3 Sonatas for Violin & Piano

Prix : EUR 69,98

3 Sonatas for Violin & Piano Reviews and Opinions

1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Les trois Sonates pour violon et piano de Georges Enesco, bien interpretees, 26 mai 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : 3 Sonatas for Violin & Piano (CD)
Georges (George) Enesco (Enescu) est ne en 1881 à Liveni, Moldavie (Roumanie). Son père le presenta au compositeur Édouard Caudella (1841-1924), qui le fit entrer au Conservatoire de Iaçi, puis l’envoya de 1888 à 1894 à Vienne etudier avec des professeurs de renom, en particulier avec Robert Fuchs (1847-1927). Il s’etablit à Paris en 1895, pour poursuivre ses etudes musicales au Conservatoire avec Jules Massenet (1842-1912), Gabriel Faure (1845-1924) et Andre Gedalge (1856-1926). Il s’y lia notamment d’amitie avec Paul Dukas (1865-1935), Florent Schmitt (1870-1958), Jean Roger-Ducasse (1873-1954), Maurice Ravel (1875-1937), Pablo Casals (1876-1973), ainsi qu’avec Jacques Thibaud et Alfred Cortot. La Première Guerre mondiale le vit s’installer en Roumanie, mais, à partir de la fin du conflit, il partagea sa vie entre la France, où il acquit une villa à Meudon, la Roumanie où il avait rencontre la princesse Marie Cantacuzène qu’il finira par epouser, et bientôt le Nouveau Monde. La Seconde Guerre mondiale vit le retour d’Enesco dans son pays natal, où il s’immergea dans la vie musicale de la capitale roumaine, ardent defenseur de la musique contemporaine du pays. La paix revenue, Enesco se produisit comme chef ou violoniste à Moscou avec David Oïstrakh et Emil Guilels, à Bucarest avec Yehudi Menuhin, ou au piano au côte de Ernst Wallfisch. L’instauration du regime communiste en Roumanie le conduisit à s’exiler definitivement. Refugie à Paris et bien qu’en butte à des difficulte de sante, il resta toujours très actif sans se departir ni d’humour, ni d’eloquence, ni d’humilite. Enesco s’etint au coeur de Paris en 1955 ; il est inhume au cimetière du Père-Lachaise.
Le langage musical d’Enesco, foncièrement original, est inspire avant tout par un folklore reinvente, tantôt nostalgique, tantôt dansant, de son pays natal, ce qui le rapproche de Bela Bartók (1881-1945), de Zoltan Kodly (1882-1967), de Leos Jancek (1854-1928) ou de Karol Szymanowski (1882-1937), mais les traditions françaises - Claude Debussy (1862-1918) ou Gabriel Faure - et germaniques - Johannes Brahms (1833-1897) ou Richard Strauss (1864-1949) - y affleurent parfois aussi. Parmi ses oeuvres majeures, on peut noter son « Poème Roumain » (1898), deux « Rhapsodies roumaines » (1901-1902), deux Suites pour orchestre (1903-1915), cinq Symphonie (1905-1941), un cycle de « Sept chansons de Clement Marot » (1908), deux Quatuors à cordes (1915-1951), deux Quatuors avec piano (1918-1944), la Sonate pour violon et piano « dans le caractère populaire roumain » (1926), l’Opera « Oedipe » (1923-1930), trois Sonates pour piano (1924-1934), la « Suite Villageoise » (1938), les « Impressions d’enfance » pour violon et piano (1940), le Quintette pour piano et cordes (1940), le poème symphonique « Vox Maris », ou bien encore sa Symphonie de chambre (1954) pour douze instruments solistes
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Bach - Bacchiana : Concertos des fils de J.-S. Bach

