1).
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Divertissement pour quintette vents Op.6


Prix : EUR 40,00
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Divertissement pour quintette vents Op.6 Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
En particulier, pour la « Serenade » pour flûte, violon, alto, violoncelle et harpe d’Albert Roussel, très bien interpretee, 19 juillet 2011
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Divertissement pour quintette vents Op.6 (CD)
Albert Roussel est ne à Tourcoing en 1869. Il est admis l’École Navale en 1887. Au retour d’une campagne, il s’installe à la fin de l’annee 1893 à Roubaix dans sa famille, suit des cours d’harmonie avec Julien Koszul (1844-1927). Il demissionne de la marine pour se consacrer à la musique, se fixe à Paris en 1894, où il est elève d’Eugène Gigout (1844-1925). En 1898, il s’inscrit à la Schola Cantorum, et suit les cours d’orchestration de Vincent d’Indy (1851-1931). De 1902 à 1914, il y assure les cours de contrepoint, et a comme elèves Erik Satie (1866-1925), Paul Le Flem (1881-1984), Edgard Varese (1883-1960), ou bien encore Roland-Manuel (1891-1966). Il fit en 1909 un voyage aux Indes et au Cambodge, qui lui inspirent les « Évocations » (1911). En 1914, il s’engagea dans l’armee de terre. En 1918, il s’installa tout d’abord à Perros-Guirec, puis, en 1922, il acheta une propriete en bord de mer à Varengeville. Il mourut à Royan en 1936. Parmi ses oeuvres majeures, on peut citer une suite en fa dièze et une Sonatine pour piano, deux Sonates pour violon et piano, trois Trio, un Quatuor à cordes, une « Serenade » pour flûte, violon, alto, violoncelle et harpe, le ballet-pantomime « Le Festin de l’Araignee » et la ballet « Bacchus et Ariane », « Pour une Fête de Printemps », la « Suite en fa » pour orchestre, un Concerto pour piano, un Concertino pour violoncelle, la « Petite Suite » pour orchestre, une Sinfonietta pour orchestre à cordes, quatre Symphonies, l’Opera « Padmâdvatî », ainsi que de nombreuses melodies sur des poèmes de Pierre de Ronsard, de François-Rene de Chateaubriand, d’Henri de Regnier, ou bien encore de James Joyce.
La Serenade Op. 30 a ete ecrite par Roussel en 1925, dans un style desormais debarrasse de tout element romantique et impressionniste. Le premier mouvement, Allegro, très alerte, contient un vigoureux episode central, qui reapparait comme coda. Le second mouvement, Andante, est bâti autour de deux thèmes remarquables, celui de la partie de flûte de la première section, et celui de la partie de violoncelle, amplement developpe, qui forme la partie centrale du mouvement. Le Presto energique final commence par une section rythmique rapide, tandis qu’une longue melodie soutenue par l’alto en constitue l’episode central. L’oeuvre se poursuit par le retour de la première section, dont l’energie s’evapore progressivement, avant de se conclure par un accord particulièrement incisif.
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mardi 28 février 2012

Great Recordings 1937-41


Prix :
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Great Recordings 1937-41 Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
L’altiste des altistes, William Primrose, joue Mozart, 2 novembre 2008
Par Denis Urval (Paris, France) - Voir tous mes commentaires(TOP 10 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Great Recordings 1937-41 (CD)
William Primrose, createur du Concerto posthume de Bartok ecrit à son intention, reste un des plus grands altistes de l’’histoire et cette Symphonie concertante de Mozart qu’’il a gravee en 1941 demeure un enregistrement particulièrement marquant. Il faut dire qu’’Albert Spalding (1888-1953), s’’il n’’est pas très connu aujourd’hui, est un violoniste aerien et spirituel, qui s’’accorde avec lui à merveille. Et à en juger par ce qu’’on entend ici, qui concorde avec certains temoignages laudateurs, Fritz Stiedry (1883-1968) etait vraiment un excellent chef (le predecesseur de Mravinsky à Leningrad, qui aurait dû creer la 4e de Chostakovitch, c’’etait lui). Un alto aussi rayonnant, avec un son très charnu et fruite, est en soi une fête. Le duo du second mouvement, tout de même une des plus grandes choses qui soient, peut difficilement être mieux servi. Vous ne penserez plus à l’’âge de la prise de son et vous retrouverez un vrai moment de musique. Peut-être aurons nous un jour une restauration intelligente (la politique de Pearl est très peu interventionniste, ce qui a les defauts de ses qualites) et une plus belle pochette. Mais à moins de preferer le son digital à la musique, ce qui est tout de même dommage, on peut difficilement aimer l’’½uvre et dedaigner deliberement cet enregistrement essentiel et toujours jeune.
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Ravel : Bolero ; La Valse ; Pavane pour une infante défunte ; Rapsodie espagnole ; Ma Mère lOye


Prix : EUR 30,95
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Ravel : Bolero ; La Valse ; Pavane pour une infante défunte ; Rapsodie espagnole ; Ma Mère lOye Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Monteux dirige Ravel : une bouffee d’air pur, 20 juin 2008
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Ravel : Bolero ; La Valse ; Pavane pour une infante defunte ; Rapsodie espagnole ; Ma Mère l’Oye (CD)
Ces enregistrements realises en 1962 au crepuscule de la carrière de Pierre Monteux sont des classiques absolus de la discographie ravelienne.
Quelle leçon de style dans la "Rhapsodie espagnole" ! Le chef moustachu parvient à donner du sens à chaque phrase et leur confère l’eloquence la plus juste.
Sa direction tout en nuances ne cherche pas à flatter la chaleur ou l’exaltation festive mais exprime des affects changeants, amers et farouches.
Telle une eau-forte, cette lecture aceree et tranchante met en relief les contrastes subtils et les atmosphères capiteuses de la partition sans jamais recourir au coloriage.
N’oubliant pas la mise en abîme qui constitue la trame de "Ma mère l’Oye", l’approche narrative de Monteux se laisse percevoir comme un conte initiatique. Depuis le prelude qui rumine de sombres inquietudes jusqu’au "jardin feerique, chaque microcosme est scrute avec une acuite qui semble en avoir sonde tout le desenchantement (pavane), l’ironie (la Belle et la Bête), la desillusion (Petit Poucet), la vacuite (Laideronnette).
La concentration du Symphonique de Londres est en phase avec cette lecture amère qui n’aura jamais autant renie l’innocence du modèle pianistique original pour imposer une magistrale hauteur de conception.
"La Valse" trouve ici une legèrete de mouvement qui met en valeur tous les details de sa texture, grâce à une transparence chambriste.
Mais qu’on ne s’y trompe pas : cette veneneuse epure souligne le profond cynisme de l’oeuvre.
Quant au "Bolero", voilà sans doute un des plus circonspect qui fût jamais grave.
Sur un accompagnement rythmique très sobre, les solos se decantent, susurrent pour mieux insinuer (ecoutez le basson, le saxo sopranino) : une interpretation suprêmement raffinee, d’une elegance un rien revêche, belle comme un rêve de pierre...
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Trios Op.99 & 100 / Notturno / Sonatensatz


