mercredi 21 décembre 2011

Music for Clarinet & Piano


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Music for Clarinet & Piano Reviews and Opinions



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Pour le Grand Duo Concertante de Weber, bien sûr, mais aussi pour ceux de Lutoslawski et de Penderecki, très bien interpretes, 8 août 2010
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Music for Clarinet & Piano (CD)
Witold Lutoslawski est ne en 1913 à Varsovie, Russie (Pologne). En 1915, devant l’avance de l’armee allemande, son père, d’origine noble, se refugia à Moscou, où il continua son combat politique en faveur de l’independance de la Pologne au sein du « Polish National Democratic Party » mais, en 1918, après la Revolution d’Octobre et la signature d’un cessez-le-feu entre les nouvelles autorites sovietiques et l’Allemagne, il fut arrête et execute. La famille s’etablit alors dans la Pologne nouvellement independante. Un concert de Karol Szymanowski (1882-1937) l’impressionna vivement et, en 1926, il devint etudiant à temps partiel du Conservatoire de Varsovie que Szymanowski dirigeait. En 1932, il rejoignit la classe de composition de Witold Maliszewski (1873-1939), elève de Nikolai Rimsky-Korsakov (1844-1908), dont il sortit diplôme en 1937. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fut prisonnier des Allemands avant de s’echapper, et, en 1945, il fut elu president et secretaire de l’Union des Compositeurs polonais, mais, en 1948, etant oppose à l’idee de « Realisme socialiste », il demissionna de toutes ses fonctions. Toutefois, en 1954, son Concerto pour orchestre, commandite par le chef d’orchestre Witold Rowicki, le fit reconnaître comme un compositeur majeur, et lui valut deux prix d’Etat l’annee suivante. Sa renommee internationale crut encore en 1966, lorsque Pierre Boulez (ne en 1925) crea le second mouvement de sa seconde symphonie, alors inachevee, et que Mstislav Rostropovich crea son Concerto pour violoncelle à Londres en 1970. Dans les annees 1970 et 1980, Lutoslawski soutint activement le mouvement Solidarnosc, rompit tout lien avec le gouvernement polonais, et n’accepta que ses oeuvres ne soient jouees au Festival d’Automne de Varsovie qu’en 1988, après un accord entre le gouvernement et l’opposition. Il est mort en 1994 à Varsovie. Parmi ses oeuvres majeures, on peut noter une Sonate pour piano, la Variation « Sacher » pour violoncelle seul, des « Variations sur un thème de Paganini » pour deux pianos, une Partita pour violon et piano, « Grave » pour violoncelle et piano, un Trio pour vent, un Quatuor à cordes, les « Preludes et fugue » pour treize instruments à cordes, une Partita pour orchestre de chambre et violon, « Paroles tissees » pour tenor et vingt instruments, une « Musique funèbre » pour orchestre à cordes, un Concerto pour piano, un Concerto pour violoncelle, un Double Concerto pour hautbois et harpe, le Concerto pour orchestre, un « Livre » pour orchestre, quatre Symphonies, « Chantefleurs et Chantefables », sur des poèmes de Robert Desnos, pour soprano et orchestre, « Trois Poèmes d’Henri Michaux » pour choeurs et orchestre, ou bien encore les « Chants de Noël polonais ».
Krzysztof Penderecki est ne à Debica, près de Cracovie (Pologne), en 1933. À 18 ans, il entreprend des etudes de composition avec Franciszek Skolyszewski au Conservatoire de Cracovie. En 1954, il suit l’enseignement d’Artur Malawski (1904-1957) à l’Ecole Superieure de Musique de Cracovie, puis de Stanislas Wiechowicz, après la mort de Malawski. Il achève ses etudes musicales en 1958 et, en 1959, la creation de « Strophes » au festival « L’Automne de Varsovie » et, surtout, du « Thrène à la memoire des victimes d’Hiroshima » l’annee suivante, lui donne confèrent très rapidement une notoriete internationale. La même annee, il commence à enseigner à l’École superieure de musique de Cracovie, et en devient le recteur 1972. De 1973 à 1978, il fut professeur invite à la Yale University de New Haven. Krzysztof Penderecki fut initialement, tout comme György Ligeti (1923-2006), très mal compris ; souvent, à cette epoque, classe à tort parmi les compositeurs de l’ecole neo-avantgardiste alors très à la mode, en particulier en Allemagne et en France, Penderecki se revela rapidement être en realite, non pas l’un des derniers representants d’un academisme devenu sclerose et de plus en plus sterile, mais, à l’instar de Ligeti, un formidable innovateur, un createur authentique, ces deux compositeurs etant à la source, à la fois de la revolution musicale qui se produisit aux Etats-Unis vers la fin des annees 1960 avec La Monte Young (nes en 1935), Terry Riley (ne en 1935), Steve Reich (ne en 1936) ou Philip Glass (ne en 1937), puis de celle qui se produisit dans les pays bordants la Baltique dans le courant des annees 1970 avec Henryk Górecki (ne en 1933), Alfred Schnittke (1934-1998), Arvo Pärt (ne en 1935), Peteris Vasks (ne en 1946) ou Erkki-Sven Tüür (ne en 1959), et qui aboutirent au renouvellement complet du langage musical que nous avons par exemple connu en France à partir des annees 1980 avec Gerard Grisey (1946-1998), Jean-Louis Florentz (1947-2004), Philippe Hersant (ne en 1948), Marc-Andre Dalbavie (ne en 1961), Thierry Escaich (ne en 1965), Éric Tanguy (ne en 1968), ou bien encore Karol Beffa (ne en 1973), pour ne citer que les plus connus. Parmi les oeuvres majeures qu’il a ecrit à ce jour, on peut citer, outre « Strophes » et « Thrène », deux Sonates pour violon (1953 ; 1999), trois Quatuors à cordes (1960 ; 1968 ; 2008), « Drei Stücke im alten stil » (1963), une Sonate pour violoncelle et orchestre (1964), la « Passion selon Saint-Luc » (1965), « De natura sonoris », N° 1 (1966) et N° 2 (1971), le « Dies Irae » (1967), le Capriccio pour violon et orchestre (1967), quatre Operas, « Les diables de Loudun » (1969), « Le Paradis Perdu (1978), « Le Masque Noir » (1986) et « Ubu Rex » (1991), deux Concertos pour violoncelle et orchestre (1972 ; 1982), deux Concertos pour violon, N°1 (1977, revision 1987) et N°2 « Metamorphosen » (1995), sept Symphonies numerotees de 1 à 8, la sixième etant à ce jour non ecrite (1973, 1980, 1988-1995, 1989, 1992, 1996, 2005), « Le Rêve de Jacob » (1974), le « Magnificat » (1974), le Requiem polonais (1980-1984, revisions 1993 et 2006), un Concerto pour alto et orchestre de chambre (1983), « Per Slava » pour violoncelle seul, dedie à Mstislav Rostropovich (1986), un Trio à cordes (1991), un Concerto pour flûte et orchestre de chambre (1992), un Quatuor pour clarinettes (1993), un Sextuor (2000), un Concerto Grosso N° 1 pour trois violoncelles et orchestre (2001) et un Concerto Grosso N° 2 pour cinq clarinettes et orchestre (2004), un Concerto pour piano « Resurrection » (2002, revision 2007) ou bien encore un Concerto pour cor (2008).
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