Prix : EUR 32,99

Bach - Bacchiana : Concertos des fils de J.-S. Bach Reviews and Opinions

5.0 etoiles sur 5
Des gènes et beaucoup de plaisir, 10 janvier 2009
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Bach - Bacchiana : Concertos des fils de J.-S. Bach (CD)
Chez le même editeur, on se rappelle l’album de 1985 que Reinhard Goebel avait consacre aux Concertos à deux clavecins de Carl Philipp Emanuel (1714-1788) et Wilhelm Friedemann (1710-1784), avec un certain Andreas Staier comme co-soliste.
Le present CD poursuit son exploration des doubles concertos ecrits par les fils de Johann Sebastian, au sujet desquels on peut lire d’interessantes informations biographiques et musicales dans le livret signe de Goebel lui-même.
Compose par le premier enfant de Maria-Barbara, le "Concerto pour flûte, cordes et basse continue" revèle une savante elaboration contrapuntique, cultivant le savoir-faire des ancêtres de cette prolifique dynastie.
Plus affable, la "Sinfonia concertante pour violon & violoncelle" de Johann Christian (1735-1782) temoigne du goût plus leger de ce onzième et dernier ne de la fratrie, expatrie en Italie puis en Angleterre.
Issu de la même seconde noce, son frère Johann Christoph Friedrich (1732-1795) contribua au style galant du XVIII° siècle dont le "Concerto pour Hammerflügel & alto" trahit la loquacite et les emois faciles.
C’est une autre rare, improbable et delicieuse combinaison de solistes que fait entendre Carl Philipp Emanuel dans son Concerto doppio Wq47 compose en son ultime annee 1788 : le clavecin des temps baroques y tire sa reverence en compagnie du pianoforte qui deviendra mutatis mutandis l’instrument confident des Romantiques.
Ce dialogue de clavier est hautement symbolique de la transition entre deux epoques esthetiques, et constitue aussi un bouquet final de l’art de cette prestigieuse famille.
L’interpretation vigoureusement charpentee de l’ensemble Musica Antiqua Köln et des virtuoses associes evite de s’emouvoir de la gracile « Empfindsamkeit » qui s’exprime dans ces pages. Pour mieux les ragaillardir et souligner leur langage abrupt !
En tout etat de cause, voilà un apport aussi roboratif que substantiel à la discographie du genre, et à notre connaissance de ce repertoire où tant de tresors restent à redecouvrir. Et à enregistrer...
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Hahn - Ciboulette

Prix : EUR 36,00

Reynaldo Hahn, c'est tout un univers aujourd'hui démodé, mais terriblement sensible. Ciboulette est une opérette à la mode française qui fut jadis très en vogue. Indéniablement, Hahn est doué pour la composition de ce genre d'ouvrages à l'humour décalé, cynique, parfois acide, et à la musique d'une légèreté si parisienne. La version proposée ici respecte autant la musique que l'esprit d'un compositeur espiègle. --Marc Aigneaux
Reynaldo Hahn, c'est tout un univers aujourd'hui démodé, mais terriblement sensible. Ciboulette est une opérette à la mode française qui fut jadis très en vogue. Indéniablement, Hahn est doué pour la composition de ce genre d'ouvrages à l'humour décalé, cynique, parfois acide, et à la musique d'une légèreté si parisienne. La version proposée ici respecte autant la musique que l'esprit d'un compositeur espiègle. --Marc Aigneaux

Hahn - Ciboulette Reviews and Opinions

1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
L’ouvrage Lyrique le plus connu de Reynaldo HAHN, 1 mars 2004
Par Brouillet (paris, France) - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Hahn - Ciboulette (CD)
Cet enregistrement, toujours techniquement et artistiquement excellent (il date de vingt ans, mais "c’est le bel âge" ! ) nous permet d’entendre l’integralite de l’ouvrage avec une distribution de premier choix. C’etait un temps où les stars internationales de la scène lyrique aimaient chanter et jouer des oeuvres "gaies, vives, qui pirouettent" comme Ciboulette ! Difficile de trouver un Antonin plus subtil que celui de N. Gedda.Mais Monsieur Reynaldo Hahn est sans doute en train de retrouver ses lettres de noblesse à la vue des CDs (concertos, musique de chambre, melodies...) qui fleurissent dans les echoppes actuellement. Vivement d’autres titres !
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Mahler: Symphony No.6 / Lieder eines fahrenden Gesellen

Prix : EUR 10,99

Mahler: Symphony No.6 / Lieder eines fahrenden Gesellen Reviews and Opinions

3 internautes sur 3 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
version de reference, 29 juin 2005
Par earthlingonfire - Voir tous mes commentaires(TESTEURS)
  
(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Symphony 6 / Songs of a Wayfarer (CD)
Bernard Haitink est un des grands chefs d’orchestre du vingtième siècle, bien plus que le brave tâcheron pour lequel on l’a trop longtemps fait passer. Après l’avoir enregistre dans de somptueuses integrales Beethoven, Brahms, Bruckner, Mahler, Schumann et Tchaïkovski avec le Concertgebouworkest dont il etait alors le chef principal, Philips lui a permis de revenir sur ses pas avec des orchestres differents, un par compositeur. Si Haitink a un style personnel, il a aussi cette immense qualite de s’adapter aux caracteristiques propres de l’orchestre qu’il dirige, ce qui donne une force particulière à ses disques, car on y entend une unite organique profonde, ou plutôt on n’y entend aucun hiatus, aucune couture entre l’interpretation et l’orchestre. Si avec l’orchestre d’Amsterdam il joue sur la force d’inertie du son, avec l’Orchestre philharmonique de Berlin, aux timbres denses, purs et puissants, il met davantage l’accent sur les immenses perspectives qu’il ouvre à perte de vue. Dans un cas comme dans l’autre, on reconnaît une pensee à long terme, des phrases partant de très loin et allant très loin, d’une beaute plastique à couper le souffle, une interiorite impressionnante. Ce cycle Mahler, malheureusement incomplet, est d’un niveau ahurissant. Haitink joue la musique de l’Autrichien avec une impersonnalite qui la porte à une dimension cosmique rarement egalee, même par Bernstein, plus psychologique donc un rien plus anecdotique. La seule limite d’une telle approche est sa relative severite, mais c’est davantage une limite "externe" qu’"interne", c’est-à-dire que d’autres interpretations ont des atouts que celles-ci n’ont pas, sans qu’il leur manque quoi que ce soit. Cette interpretation de la 6° est peut-être la meilleure de la discographie. Le classicisme de Berlin jette des reflets de glace dans la construction en 4 mouvements, et la direction hyper-concentree de Haitink, d’une logique absolue, rehausse le tragique de l’oeuvre.
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Milhaud-Le pauvre matelot-Les malheurs dOrphée