Prix : EUR 55,75
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Le Trio Wanderer – formé du pianiste Vincent Coq, du violoniste Jean-Marc Philips-Varjabédian et du violoncelliste Raphaël Pidoux – ne pouvait qu'enregistrer ces oeuvres de Schubert. Pour cause, le thème du Wanderer (voyager) est symbolique du romantisme allemand, de Schubert en particulier, dont la pensée musicale est filigranée par l'idée d'errance. L'ensemble français a eu l'excellente initiative de ne pas graver Schubert trop tôt, mais après quelques galops d'essai. En résultent aujourd'hui une musicalité inouïe, affirmée et une compréhension du langage du compositeur incontestable. Techniquement parfait, le Trio Wanderer entraîne l'auditeur dans un voyage au coeur de l'âme de Schubert. Séduction assurée.--Pierre Guillaume
Le Trio Wanderer – formé du pianiste Vincent Coq, du violoniste Jean-Marc Philips-Varjabédian et du violoncelliste Raphaël Pidoux – ne pouvait qu'enregistrer ces oeuvres de Schubert. Pour cause, le thème du Wanderer (voyager) est symbolique du romantisme allemand, de Schubert en particulier, dont la pensée musicale est filigranée par l'idée d'errance. L'ensemble français a eu l'excellente initiative de ne pas graver Schubert trop tôt, mais après quelques galops d'essai. En résultent aujourd'hui une musicalité inouïe, affirmée et une compréhension du langage du compositeur incontestable. Techniquement parfait, le Trio Wanderer entraîne l'auditeur dans un voyage au coeur de l'âme de Schubert. Séduction assurée.--Pierre Guillaume

Trios Op.99 & 100 / Notturno / Sonatensatz Reviews and Opinions



8 internautes sur 8 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Pour un delicieux moment d’emotion, 16 septembre 2003
Par Un client
Ce commentaire fait reference à cette edition : Trios Op.99 & 100 / Notturno / Sonatensatz (CD)
Un disque qui ravira tant les "aficionados" du trio Wanderer ou de Schubert que les amateurs de classiques moins avertis: les pièces sont de choix, l’interpretation magique. Le disque rêve pour s’initier à Schubert, et tout à la fois un delice pour des oreilles plus exercees. Une perle!
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lundi 27 février 2012

Quatuors parisiens


Prix : EUR 72,00
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Compositeur le plus prolixe de son temps (il laisse plus de mille oeuvres de tout genre), Telemann apprit pourtant la musique en autodidacte. Il occupa rapidement diverses fonctions de Kapellmeister avant de s'établir définitivement à Hambourg comme Cantor et Musikdirector. Son style est presque impossible à définir, tant il est varié et sait s'adapter au sujet à traiter. C'est une synthèse entre l'art traditionnel de contrepoint et une certaine volubilité héritée de l'opéra italien. Dans les Quatuors Parisiens, on perçoit bien sûr une forte influence française, que Telemann sait intégrer avec beaucoup de métier à sa propre voie. L'interprétation qu'en propose l'équipe réunie autour de Gustav Leonhardt est une grande référence "baroque" que l'on peut croire définitive. La cohésion est merveilleuse, l'entente parfaite : la musique de Telemann coule de source. --Pierre Massé
Compositeur le plus prolixe de son temps (il laisse plus de mille oeuvres de tout genre), Telemann apprit pourtant la musique en autodidacte. Il occupa rapidement diverses fonctions de Kapellmeister avant de s'établir définitivement à Hambourg comme Cantor et Musikdirector. Son style est presque impossible à définir, tant il est varié et sait s'adapter au sujet à traiter. C'est une synthèse entre l'art traditionnel de contrepoint et une certaine volubilité héritée de l'opéra italien. Dans les Quatuors Parisiens, on perçoit bien sûr une forte influence française, que Telemann sait intégrer avec beaucoup de métier à sa propre voie. L'interprétation qu'en propose l'équipe réunie autour de Gustav Leonhardt est une grande référence "baroque" que l'on peut croire définitive. La cohésion est merveilleuse, l'entente parfaite : la musique de Telemann coule de source. --Pierre Massé

Quatuors parisiens Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
La reference, 23 septembre 2007
Par Etienne Feron "Bachmaniaque" (Charleroi, Belgique) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Quatuors "parisiens" (CD)
C’est sans peine que cette interpretation habitee s’elève à la première marche du podium, tant les 3 frères Kuijken font preuve de complicite et de sensibilite dans ce repertoire qu’ils affectionnent particulièrement. Cette version est encore transcendee par la presence souveraine de Gustav Leonhardt au clavecin.
Aujourd’hui, seul l’ensemble Florilegium serait capable de se hisser à un niveau de qualite presqu’aussi eleve. Mais il doit encore progresser pour atteindre les sommets.
On l’aura compris, la version Kuijken est la reference incontestatble.
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Vaughan Williams - Symphonies 1 ? 9 / Concerto Academico / The Wasps, ouverture


Prix : EUR 37,39
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Vaughan Williams - Symphonies 1 ? 9 / Concerto Academico / The Wasps, ouverture Reviews and Opinions