Prix : EUR 9,99

Milhaud-Le pauvre matelot-Les malheurs dOrphée Reviews and Opinions

1 internaute sur 2 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Deux operas de chambre de Darius Milhaud, particulièrement reussis et bien interpretes, 20 mars 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Milhaud - Les Malheurs d’Orphee / Le Pauvre matelot (Coll. Musique Française) (CD)
Darius Milhaud (1892-1974) affirmait être ne à Aix-en-Provence mais, selon d’autres sources, il serait en realite ne à Marseille. De 1909 à 1915, il est elève du Conservatoire de Paris, où il a comme professeurs Charles-Marie Widor (1844-1937), Andre Gedalge (1856-1926) et Paul Dukas (1865-1935), et fait à cette epoque la rencontre du Paul Claudel en 1912. Atteint de rhumatismes, il est reforme de l’armee. Claudel, ministre plenipotentiaire à Rio de Janeiro, l’invite alors à devenir son secretaire ; Milhaud accepte, et c’est à cette occasion qu’il decouvre les musiques sud-americaines, pour lesquelles il s’enthousiasme et dont on retrouve des traces dans plusieurs de ses oeuvres. De retour à Paris, il s’associe au « Groupe des Six », groupe de compositeurs parraine par Erik Satie (1866-1925) et qui comprend egalement Louis Durey (1888-1979), Arthur Honegger (1892-1955), Germaine Tailleferre (1892-1983), Francis Poulenc (1899-1963) et Georges Auric (1899-1983). Il a egalement frequente les poètes Leo Latil, Francis Jammes, et Andre Gide. Il voyage enormement, et decouvre le jazz aux Etats-Unis en 1922. Il s’interesse egalement au cinema, pour lequel il ecrit plusieurs musiques de film. Parce qu’il est juif, il part en 1940 pour les Etats-Unis, et ne reviendra en France qu’en 1947 ; il se verra alors offrir un poste de professeur de composition au Conservatoire de Paris. Il est mort à Genève mais, selon ses souhaits, il est enterre à Aix-en-Provence.
Darius Milhaud s’est interesse à toutes les formes musicales : musique de chambre et pour piano, musique symphonique, opera, ballets, musique vocale... et sa production ne compte pas moins de 443 opus. L’un des plus grands compositeurs français du vingtième siècle, son style, melange de lyrisme et de gaiete, emprunte parfois aux musiques folkloriques et au jazz, et explore beaucoup de possibilites de l’ecriture ; fin contrapuntiste, il utilise frequemment la polyrythmie et la polytonalite.
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Wagner: The Great Operas from the Bayreuth Festival