2 internautes sur 4 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Les symphonies de Ralph Vaughan Williams, très bien interpretees, 18 fevrier 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Vaughan Williams - Symphonies 1 à 9 / Concerto Academico / The Wasps, ouverture (CD)
Les cent dernières annees ont vu la composition de plusieurs cycles de symphonies de très grande qualite, depuis celui de Guy Ropartz (1864-1955) à celui de Erkki-Sven Tüür (ne en 1959), en passant par celui de Carl Nielsen (1865-1931), d’Alexandre Glazunov (1865-1936), de Jean Sibelius (1865-1957), de Wilhelm Peterson-Berger (1867-1942), de Charles Tournemire (1870-1939), de Hugo Alfven (1872-1960), de Charles Ives (1874-1954), d’Havergal Brian (1876-1972), de Jan van Gilse (1881-1944), de Karl Weigl (1881-1949), de Nikolaï Miaskovsky (1881-1950), de Georges Enesco (1881-1954), de Gian Francesco Malipiero (1882-1973), d’Arnold Bax (1883-1953), d’Egon Wellesz (1885-1974), d’Heitor Villa-Lobos (1887-1959), d’Ernst Toch (1887-1964), de Kurt Atterberg (1887-1974), de Bohuslav Martinü (1890-1959), de Serge Prokofiev (1891-1953), d’Arthur Honegger (1892-1955), de Darius Milhaud (1892-1974), de Jean Absil (1893-1974), d’Erwin Schulhoff (1894-1942), de Walter Piston (1894-1976), de Paul Hindemith (1895-1963), de Boris Lyatoshinsky (1895-1968), de William Grant Still (1895-1978), d’Howard Hanson (1896-1931), de Richard Flury (1896-1967), de Roger Sessions (1896-1985), de Jean Rivier (1896-1987), d’Alexandre Tansman (1897-1986), de Roy Harris (1898-1979), de Marcel Mihalovici (1898-1985), de Robert Casadesus (1899-1972), de Carlos Chvez (1899-1978), de George Antheil (1900-1959), d’Ernst Krenek (1900-1991), d’Edmund Rubbra (1901-1986), de Conrad Beck (1901-1986), de Vissarion Chebaline (1902-1963), de Gavriil Popov (1904-1972), de Karl Amadeus Hartmann (1905-1963), d’Eduard Tubin (1905-1982), de William Alwyn (1905-1985), d’Eugène Bozza (1905-1991), de Benjamin Frankel (1906-1973), de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) bien sûr, mais aussi de Paul Creston (1906-1985), d’Arnold Cooke (1906-2005), d’Ahmed Adnan Saygun (1907-1991), de Camargo Guarnieri (1907-1993), de Miloslav Kabelc (1908-1979), de Vagn Holmboe (1909-1996), de William Schuman (1910-1992), d’Allan Pettersson (1911-1980), d’Alan Hovhaness (1911-2000), de Donald Gillis (1912-1978), de Daniel Jones (1912-1993), de George Lloyd, 1913-1998), d’Humphrey Searle (1915-1982), de Vincent Persichetti (1915-1987), de David Diamond (1915-2005), d’Isang Yun (1917-1995), de Richard Arnell (ne en 1917), de George Rochberg (1918-2005), de Lex van Delden (1919-1988), de Cludio Santoro (1919-1989), de Mieczyslaw Weinberg (1919-1996), de Galina Oustvolskaïa (1919-2006), d’Alexander Lokshin (1920-1987), de Peter Racine Fricker (1920-1990), de Robert Simpson (1921-1997), de Malcolm Arnold (1921-2006), de Francis Thorne (ne en 1922), d’Hans Werner Henze (ne en 1926), d’Einojuhani Rautavaara (ne en 1928), d’Avet Terterian (1929-1994), de John Davison (ne en 1930), d’Aubert Lemeland (ne en 1932), de David Morgan (ne en 1932), de Jaan Rääts (ne en 1932), de Jacques Charpentier (ne en 1933), de Krzysztof Penderecki (ne en 1933), d’Alfred Schnittke (1934-1998), de Peter Maxwell Davies (ne en 1934), de Guia Kantcheli (ne en 1935), de Philip Glass (ne en 1937), de Valentin Silvestrov (ne en 1937), de William Bolcom (ne en 1938), de William Thomas McKinley (ne en 1938), de Boris Tishchenko (ne en 1939), de Leif Segerstam (ne en 1944), de Peteris Vasks (ne en 1946), de Jean-Claude Wolff (ne en 1946), ou bien encore de Kalevi Aho (ne en 1949), sans compter de nombreux chef-d’oeuvres isoles. L’ensemble des symphonies que nous a laisse Ralph Vaughan Williams est l’un de plus remarquables parmi ceux-ci.
Ralph Vaughan Williams est ne en 1872 à Down Ampney, Comte de Gloucestershire (Royaume-Uni). A la suite de la mort de son père en 1875, il fut eleve par sa mère, Margaret Susan, l’arrière-petite-fille de l’industriel Josiah Wedgwood, dans la maison familiale de la dynastie Wedgwood ; on peut noter qu’il etait egalement parent de Charles Darwin, son grand-oncle et, qu’en depit de ses origines sociales, Ralph Vaughan Williams militera toute sa vie en faveur d’un ideal democratique et egalitaire contre la societe etablie. Alors qu’il effectuait ses etudes à la prestigieuse Charterhouse School, il apprit le piano et le violon, puis frequenta le Royal College of Music de Kensington, où enseignait Charles Villiers Stanford (1852-1924). Il poursuivit des etudes d’histoire et de musique au Trinity College à Cambridge, où il se lia d’amitie notamment avec les futurs philosophes George Edward Moore et Bertrand Russell, puis finit par revenir au Royal College of Music où il etudia cette fois, en compagnie de son camarade de classe Gustav Holst (1874-1934), sous la houlette de Sir William Parratt (1841-1921) et d’Hubert Parry (1848-1918). En 1897, il visita l’Allemagne où il suivit l’enseignement de Max Bruch (1838-1920). En parallèle, Vaughan Williams decouvrit la musique traditionnelle anglaise ; ses efforts pour faire reconnaître cet heritage ont largement contribue à la re-appreciation de la culture musicale folklorique anglaise, notamment en tant que president de l’English Folk Dance and Song Society. Vaughan Williams etait âge de quarante-et-un ans quand debuta la Grande Guerre ; bien qu’il ait eu la possibilite d’echapper à tout service militaire ou de servir comme grade, il choisit de s’enrôler comme simple soldat dans le Royal Army Medical Corps. Au sortir de la guerre, il adopta un temps un style musical aux accents mystiques dans sa Symphonie n° 3 (« A Pastoral Symphony ») mais, à partir de 1924, il entama une nouvelle phase musicale, caracterisee avant tout par des accords dissonants et un rôle important de la polyrythmie. A la même epoque, il prodigua son enseignement en Amerique et en Angleterre, tout en dirigeant The Bach Choir ; il fut decore de l’Ordre du Merite en 1935 lors des ceremonies de l’Anniversaire du Roi, ayant decline anterieurement le titre de chevalier. Il mourut en 1958 à Londres ; ses funerailles eurent lieu à l’abbaye de Westminster, où ses cendres reposent près de celles d’Henry Purcell.
Au nombre de ses oeuvres majeures, on peut noter un « Prelude et fugue » pour orgue, une Sonate pour violon et piano, « Six Studies in English Folk-Song » pour violoncelle et piano, deux Quatuors à cordes, un Quintette avec piano, un « Phantasy Quintet » pour deux violons, deux altos et violoncelle, un Concerto pour piano, un Concerto pour deux pianos, « The Lark Ascending » et un Concerto pour violon et orchestre, une Suite pour alto et orchestre de chambre, un Concerto pour hautbois, un Concerto pou tuba, une « Fantasia on a Theme of Thomas Tallis » et une « Fantasia on Greensleeves », dix Symphonies, six Operas, dont « The Pilgrim’s Progress » et « Riders to the Sea », des musiques de ballet, dont « Job: A Masque for Dancing », des musiques vocales, dont « Five Mystical Songs » pour baryton, choeur et orchestre, sur un texte de George Herbert, une Messe en sol mineur, l’Oratorio « Hodie », « Dona nobis pacem » sur une texte de Walt Whitman, des Melodies, dont « Three Poems » sur des textes de Walt Whitman, et « Four Poems » sur des textes de Fredegond Shove, ainsi que plusieurs musiques de film.
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Berio : Formazioni / Folk songs / Sinfonia


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Berio : Formazioni / Folk songs / Sinfonia Reviews and Opinions



3 internautes sur 3 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
La symphonie du temps present, 18 juillet 2009
Par Veilleur - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Berio : Formazioni / Folk songs / Sinfonia (CD)
Difficile de ne pas être enthousiasme par ce disque qui se clôt avec la Sinfonia. Je ne connaissais pas Luciano Berio avant d’entendre ce disque et cela a ete reellement une decouverte. Pourtant, j’avoue avoir eu du mal à entrer dans sa musique.
Le premier titre (Formazioni) date de 1987 et il est difficile de cacher son aspect très dramatisant. L’usage de tonalites stridentes et dissonantes dans les cordes et les grands coups de cuivres/percussions n’incitent pas l’oreille au repos ! Par ailleurs, le livret donne avec ce disque explique que c’est surtout le placement de l’orchestre qui fait presque à lui tout seul l’originalite de l’oeuvre. L’auditeur de salon ne s’en rend pas forcement compte ! C’est un argument très mineur qui est du même acabit que celui qui voudrait que ce soit la couleur le principal argument de vente d’une voiture ! Passons.
Les folks songs sont plus variees, surprenantes et utilisant des formes musicales très variees qui reprennent parfois des formes anciennes et très aisement reconnaissables quant aux traditions populaires françaises (Rossignolet des bois, Malurous qu’o une fenno (à propos duquel il faut signaler à l’editeur que l’Auvergne est en France !)).
Mais c’est surtout Sinfonia qui est la pièce maîtresse de ce disque et qui vaut à elle toute seule son acquisition. C’est un choc d’ecouter cette ½uvre polymorphe de 1968. Berio y montre une très grande maîtrise de la composition. C’est un assemblage assez heteroclite de style et en même temps l’auditeur a le sentiment d’une grande homogeneite. La section centrale et très representative de ce patchwork qui fait penser à du zapping musical, ou du copier-coller (Merci Gustav Mahler). Tout cela se croise, se percute, se fusionne. La notice indique que l’½uvre ressemble au Finnegans Wake de Joyce. On le croit sans peine qaund la fin ramène au debut. C’est Joyce, mais c’est egalement T.S. Eliot(In my end is my beginning). Une fin musicalement exigeante et reclamant de l’attention à l’auditeur, lequel est assez deroute.
Une oeuvre majeure executee de main de maître par Riccardo Chailly et l’orchestre du Concergebouw d’Amsterdam.
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3 internautes sur 4 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Un theâtre pour l’oreille, 25 mai 2008
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Berio : Formazioni / Folk songs / Sinfonia (CD)
Cet album constitue une magnifique invitation à decouvrir le talent d’experimentateur de Luciano Berio (1925-2003), dont le chaleureux langage musical demeure un des plus accessibles au sein du repertoire moderne.
Celebrant le quatre-vingt dixième anniversaire du Concertgebouw d’Amsterdam et cree en ce lieu prestigieux sous la baguette de Riccardo Chailly en 1987, "Formazioni" tire sa substance dramatique d’un agencement particulier des groupes instrumentaux (-un effet spatial qui prend toute sa dimension au concert quoiqu’imparfaitement restitue par l’ecoute binaurale d’un CD) mais aussi de fines textures kaleidoscopiques que les musiciens neerlandais realisent ici de façon grisante.
Ecrite pour huit voix amplifiees (les Swingle Singers en etaient dedicataires) et grand orchestre, "Sinfonia" est un etonnant creuset de citations litteraires (Levi-Strauss, Beckett, Joyce...) et d’allusions à des evenements contemporains (Martin Luther King, slogans d’etudiants de mai 1968...) qui tissent des relations complexes offertes à l’intelligence de l’auditeur, etant dit que certains schemas appellent à une perception inconsciente.
Particulièrement emblematique de cette demarche de brassage culturel, la partie centrale (« in ruhig fliessender Bewegung ») utilise la charpente du scherzo de la deuxième symphonie de Mahler pour y greffer « une proliferation de references musicales suggerees, harmonisees et integrees dans le flot et la structure du discours original », citant notamment des echos de "La Mer" de Debussy et "La Valse" de Ravel. Avec un humour sous-jacent : les chanteurs sont finalement invites à se nommer et à remercier le chef (« thank you, Mr Chailly... »)
Pour Erato, Pierre Boulez avait grave une version de reference, qui se voit selon moi surclassee par la somptuosite et la virtuosite de l’apparat deploye par l’orchestre amstellodamois.
Les "Folk Songs" furent dedies à la mezzo-soprano Cathy Berberian, muse du compositeur italien avec qui elle les enregistra pour RCA.
Auvergne, Amerique, Sicile, Armenie, Azerbaïdjan... ces onze chants polyglottes (traduits dans le livret du CD) nous font eclectiquement traverser les continents, exigeant une technique vocale et des ressources poetiques dont Jard van Nes affirme une subjuguante maîtrise.
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1 internaute sur 6 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
L’une des plus grandes symphonies ecrite au vingtième siècle, 20 fevrier 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Berio : Formazioni / Folk songs / Sinfonia (CD)
Le vingtième siècle a vu la composition de plusieurs cycles de symphonies de très grande qualite, depuis celui de Guy Ropartz (1864-1955) à celui de Peteris Vasks (ne en 1946), en passant par celui de Carl Nielsen (1865-1931), d’Alexandre Glazunov (1865-1936), de Jean Sibelius (1865-1957), de Wilhelm Peterson-Berger (1867-1942), de Charles Tournemire (1870-1939), de Ralph Vaughan Williams (1872-1958), de Hugo Alfven (1872-1960), d’Havergal Brian (1876-1972), de Jan van Gilse (1881-1944), de Karl Weigl (1881-1949), de Nikolaï Miaskovsky (1881-1950), de Gian Francesco Malipiero (1882-1973), d’Arnold Bax (1883-1953), d’Egon Wellesz (1885-1974), d’Heitor Villa-Lobos (1887-1959), d’Ernst Toch (1887-1964), de Kurt Atterberg (1887-1974), de Bohuslav Martinü (1890-1959), de Serge Prokofiev (1891-1953), d’Arthur Honegger (1892-1955), de Darius Milhaud (1892-1974), d’Erwin Schulhoff (1894-1942), de Walter Piston (1894-1976), de Paul Hindemith (1895-1963), de Boris Lyatoshinsky (1895-1968), d’Howard Hanson (1896-1931), de Roger Sessions (1896-1985), d’Alexandre Tansman (1897-1986), de Roy Harris (1898-1979), de Carlos Chvez (1899-1978), de George Antheil (1900-1959), d’Ernst Krenek (1900-1991), d’Edmund Rubbra (1901-1986), de Conrad Beck (1901-1986), de Vissarion Chebaline (1902-1963), de Gavriil Popov (1904-1972), de Karl Amadeus Hartmann (1905-1963), d’Eduard Tubin (1905-1982), de William Alwyn (1905-1985), de Benjamin Frankel (1906-1973), de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) bien sûr, mais aussi de Paul Creston (1906-1985), d’Arnold Cooke (1906-2005), d’Ahmed Adnan Saygun (1907-1991), de Camargo Guarnieri (1907-1993), de Miloslav Kabelc (1908-1979), de Vagn Holmboe (1909-1996), de William Schuman (1910-1992), d’Allan Pettersson (1911-1980), d’Alan Hovhaness (1911-2000), de Donald Gillis (1912-1978), de Daniel Jones (1912-1993), d’Humphrey Searle (1915-1982), de David Diamond (1915-2005), d’Isang Yun (1917-1995), de Richard Arnell (ne en 1917), de George Rochberg (1918-2005), de Lex van Delden (1919-1988), de Cludio Santoro (1919-1989), de Mieczyslaw Weinberg (1919-1996), de Galina Oustvolskaïa (1919-2006), d’Alexander Lokshin (1920-1987), de Peter Racine Fricker (1920-1990), de Robert Simpson (1921-1997), de Malcolm Arnold (1921-2006), d’Hans Werner Henze (ne en 1926), d’Einojuhani Rautavaara (ne en 1928), d’Avet Terterian (1929-1994), de John Davison (ne en 1930), d’Aubert Lemeland (ne en 1932), de David Morgan (ne en 1932), de Krzysztof Penderecki (ne en 1933), d’Alfred Schnittke (1934-1998), de Peter Maxwell Davies (ne en 1934), de Philip Glass (ne en 1937), de Valentin Silvestrov (ne en 1937), de William Bolcom (ne en 1938), de Boris Tishchenko (ne en 1939), de Leif Segerstam (ne en 1944), ou bien encore de Jean-Claude Wolff (ne en 1946), sans compter de nombreux chef-d’oeuvres isoles. La Sinfonia (Symphonie, en italien) que nous a laisse Luciano Berio (1925-2003) est incontestablement l’un des plus grands chef-d’oeuvres de ce genre musical.
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Furtwängler dirige Beethoven, Brahms, Bruckner, Schumann... enr. 1942-1954 - 6CD - (Coll. Original Masters)