Prix : EUR 45,99

Wagner: The Great Operas from the Bayreuth Festival Reviews and Opinions

58 internautes sur 58 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Pour wagneriens neophytes comme specialistes, 24 mai 2008
Par Locandiera (perpignan, france) - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
en reponse aux remarques -justifiees- de l’internaute precedent, ce coffret (on l’espère bientôt disponible
à nouveau sur Amazon) contient 10 operas dans leur integralite enregistres en public au festival de Bayreuth entre 1961 et 1985:
- der fliegende Holländer (1961) dirige par Sawallisch, avec Josef Greindl, Anja Silja...;
- Tannhäuser (1962) dirige par Sawallisch, avec Josef Greindl, Anja Silja, Wolfgang Widgassen, Grace Bumbry...;
- Lohengrin (1962)dirige par Sawallisch, avec Franz Crass, Jess Thomas, Anja Silja, Astrid Varnay, Tom Krause...;
- Tristan und Isolde (1966)dirige par Karl Böhm, avec Wolfgang Widgassen, Birgit Nilsson...;
- Die Meistersinger von Nürnberg (1974) dirige par Silvio Varviso, avec Karl Ridderbutsch, Hans Hottin...;
- le Ring (l’or du Rhin, la Walkyrie, Siegfried, le crepuscule des Dieux)(1971), dirige par Karl Böhm,
avec Wolfgang Widgassen, Theo Adam, Birgit Nilsson, Erwin Wolfahrt, Thomas Stewart, Gustav Neidlinger, Josef Greindl...;
- Parsifal (1985) dirige par James Levine, avec Simon Estes, Matti Salminen, Hans Sotin, Peter Hofman, Waltraud Meier...
En plus des 33 CD, le coffret contient un livret listant les airs et distributions des differents operas, ainsi qu’un resume des intrigues.
On peut regretter l’absence d’un CD-ROM avec les livrets des operas, neanmoins ce coffret est une bonne occasion de decouvrir
ou redecouvrir Wagner dans des versions generalement appreciees de la critique, avec des chanteurs parmi les meilleurs dans ce
repertoire (Birgit Nilsson,Wolfgang Widgassen...)à un prix defiant toute concurrence (le Ring de Böhm coûtant normalement une
centaine d’euros à lui seul).
Ce coffret etant de plus peu encombrant, n’hesitez pas à l’ajouter à votre discothèque.
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16 internautes sur 16 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Quelle aubaine !, 27 janvier 2009
Par piwemol "Hedoniste, musicien et cuisinier ama... (Egare sur Terre) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
Tout d’abord une precision : il s’agit en majorite d’enregistrements initialement publies par PHILIPS. Le Trisant & Isolde de Böhm est celui initialement publie par DG.
PHILIPS DG et DECCA appartiennent depuis longtemps au même groupe, UNIVERSAL MUSIC depuis quelques annees ils echangent leur catalogues pour les editions speciales.
Il semble que la "marque" PHILIPS ne soit plus guère utilisee et que le marketing d’UNIVERSAL essaie de "positionner" DECCA comme la "marque" de l’Opera et DG pour le reste de la musique classique.
Sinon, je ne peux que recommander très vivement ce disque qui contient de nombreux enregistrements de reference, ou au moins d’excellente qualite. Citons notamment :
- le "Ring" dirige par Karl Böhm,
- le Tristan & Isolde de Böhm,
- le Lohengrin de Sawallisch, dont la seule faiblesse est une Ortrud peu à l’aise.
Je me garderais de noter le Parsifal et les Maîtres Chanteurs car je n’en connais pas d’autre enregistrement, mais leur ecoute est très plaisante.
Le seul reproche que l’on puisse faire à ce coffret est l’absence des livrets. En tout cas, c’est une excellente affaire car les coffrets isoles coûteraient sans doute plus de 200 ¤.
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34 internautes sur 36 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
pas cher!, 3 juin 2008
Par M. Michael Kraft (Nancy France) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
pour information
CDs 1& 2
Der fliegende Holländer
Anja Silja / Fritz Uhl / Josef Greindl / Franz Crass
Wolfgang Sawallisch
CDs 3-5
Tannhäuser
Silja / Wolfgang Windgassen / Eberhard Wächter /
Josef Greindl
Wolfgang Sawallisch
CDs 6-8
Lohengrin
Anja Silja / Astrid Varnay / Jess Thomas / Ramon Vinay
Wolfgang Sawallisch
CDs 9-11
Tristan und Isolde
Birgit Nilsson / Wolfgang Windgassen
Karl Böhm
CDs 12-15
Die Meistersinger von Nürnberg
Hannelore Bode / Jean Cox / Bernd Weikl / Karl Ridderbusch / Sans Sotin
Silvio Varviso
Der Ring des Nibelungen:
CDs 16 & 17
Das Rheingold
Annelies Burmeister / Wolfgang Windgassen / Theo Adam /
Gustav Neidlinger
Karl Böhm
CDs 18-21
Die Walküre
Birgit Nilsson / Leonie Rysanek / James King / Theo Adam
Karl Böhm
CDs 22-25
Siegfried
Birgit Nilsson / Wolfgang Windgassen / Theo Adam
Karl Böhm
CDs 26-29
Götterdämmerung
Birgit Nilsson / Wolfgang Windgassen / Josef Greindl /
Gustav Neidlinger
Karl Böhm
CDs 30-33
Parsifal
Waltraud Meier / Peter Hoffmann / Hans Sotin / Simon Estes
James Levine
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33 internautes sur 35 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Reponse à M. Paul Arneodo, 30 mai 2008
Par C. E. Comesse - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
Tout est très clair dans la presentation du coffret "operas de wagner"! Il y a 33 CD, tous les grands operas du compositeur y figurent, c’est-à-dire 10:
- der fliegende Holländer
- Tannhaüser
- Lohengrin : ces 3 operas diriges par Sawallisch
- La Tetralogie ( soit les 4 operas ) ( avec Böhm )
- Tristan et Isolde ( Böhm aussi )
- Les maîtres chanteurs de Nüremberg ( direction : Silvio Varviso )
- Parsifal ( direction : James Levine )
Tous enregistrements integraux, avec l’orchestre du festival de Bayreuth.
Tous les renseignements sur la distribution des oeuvres peuvent être facilement trouves sur le site de Decca, où j’ai moi-même puise ces infos ( et d’autres details ).
Alors, pour l’orchestre, les chefs :(il faut savoir que Böhm a obtenu les meilleures recompenses de nombre de critiques musicaux pour sa tetralogie, et pour Tristan!), les chanteurs, et .... le prix aussi, defiant toute concurrence, même celle de Brilliant classics, je mets 5 etoiles!!
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8 internautes sur 8 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Les meilleurs enregistrements sur la colline verte !, 17 fevrier 2009
Par H. PILA "Michel" (Grenoble) - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
passer à cote d’un monument pareil. Les Operas de Wagner sont lies à un lieu, Bayreuth, et justement le fil rouge de ces enregistrements c’est le lieu d’enregistrement : le Festspiele de Bayreuth ! En premier lieu la plus part de ces enregistrements sont des reeditions de versions ultra connues. La plus part chez Phillips.
Avant toute chose on retrouve dans tous ces enregistrements la magie du son de la fosse d’orchestre si particulière et rien que pour ça ce coffret vaut dejà le detour, avec en plus une spatialisation unique des chanteurs sur la scène.