Prix : EUR 43,79
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Furtwängler dirige Beethoven, Brahms, Bruckner, Schumann... enr. 1942-1954 - 6CD - (Coll. Original Masters) Reviews and Opinions



12 internautes sur 13 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Furtwängler IV, 22 decembre 2004
Par R. MONTET "regmon" - Voir tous mes commentaires(TOP 1000 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Furtwängler dirige Beethoven, Brahms, Bruckner, Schumann... enr. 1942-1954 - 6CD - (Coll. Original Masters) (CD)
Quatrième coffret edite par DG consacre à Furtwängler, couvrant un peu plus d’une decennie, de 42 à 54, recentre sur son repertoire et rassemblant des prises de studio sur bandes magnetiques et des concerts avec Berlin.A l’instar des precedents coffrets, tout est remarquable tant par la qualite des transferts (qui permet de disposer de temoignages dans un très bon son) que par la diversite des styles, courant sur ces 12 annees, et des oeuvres.D’une manière generale, c’est la gravite qui domine ces lectures mais en s’exprimant differemment selon les periodes; guerre, après guerre (attente du permis de diriger, blocus) et annees 50.Sommet (connu et dejà edite separement) du coffret, la 9ième de Bruckner en studio (de fortune) sous les bombardements (oct 44) et dans une ambiance tendue. Elle ne sera plus enregistree. C’est une lecture habitee, puissante, dramatique, contrastee et très emouvante (sublime adagio). C’est le pendant de sa lecture de la 8ième 10 jours plus tard. C’est un sommet de la discographie de la 9ième (le sommet avec Jochum en 54 voire 64) .Une 39ième de Mozart de studio de 42 ou 43 (differente de celle du coffret 42/44, en concert) sombre, dramatique mais envoutante et virtuose.Dans Egmont, Leonore 2, Suite 3 de Bach (avec Berlin au grand complet!) et surtout les Metamorphoses de Strauss, on peut percevoir l’accablement et le desespoir dans ces annees d’après guerre.La dernière periode est dominee par une 3ième de Brahms plus apaisee et detendue, un rien plus lumineuse qu’une 1ière exceptionnelle mais plus grave, un Glück (Ouv Alceste) noble et monumental, une 1ière de Schumann (la seule avec Vienne et son seul enregistrement) aux tempi plus lents et aux couleurs presque chatoyantes, une extraordinaire Fugue de Beehoven (concert avec effectifs complets) ainsi que des ouvertures Rosamünde et Euryanthe caracteristiques du dernier Furt.La 8ième de Beethoven, en concert, certes mieux enrgistree que l’officielle emi, grandiose, reste très serieuse, manque de chaleur et de poesie. Enfin un CD d’interview du chef sur divers thèmes, en allemand et non traduit (ni en français ni en anglais). C’est la seule deception de ce coffret. Il faut absolument faire appel à un germaniste (patient) de l’entourage. Un quatrième coffret DG tout aussi indispensable que les precedents et à recommander sans reserves, le contenu artistique prevalant largement sur un son mono mais de qualite et prenant (le son Furtängler) qui se fait oublier.
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Janacek: Kata Kabanova


Prix : EUR 74,37
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Janacek: Kata Kabanova Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
enregistrement sublime d’un opera sublime, 8 avril 2011
Par earthlingonfire - Voir tous mes commentaires(TESTEURS)
  
(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Janacek: Kata Kabanova (CD)
Heureuse epoque, où une major choisissait l’orchestre le plus prestigieux du monde pour mettre à son catalogue cinq operas de Janacek. Cela dit, soyons de bonne foi et ne prenons pas l’exception pour la règle : le disque classique s’est effondre sans jamais avoir offert à tant d’½uvres le luxe qu’elles meritent. Au moins avons-nous ces Janacek diriges par Charles Mackerras, ne australien mais forme par Vaclav Talich à Prague, où il decouvrit en 1947-48 les operas de Janacek, qui devinrent pour lui une passion et une mission. Il est d’ailleurs le premier à enregistrer Katia dans l’instrumentation originale, à l’encontre de la tradition en vigueur dans les theâtres tchèques de jouer une orchestration de Talich obliterant en partie l’originalite fugurante et l’âprete du langage du compositeur. Pour autant, la couleur ne saurait être tchèque : le Philharmonique de Vienne est presque trop beau, rond, veloute, dore, surtout dans la prise de son de rêve (plus que de realite) accentuant la somptuosite. Mais, pour une fois que cette musique est confiee à un orchestre de ce niveau, faut-il se plaindre que la mariee soit trop belle Si la couleur ne l’est pas, l’accent, lui, est tchèque : le chef a integre l’enracinement de la prosodie de la musique de Janacek dans celle de sa langue. Enfin, la peinture des climats, la continuite du flux, l’intensite dramatique, sont simplement fascinantes de la première note à la dernière. On voit mal ce qui pourrait être ameliore. Et les chanteurs sont à la hauteur de cette reussite ! Elisabeth Söderström, seule non-Tchecoslovaque parmi les rôles principaux (à en juger d’après les noms), ne depare en rien : aussi devouee à Janacek que le chef, elle donne une Katia aussi incandescente que sa Jenufa, avec ces fêlures laissant parfois entrevoir une evanescence, qui en font un rôle peut-être moins lourd mais ni moins complexe ni moins fascinant. Les deux tenors, Dvorsky et Krejcík, ont cette belle couleur slave et caracterisent parfaitement leurs personnages, superficiellement seduisants, mais incapables de se conduire en hommes. La Varvara de Marova et la Kabanicha de Kniplova sont exemplaires elles aussi, surtout cette dernière, qui sait souligner le trait de son portrait sans le forcer. Ultime qualite de ce sublime coffret, qui est la consequence des autres : il vous fera gagner du temps en vous evitant de vous demander quelle version choisir.
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dimanche 26 février 2012

Beethoven : lIntégrale en 100 CD


Prix : EUR 106,53
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Après le succès des coffrets Mozart, Bach et Chopin, le label Brilliant Classics a souhaité réunir l'intégrale des œuvres de Beethoven sur un même modèle. Retrouvez les plus grands interprètes de ces dernières décennies dans des enregistrements d’une qualité incomparable. Ce coffret de référence se compose de 85 CD.
Après le succès des coffrets Mozart, Bach et Chopin, le label Brilliant Classics a souhaité réunir l'intégrale des œuvres de Beethoven sur un même modèle. Retrouvez les plus grands interprètes de ces dernières décennies dans des enregistrements d’une qualité incomparable. Ce coffret de référence se compose de 85 CD.