- Par ou commencer un Lohengrin largement au dessus de la moyenne, et même si les chanteurs sont un peu fatigues, on y croit vraiment avec un Krausse etourdissant.
- Ensuite le Parsifal de Levine : excellent avec une prise de son au top (on est en 85) et une Waltraute meier bientôt au sommet de son art (pour l’avoir entendu à Bayreuth peu après dans le rôle d’Isolde, j’en sais quelques chose!). Cette version, quoi qu’un peu lente est magique.
- Le Tannhäuser (62) dirige par Sawallisch : Pour être court, Windgassen toujours, merveilleux Tannhauser, au mieux de sa forme, et Bumbry, Venus noire et incandescente. Encore une excellente affaire !
- Et encore quoi La Tetralogie, celle de Böhm en 66, voila une interpretation majeure, peu extravertie mais ô combien inspiree, les voix sont encore d’un excellent niveau et on est encore loin du vide vocal des annees 80. Windgassen est encore vaillant et possède toujours son timbre etonnamment jeune. Le couple King / Risanek de la Walkyrie est epatant (même si on peut regretter Crespin, la Sieglinde de 65, egalement presente dans l’enregistrement de Solti)
- Tristan enfin, toujours Böhm, avec le couple mythique Windgassen / Nilson le tout galvanise par la meilleure Brangaine jamais entendue : l’immense Dame Christa Ludwig. Rien que pour ce Tristan le coffret est une affaire !
Non vraiment ce coffret est une benediction, quand je pense que j’ai achete rien que la tetralogie de Solti , en 1984 à 2048 F soit en 2008 la coquette somme de 512 ¤ en Euro constant !!!! (cette version quoique très bonne et en Technicolor, n’a cependant pas la magie du live de Bayreuth) voilà de quoi susciter de nouvelles passions Wagneriennes !
PS pour ce qui est du Vaisseau Fantôme, j’eus prefere la version de Nelson avec un Estes en pleine possession de ses moyens mais enfin, reste la sublime Anja Silja !
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5 internautes sur 5 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
reference de Wagner, 14 juillet 2009
Par anne de Boysson (france) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
Dix operas de reference extraordinaire. On a l’impression d’être à Bayreuth. Ce sont les interpretations très germaniques d’une epoque, les annees, 1960-1970.
Je conseille cette version pour l’âme de ces versions.
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10 internautes sur 11 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Rien que pour BOHM..., 14 octobre 2008
Par NAJ "NAA" (France) - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
... et pour le rapport qualite (et quantite) / Prix... Le Ring et Tristan a eux seuls meritent l’acquisition de ce coffret: ils couteraient une fortune et ce sont deux versions de reference (a cote de Solti & Furtwangler pour le ring, Furtwangler aussi et Kleiber pour Tristan).
Donc, ne soyons pas trop sceptiques...
Decca a vraiment fait un effort considerable ici; meme si quelques vetrsions laissent a desirer (Parsifal et les Maitres chanteurs - je n’ai jamais ete un fan de Levine), l’ensemble est inoui.
Bonne ecoute
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3 internautes sur 3 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Tous les grands Wagner au meilleur prix, 21 decembre 2009
Par Pèire Cotó (Occitània) - Voir tous mes commentaires(TOP 100 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
Quand j’ai trouve ce coffret en magasin, j’ai craint une arnaque pour une partie des operas ici regroupes. A ce prix, c’etait trop beau. De plus, je savais que les enregistrements ne venaient pas de Decca, mais de Deutsche Grammophon ou de Philips, que la date de 1971 qui correspond à plusieurs parties du Ring où Wolfgang Windgassen est cense chanter est fantaisiste puisqu’il a interrompu sa carrière en 1970. Mais j’ai pu verifier qu’il s’agissait bien du Ring de Böhm bien connu, normalement vendu bien plus cher. De même pour Tristan et les trois de Sawallisch.
On a tous les grands operas de Wagner, mais il n’y a pas de miracle, le Parsifal de Levine et les Meistersinger de Varviso font remplissage, je veux dire qu’ils ne sont pas du même niveau mais, certes, ils permettent quand même de connaître les oeuvres. Le reste justifie amplement l’achat :
- les trois operas enregistres par Wolfgang Sawallisch avant d’avoir 40 ans et de se brouiller avec Wieland Wagner; Tannhäuser en est la plus grande reussite et Lohengrin le point relativement faible ( manque du caractère mystique inherent à l’oeuvre et voix de Varnay bien fatiguee, après une bonne decennie au service de Wagner);
- le Ring rapide, dramatique, quoique moins fouille pour ce qui est de l’orchestre que ceux de Karajan et surtout de Boulez, de Karl Böhm; on peut penser qu’Universal l’a brade parce que la critique recente l’a fait sensiblement baisser dans la hierarchie et que par ailleurs le public reste attache à Solti, qu’il accepte donc de payer au prix fort; les grandes voix des annees 50 (cf. le Ring de Keilberth en 1955 où elles sont dans toute leur gloire) se retrouvent encore ici, mais en declin audible (et le plus grand, Hans Hotter, a ete remplace par Theo Adam qui n’a pas son rayonnement); il reste que dans les annees suivantes, le naufrage du chant wagnerien sera bien plus total et qu’on est heureux de trouver ces grands artistes même affaiblis par le temps;
-le Tristan du même Böhm, un Tristan humain trop humain, qui n’a pas la demesure de certaines versions du passe (le Karajan de 1952 !) mais qui est le seul Tristan encore bien chante et qui est d’une technique d’enregistrement moderne.
Naturellement, les passionnes de Wagner chercheront à ecouter aussi d’autres versions.
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 Remarques sur ce commentaire (2)
3.0 etoiles sur 5
Bayreuth sans maître, 23 fevrier 2010
Par Pierre Camescasse "Petrus" (Gascogne) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
Bonjour,
Il s’agit de la production originale Philips à laquelle il manque malheureusement le Parsifal dirige par Knappertbusch avec Hans Hotter et c’est très dommage pour cet ensemble sans son fleuron.
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2 internautes sur 3 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
on ne peut pas se plaindre, 5 mai 2009
Par Nicolas Boudet - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Wagner : The Great Operas from the Bayreuth Festival (Coffret 33 CD) (CD)
N’etant pas un feru d’opera à proprement parler, je me suis tourne vers ce coffret en raison de commentaires flatteurs et d’un prix plus qu’abordable. Alors, en faisant fi des conditions d’enregistrement, je ne saurais me plaindre car manifestement, les protagonistes ne sont plus à presenter.
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Hortus Deliciarum