Beethoven : lIntégrale en 100 CD Reviews and Opinions



49 internautes sur 51 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Bien dans l’ensemble, 4 octobre 2007
Par Dabon - Voir tous mes commentaires(TOP 1000 COMMENTATEURS)
  
Globalement le coffret vaut largement son prix ; il est une bonne source pour avoir une approche d’ensemble de l’oeuvre de Beethoven.
Paradoxalement, ce n’est pas sur les grandes oeuvres que l’on sera forcement satisfait.
- Les symphonies par Masur sont de qualite, mais on peut y preferer Karajan, Bernstein, ou encore Haitink (avec le LSO, 2006).
- Les concertos pour piano par Gulda sont très bons, mais faut-il pour autant passer à côte de Radu Lupu, ce maître
- Pour les quatuors à corde, il serait dommage de manquer l’integrale par les Talich.
- Les sonates pour violon souffrent un peu de l’anciennete de l’enregistrement (1957)...
En revanche les sonates pour piano (Gulda) et les sonates pour violoncelle sont vraiment superbes. Les variations pour piano par Brendel (debut des annees 1960) ne souffrent aucunement de leurs âge pour la prise de son, et son interpretees avec maestria (une reference !). Les trios, et les oeuvres pour instruments à vent sont très bien realises.
Pour ce qui est de la presentation elle est très agreable, ordonnee ; on trouve les references de chaque enregistrement.
En conclusion rien à regretter dans ce coffret car ça reste une compilation, à prix comfortable. Le fans de Beethoven auront simplement d’autres enregistrements pour parfaire leur collection...
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63 internautes sur 66 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Fabuleux, 26 octobre 2007
Par D. Laurence "patrickdel" - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Apres les boites d’EMI pour Schubert et Beethoven, Brilliant Classics contre attaque avec des enregistrements beaucoups plus prestigieux.
Issus du catalogue Universal comme par exemple les symphonies de Masur, les concertos de Gulda, et la celebrissime 9è par Furtwängler.
On peut entendre des choses moins connues (les contredanses, les lieders,les cantates, la musique de chambre avec flute).
Les sonates pour violon et piano avec Grumiaux/Haskil, elles sont à mon avis des plus passionnantes.
Il y a un CD-rom avec tout les textes chantes dans la langue originale.
Plus un livret très precis.
Je ne vois pas comment on peut faire mieux à ce prix là
Bravo Brilliant Classics
Patrick
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12 internautes sur 12 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Brillante reussite, 15 avril 2010
Par Cymus - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Beethoven : l’Integrale en 100 CD (CD)
Le coffret de l’integrale Beethoven propose par Brilliant est une grande reussite, en particulier dans cette version 100 CD. Sans l’avoir encore ecoute integralement, on peut d’abord souligner son interêt le plus visible : les 15 CD supplementaires par rapport à la version d’origine et qui contiennent des enregistrements historiques. Par exemple, les symphonies 5 et 7 par Karajan, le concerto pour violon par David Oistrakh, les sonates pour violoncelle par Pablo Casals et Mieczyslaw Horszowskil. Mais l’integrale proprement dite est egalement de grande qualite : les symphonies par Kurt Mazur, les sonates pour piano par Gulda, les trios pour piano par le trio Borodine, les sonates pour violon par Arthur Grumiaux et Clara Haskil. L’ensemble, avec une très bonne prise de son, est d’une grande homogeneite. Et on appreciera bien sûr de decouvrir des ½uvres peu connues de Beethoven, notamment un grand nombre d’½uvres vocales ou de musique de chambre pour des formations originales.
Quant au contenant, il est de très bonne facture. Un boîtier en carton, chaque CD dans une pochette cartonnee avec au dos le contenu des enregistrement et les interprètes, la date et le lieu d’enregistrement. Sur la face interieure du couvercle, la liste des enregistrement de chaque disque est resumee. Un tout petit bemol. Les CD sont classe par couleur, mais, contrairement à d’autres coffrets, la couleur ne correspond par à une categorie d’½uvres. Simplement, la couleur change tous les 10 Cd. Enfin, le coffret contient un CD-rom avec une biographie, les textes, etc. en anglais, italien et espagnol. Mais, en France, on n’en a pas l’utilite, car l’edition française est accompagnee d’un livret à part (en Français), très bien fait.
Faut-il ou non acheter cette integrale Si on est ouvert au concept, il n’y a aucun doute’.
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43 internautes sur 47 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Une reference, 10 novembre 2007
Par Kiks (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Possedant dejà deux coffrets Beethoven (les symphonies et les sonates) ainsi que plusieurs autres enregistrements du Maître, j’ai hesite à acquerir cette integrale. Bien que je n’en sois bien sûr pas encore venu à bout, la qualite de ce nouveau coffret m’a immediatement et agreablement surpris. La plupart des interprêtes sont de renommee internationale et meritee et les enregistrements sont irreprochables. En fait, j’ai même trouve une bonne partie des interpretations plutôt meilleures que celles que je possedais dejà et, vu son homogeneite assez reussie, cette integrale va certainement devenir la reference Beethoven de ma discothèque personnelle.
Et pourtant, malgre ses qualites indiscutables, cette integrale est proposee à un prix largement inferieur au coût global de mes precedentes acquisitions (qui ne couvrent pourtant pas l’integralite de l’½uvre)... Un atout certain pour les amateurs et les passiones non fortunes!
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23 internautes sur 25 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Je n’en reviens toujours pas !, 24 janvier 2008
Par Fuly (France) - Voir tous mes commentaires
Magnifique edition qui a ete une surprise totale pour moi. Ces "integrales", je m’en mefiais comme de la peste. Mais là, je ne sais pas pourquoi, j’ai feuillete le catalogue qui accompagne le coffret, et je l’ai commande dans l’heure.
Non seulement je ne regrette pas mon achat, mais je le recommande à tous mes amis. C’est une pure merveille, quand on aime Beethoven.
Bien sûr, j’aurais prefere un autre pianiste que Gulda, pour l’integrale des sonates, un autre chef pour l’integrale des symphonies, etc. Mais c’est vraiment un detail. Il y a tellement de merveilles dans ce coffret que je m’arrange très bien de ce très leger regret.
C’est le plus beau cadeau de l’annee, et de très loin.
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5 internautes sur 5 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Excellent repertoire des oeuvres de BEETHOVEN, 2 janvier 2010
Par Armande - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Beethoven : l’Integrale en 100 CD (CD)
l’oeuvre integrale de BEETHOVEN est ici reprise avec une remarquable maestria .Du pur bonheur pour les melomanes amoureux de BEETHOVEN .Le coffret comprend en outre des enregistrements " historiques " ( 14 cd , dont les symphonies 5 et 7 par H.VON KARAJAN )qui sont une pure delectation.
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38 internautes sur 43 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Ce qui est rare n’est pas forcèment cher..., 7 novembre 2007
Par Swiss Made - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Tous ceux qui possèdent l’integrale Mozart ou Bach par le même editeur ont eu à repondre à cette question: Vais-je vraiment tout ecouter Ai-je besoin d’autant de CD
Ben voyons... l’achat d’un dictionnaire n’implique pas sa lecture de bout en bout ! Il est evident que nous n’aurons pas le temps ou l’envie de passer en revue tous les disques en quelques semaines. Mais, pour Beeethoven comme pour Bach ou Mozart, ils sont là, prêt à nous livrer leurs secrets au long des ans, dans le respect d’une excellent qualite d’enregistrement et d’un sincère amour des oeuvres. Je ne suis pas un fan absolu de Beethoven, mais je vais m’offrir sa vie, son travail, et de temps en temps j’en gouterai des instants precieux. Rien à dire, cette collection est ce qui arrive de mieux au mnde de la musique classique depuis longtemps.
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10 internautes sur 11 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
coffret Beethoven excellent achat, 10 avril 2009
Par Mr. Philippe Barbe (France) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Beethoven : l’Integrale en 100 CD (CD)
l’interpretation des quatuors par les Garneri est exceptionnelle et le reste est plus que bon. Un excellent achat, un coffret pratique à utiliser, un prix incroyable!
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16 internautes sur 18 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Delicieux !, 28 decembre 2007
Par Mr. Jean-herve Poisson "Jihache" - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Quel delice et quel hommage pour le Maître d’avoir à ma disposition l’integralite de son oeuvre dans une telle qualite d’interpretation ! Ayant egalement l’integrale de Mozart, de Bach et de Chopin, je mesure de mieux en mieux ce qu’a ete le travail de ces compositeurs, et je decouvre leurs personnalites au travers de ces multiples oeuvres secondaires que jamais je n’aurais entendues sinon... Merci aux inventeurs de ce concept !
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14 internautes sur 16 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Vive la musique accessible à tous !!, 18 fevrier 2009
Par Jean-marc Nicolas (Kain, Belgique) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Beethoven : l’Integrale en 100 CD (CD)
Ce coffret est encore une merveille, merci à Brillant Music pour mettre à porte du plus grand nombre la grande musique en version integrale ; une belle façon de clore le debat sur le piratage !
Que des enregistrements historiques de belle qualite, mais du coup on regrette l’abscence de creations originales (comme c’etait le cas pour les coffrets Mozart et Bach).
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samedi 25 février 2012