Prix : EUR 57,50

Hortus Deliciarum Reviews and Opinions

2 internautes sur 3 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Outre la figure d’Hildegarde von Bingen..., 30 juin 2010
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Hortus Deliciarum (CD)
...popularisee par Regine Pernoud et les nombreux disques de l’ensemble Sequentia, ce recital capte en janvier 1998 à l’Abbaye royale de Fontevraud attire aussi l’attention sur une autre abbesse rhenane du XII° Siècle : Herrad von Hohenburg, qui compila au monastère du Mont Sainte-Odile une somme encyclopedique consacree à l’histoire biblique, aux sciences, aux arts (helas le manuscrit perit dans l’incendie de la Bibliothèque de Strasbourg en 1870).
L’equipe feminine Discantus s’est penchee sur les traces musicales de ce "Hortus Deliciarum" (Jardin des delices) et prête aussi ses voix aux melodies liturgiques, hymnes et exercices d’ambitus des recueils "Symphonia Harmoniae caelestium revelationum" et "Riesencodex" consignes par la visionnaire Hildegarde.
Les Graduels, Hymnaires et Antiphonaires de Pairis, le Codex Engelbeg proposent d’autres sources où Discantus a puise cette mise en perspective d’un repertoire vocal que les deux erudites religieuses ont fertilise ou côtoye.
Animee par Brigitte Lesne, cette realisation lyrique veritablement enivrante (ecoutez pour preuve l’etonnant canon "Leto leta concio" celebrant la Nativite !) concilie sensualite et mysticisme, nous rappelant somptueusement qu’en ces siècles d’erection des cathedrales, « on ne loue pas le Seigneur seulement par des prières, mais par l’offrande de la beaute, par des ornements, par l’ordonnance architecturale » (Georges Duby).
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Concertos pour piano Nos.1 & 2

Prix :