Musique Pour Piano


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Musique Pour Piano Reviews and Opinions



1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Alfredo Casella, pionnier du "renouveau" de la musique italienne, 22 novembre 2006
Par Julien Mosa "MosaJulien" (Saint-Jean Pied de Port, 64.) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Musique Pour Piano (CD)
Comme nous le rappelle Sandro Ivo Bartoli dans son captivant (mais assez concis) texte de presentation, peu de compositeurs italiens du dix-neuvième siècle osèrent aborder le domaine symphonique, tant l’apanage de l’opera regnait en maître, pour ne pas dire en "tyran" ; les audacieux qui s’aventurèrent dans la musique purement instrumentale, furent instantanement juges de "marginaux". Au debut du vingtième siècle, quelques jeunes compositeurs italiens (appeles par la suite "generation des annees 80", car tous nes aux alentours de l’annee 1880) essayèrent de percer dans des voies bien differentes de la musique lyrique. Alfredo Casella, ne à Turin en 1883, fut un de ces chefs de file. Dès l’âge de treize ans, il etait dejà un grand virtuose du piano ; quelques annees plus tard, il partit à Paris pour etudier au Conservatoire. Un de ses plus celèbres maîtres fut Gabriel Faure. Il se liera d’amitie avec, entre autres, Maurice Ravel, Claude Debussy et Georges Enesco. En 1915, il s’etablit à Rome où il enseigna le piano (il fut un professeur très recherche). Il fonda en 1917, avec quelques-uns des ses contemporains (dont Ottorino Respighi et Gian Francesco Malipiero) la "Società Italiana di Musica Moderna" (SIMM), qui avait pour but de promouvoir la musique moderne, aussi bien italienne qu’etrangère. Deux ans plus tard, cette societe fut dissoute ; en 1923, toujours avec Gian Francesco Malipiero mais cette fois-ci avec Mario Labroca, il fonda la "Corporazione Delle Nuove Musiche" (CDNM), qui avait pour but à present de "promouvoir les expressions et recherches les plus recentes dans l’art musical contemporain" (cette corporation introduisit, parmi nombres d’oeuvres, le melodrame "Pierro Lunaire" op.21 d’Arnold Schönberg). Alfredo Casella fonda enfin un festival (en 1939), les "Settimane Musicali Senesi". A souligner egalement qu’il occupa les fonctions de chef d’orchestre, journaliste, ou editeur de musique. Il s’eteignit à Rome en 1947. On retiendra, parmi son oeuvre assez consistante, quelques pièces pour piano (presentees sur ce compact-disc), de la musique de chambre, de la musique concertante (dont le triple concerto pour violon, violoncelle, piano et orchestre op.56, en reference à un très grand concerto pour la même formation), des pièces pour orchestre (dont la celèbre pièce "Paganiniana"), trois symphonies, quelques melodies une poignee d’oeuvres lyriques (dont l’opera de chambre "La favola d’Orfeo").
Sandro Ivo Bartoli, un des meilleurs interprètes de la musique pour piano italienne du vingtième siècle, signe ici un enregistrement attrayant, qui permet de decouvrir les differents styles de ce "virage musical" aborde par le pionnier en la matière que fut Alfredo Casella. Sandro Ivo Bartoli donne une vision sarcastique, acerbe, plutôt que noire et pessimiste de ces pièces. La "Toccata" est un petit bijou ; le pianiste met au service de cette pièce virtuose tout son talent pour ravir l’auditeur. Le "poème" ’A Notte Alta" est une meditation mettant en scène un homme et une femme se rencontrant la nuit, dans un jardin. Le climat mysterieux de la pièce evoque à Sandro Ivo Bartoli une vision quasi-erotique ; c’est très sensuel (un peu trop ), très lent, très langoureux. Pourquoi pas, après tout, c’est dans l’esprit voulu par le compositeur. Les "onze pièces enfantines" sont humoristiques à souhait, et le pianiste s’en donne à coeur joie ("Preludio", "Bolero", "Minuetto" & "Galop Final", sont irresistibles). Les "Deux Ricercare sur le nom B.A.C.H" appartiennent à la periode "neo-classique" du compositeur ; le pianiste est plus inspire dans le deuxième, "Ostinato", où il peut laisser courir ses doigts avec une jolie velocite. Le quatre "Pages de guerre" pout piano à 4 mains furent composees au debut de la première guerre mondiale, après qu’Alfredo Casella eut visionne des images filmees de guerre. Ces pièces, notamment la seconde "Devant les ruines de la Cathedrale de Reims" et la quatrième "La Croix de bois" sont très noires, mais les interprètes (Sandro Ivo Bartoli est seconde ic par Marcello Guerrini) en donnent une lecture en demie-teinte, plutôt que sombre. La pincee de sarcasme est bien mise en valeur, une fois de plus.
La prise de son est quant à elle juste passable, elle est trop sèche, et une fois n’est pas coutume, plus de reverbation n’aurait certainement pas nuit à ces belles gravures. Il s’agit là le seul point "noir" de ce compact-disc.
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Prokofiev : Symphonie n° 5 op. 100 - Suite Scythe - LAmour des trois oranges (Suite)


Prix : EUR 49,95
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Prokofiev : Symphonie n° 5 op. 100 - Suite Scythe - LAmour des trois oranges (Suite) Reviews and Opinions



3 internautes sur 3 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
deux inspirations, deux ecritures, deux prises de son aussi, 31 janvier 2009
Par MESNIER NATURE Nicolas "LE DISCOPHAGE" (Besançon, France) - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Prokofiev : Symphonie n° 5 op. 100 - Suite Scythe - L’Amour des trois oranges (Suite) (CD)
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, il vaut mieux acquerir cet indispensable de l’enregistrement discographique pour la Suite Scythe et celle de l’Amour des trois oranges que pour la symphonie 5 ; explication : alors que la luxuriance, l’exuberance, le foisonnement de l’ecriture de ces petites pièces sont tout à fait bien rendues par la hargne du chef d’orchestre et l’excellence du London symphony (enregistrement de 1957), le Minneapolis capte en 1959 paraît très sec, dans une lecture qui frôle le scolaire - c’est mon impression toute personnelle - voire l’ennui. Mais ne faisons pas trop la fine bouche devant cette musique grisante jouee par un des plus grands chefs du XXè siècle qui nous fera saigner les oreilles au bon moment. Prises de son differentes selon les morceaux, brillante dans les suites avec quelques saturations et aride dans la symphonie.
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1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Des interpretations burinees, toujours aussi impressionnantes, 13 septembre 2006
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Prokofiev : Symphonie n° 5 op. 100 - Suite Scythe - L’Amour des trois oranges (Suite) (CD)
Antal Dorati grave une "Cinquième" à l’eau forte. Sa battue cursive ne menage aucun repos jusqu’à paraître inconfortable : le malaise est perceptible dès les premières mesures de l’Andante.
Cette direction motorique sied idealement au "marcato", même si d’autres interpretations (comme Walter Weller, Decca) sont alles plus loin dans l’hysterie conclusive.
Trop presse et pas assez concentre, l’Adagio ne diffuse pas la tension attendue. Et l’Allegro giocoso, pris cette fois dans un tempo trop retenu, manque terriblement d’animation à mon goût, le chef cultivant une approche curieusement serieuse et distanciee du finale.
A l’instar de sa "Scheherazade" avec le même orchestre de Minneapolis, on trouve ici assurement la marque d’une grande baguette mais cette lecture exsangue s’avère deroutante. Cette impression se trouvant renforcee par la sonorite mate et sèche de l’acoustique.
Dans la "Suite scythe" captee à Londres en 1957, la hargne qui propulse "l’invocation de Veles" connaît peu d’equivalent dans la discographie de l’oeuvre, voire dans les annales de la musique symphonique enregistree...
Mais le brasier s’epuise avec la "danse des esprits" qui semble presque timide par rapport à la folie qui precède.
L’episode nocturne ondoie de toute sa sinuosite perverse, sur le grognement de contrebasses que l’on sent prêtes à vrombir.
Le final est emporte avec beaucoup d’assurance mais le lever du soleil ne trouve pas la dimension allegorique qu’il revêt sous la conduite d’Ansermet. Malgre une indeniable efficacite dramatique, cette lecture virtuose ne plonge pas au plus profond des mystères de cet opus symboliste.
La Suite de "l’Amour des trois oranges" reste une reussite sans partage : le maestro hongrois sculpte un etonnant relief narratif et instrumental, tout en preservant la magie de cette partition feerique.
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Variations Goldberg / Oeuvres pour clavecin


Prix : EUR 33,55
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Variations Goldberg / Oeuvres pour clavecin Reviews and Opinions



5.0 etoiles sur 5
Goldberg for ever, 6 avril 2011
Par Nardis - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Variations Goldberg / Oeuvres pour clavecin (CD)
Franchement, je comprends mal les reticences de Melomaniac. Vous ne trouverez pas version plus dynamique, fievreuse et tourbillonnante que les Variations Goldberg de Scott Ross. Glenn Gould a ses merites, expressifs et digitaux, dûment mediatises, mais si l’on veut bien se cantonner à Bach, et seulement à Bach, sa verve, sa rythmique complexe, son sens inouï de la variation, de la danse et du chant, Scott Roos vous semblera, comme à moi, l’interprète ideal. Et je ne parle même pas de l’instrument, la question n’est pas là. Koroliov, au piano, donne une version plus que credible de ces variations - et dieu sait que le Clavier bien tempere n’a jamais trouve de clavecinistes à la hauteur. Mais ici, vous avez tout simplement l’interpretation ultime des Goldberg.
Les Frescolbadi surprennent par leur modernite capricieuse, brutale ou sensuelle, admirablement servies par un Scott Ross decidement au faite de son art.
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4.0 etoiles sur 5
Les ultimes disques de Scott Ross, l’enchanteur, 22 fevrier 2009
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Variations Goldberg / Oeuvres pour clavecin (CD)
Jouees sur un instrument doux et riche en timbres delicats, ces "Goldberg" de janvier 1988 preservent une atmosphère intimiste, qui estompe la variete expressive de cette musique voire en suggère une perception monotone -ce que conforte le choix de tempi unitaires.
Comme depossedees de l’envie de convaincre, les pages extraverties escamotent leur theâtre sous une magie sonore qui demeure envoûtante même si elle manque d’impact narratif et semblerait globalement trop monocorde.
La calme resignation qui s’empare des Variations en sol mineur rend cette interpretation très attachante quoiqu’on puisse lui preferer l’autre version, plus expansive, que Scott Ross avait precedemment enregistree à l’Universite d’Ottawa en avril 1985 (reeditee chez Erato).
Le programme Frescobaldi que nous entendons sur le CD2 fut capte en mars 1989 quelques semaines avant sa mort.
L’univers fantasque et dissonant de ces Toccatas pimentees de « durezze » s’epanouit sur le nuancier d’un clavecin accorde au temperament mesotonique (huit tierces majeures pures).
La souveraine dexterite du virtuose americain soumet le capricieux langage des rythmes syncopes à une conception superieurement ordonnee, contrôlant l’elan des Corrente et Gagliarda, et maîtrisant aussi les volubiles emois des « affetti cantabili ».
Vision architecturale plutôt que lyrique
Peut-on se demander si l’irrecusable sensibilite de l’art discursif de Scott Ross ne cherche pas, derrière le mètre irregulier et les frottements harmoniques, la secrète intention d’une poesie versifiee
Le galbe elegant, presque couperinien, qu’il instille à "L’Aria di balletto" nous y autorise.
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