Concertos pour piano Nos.1 & 2 Reviews and Opinions

1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Tchaïkovski, 18 août 2010
Par Andre - Voir tous mes commentaires(TOP 1000 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Concertos pour piano Nos.1 & 2 (CD)
Sviatoslav Richter est le meilleur interprète du premier concerto et Emile Giles le meilleur interprete du deuxième.J’en parle en connaissance de cause car j’ai denombre une quinzaine d’interpretation differentes de ces deux oeuvres à la maison.
A l’instar de mes deux predecesseurs, je prefère de très loin le deuxième concerto pour piano et orchestre par ce que contrairement au premier,il n’y a pas une seule trace de mauvais gout.Les motifs s’enchainent avec une logique naturelle et une grande fluidite.Le deuxième mouvement annonce le genial trio op.50 avec son solo de violon et violoncelle dont malheureusement Emile giles fait les coupures que le compositeur avait fait pour satisfaire les pianistes qui voulaient le jouer.Sans les coupures,l’oeuvre devrait durer entre 40mn17 par Hough à environ 50mn par Nicolaïevna.J’ai choisi l’interprete le plus rapide et le plus lent.Giles fait les mêmes coupures dans ses autres versions Maazel et Kondrashine.
J’ai oublie de preciser que le deuxième concerto est plus difficile à jouer que le premier.Les trilles de la deuxième cadence du premier mouvement n’ont jamais ete aussi bien joue que par giles.Ces trilles etaient dedie à Anton Rubinstein qui est mort avant d’avoir pu le creer.Rubinstein avait la reputation d’exceller dans les octaves,c’est pourquoi l’interprête doit executer un trille avec l’annulaire et auriculaire gauche et droit en même temps qu’un trille avec les deux pouces.
J’espère agrementer ma collection avec d’autres enregistrements Giles du deuxième concerto pour piano.Même chose pour Richter et le premier concerto.
Andre
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5.0 etoiles sur 5
Une version à redecouvrir, 22 mai 2010
Par DUNCANIDAHO "DUNCANIDAHO" (FRANCE) - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Concertos pour piano Nos.1 & 2 (CD)
Qui a dit que la musique russe ne devait être jouee que par des Russes
Je ne suis pas d’accord avec mon predecesseur, le deuxième concerto de Tchaikovski merite un commentaire : même si cette oeuvre n’atteint pas les sommets du premier (mais le premier n’est-it pas qu’une suite de reprises d’air du folklore russe ) elle se laisse agreablement ecouter, Emil Guilels est egal à lui même, abrupt et somptueux et Sletanov lui tisse un ecrin de choix.
Comme la plupart des oeuvres du compositeur russe il ne faut pas chercher ici ce qui ne s’y trouve pas, une musique agreable à ecouter et à jouer. Pour ceux qui veulent plus, voir Prokokiev, Stravinski ou même Rachmaninov.
Quant au premier, l’enregistrement ici grave est certainement un des meilleurs jamais enregistre, ici Richter est face à Mvravinski et son legendaire orchestre de Leningrad, celui qui a cree et grave les symphonies de Schostakovich, on est loin de la lamentable version avec Karajan (DG) ou le piano etait ecrase par la lourdeur du Wiener, qui nous avait habitue à plus de retenue.
Les deux artistes, qui s’appreciaient beaucoup et s’entendaient très bien, ont l’air de bien s’amuser et ce concerto, tant et tant joue, trouve ici une nouvelle jeunesse.
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Requiem For My Friend

Prix : EUR 172,93

Requiem For My Friend Reviews and Opinions

21 internautes sur 21 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
bouleversant, 4 avril 2003
Par Docteur Fox "Docteur Fox" (Toulouse) - Voir tous mes commentaires(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Requiem For My Friend (CD)
Ce requiem contemporain, et qui pourtant rend hommage au registre classique, est tout simplement bouleversant.Outre la voix sublime l’interprète le lacrimosa, l’ensemble de l’oeuvre est emprunt d"une bouleversante humanite et d"une detresse profondement empreinte de poesie.A l’ecouter en entier attentivement, on est trop remue pour le reentendre tout de suite même si on aspire à appuyer sur le bouton marche du lecteur CD.Une vraie drogue.
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2 internautes sur 2 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Chair de poule garantie!!!, 2 mai 2010
Par flop1982 "Florent" (Paris, France) - Voir tous mes commentaires
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Je viens tout juste de finir ma 1ère ecoute de ce Requiem et j’ai beaucoup de mal à m’en remettre... J’ai dejà envie d’appuyer une nouvelle fois sur la touche Play mais je vais essayer de me contenir n’etant pas près de renouveler l’experience immediatement tellement l’ecoute de ce cd est une experience bouleversante!
C’est au delà des mots, indescriptible, magique, surnaturel... A ecouter imperativement seul, bien installe confortablement avec le son pousse à fond, et il ne vous reste plus qu’à vous laisser emporter au gre des emotions ressenties lors de l’ecoute. Une musique qui parle à l’âme... Ma plus belle experience musicale depuis "Memoryhouse" de Max Richter!
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2 internautes sur 2 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
no comment, 27 mars 2008
Par Georges Branche "pequenio" (France) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
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Pas de mots,juste se laisser emporter. C’est vrai, une drogue, attention si vous y goûtez...mais quel bonheur et les effets secondaires sont sans danger, bien au contraire, positifs .
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1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Lacrymosa sublime, 24 septembre 2010
Par Brigitte Mondesert "Sahara" (Le Vesinet, France) - Voir tous mes commentaires
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J’ai decouvert le sublime Lacrymosa de ce requiem grâce à Radio-Classique et j’ignorais tout de son auteur ; aussi ai-je ete etonnee d’apprendre que ce contemporain travaillait surtout aux musiques de film (Le Grand Bleu mentionne sur la pochette est-il bien de lui )
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5.0 etoiles sur 5
Requiem moderne, 28 juin 2010
Par Henry Bretagne - Voir tous mes commentaires
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Decouverte d’une musique envoutante de Zbigniew PREISNER que je ne connaissais pas, de belles voix, beaucoup d’emotion, et bonne qualite du CD.
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3.0 etoiles sur 5
Magnifique si...., 18 mai 2011
Par AVS - Voir tous mes commentaires
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Une pure merveille, des chants envoutants qui vous transportent, dommage qu’il y ait deux plages qui passent très mal. Mais c’est un CD d’occasion car il n’est plus edite.
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5.0 etoiles sur 5
le plus vrai, 25 novembre 2010
Par MIDy - Voir tous mes commentaires
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on aimerait être le "friend" de ce genial compositeur qui nous avait dejà tellement emus dans les films de Krzysztof Kieslowski
Personnellement, je suis sidere.
La vie après la vie, tout ce que l’homme ne veut pas perdre dans la mort de ses proches se decline avec une eclatante luminosite dans le Requiem for my Friend de Zbigniew Preisner. Le Kyrie Eleison illustre l’espoir à chaque mesure lorsque l’orgue, un instant arrête par la resistible funestete de la mort, reprend sa progression comme une marche funèbre d’une incroyable tenacite vers la lumière.
L’originalite de la deuxième partie où le compositeur de musiques de films laisse eclater son art me subjugue par la force heureuse qui imprègne ces moments de douleur.
Dans le Prayer final qui se deroule sur une note continue, la volonte obstinee de la vie ne s’eteint qu’avec peine quand tout s’arrête. Et peut-être même continue-t-elle par une sorte de permanence auditive.
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VERDI:AIDA

Prix : EUR 62,95

VERDI:AIDA Reviews and Opinions

11 internautes sur 11 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
belle performance!, 29 janvier 2005
Par Mario "styveb" - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : Verdi : Aïda (coll. Decca Legends) (CD)
cette Aïda est très agreable à ecouter tant le son est excellent et tant la distribution est equilibree. le choeur est parfait et l’orchestre en symbiose avec son chef.Karajan semble le seul chef à avoir compris qu’Aïda est un opera dans lequel Verdi exigeait qu’il soit chante avec douceur, febrilite, presque toujours dans un mezzo-forte...il est vrai que les trompettes sont devenues celèbres, que les moments de choeurs sont extraordinaires, cependant Aïda reste un opera de l’intimite, des attermoiements de l’âme des personnages... Bergonzi est un Radamès plein de fougue et de sensibilite.Simionato est à mon avis la plus grande Amneris jamais entendue: elle deploie toute une palette de sonorites et d’inflexions vocales qui viennent donner du corps et de l’esprit à ce personnage très difficile et finalement le plus interessant de l’opera... sa grande scène finale (avec les prêtres qui viennent de condamner Radamès à être enterrer vivant) est un sommet de tragique et d’emotion sublime.La Tebaldi est extrêmement touchante, la voix est splendide, jamais excessive... ce n’est pas la même Aïda que celle de Leontyne Price ou même de Callas mais on s’y attache car elle nous fait y croire.Karajan est au top, tout est mene d’une main de maître!on prendra un reel plaisir à ecouter et à reecouter cette version d’AïdaBravo!
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8 internautes sur 9 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
L’AIDA DU SIECLE, 12 juillet 2001
Par Un client
Ce commentaire fait reference à cette edition : Verdi : Aïda (coll. Decca Legends) (CD)
C’est une Aïda sublime que nous offre ici ce superbe enregistrement; En premier lieu un philharmonique de Vienne des grands jours dirige par ce genie qu’etait Karajan, les tempi sont parfaits et l’orchestre est d’une precision sans pareille. Il accompagne merveilleusement une distribution splendide: la Tebaldi, bien qu’un peu froide, est la plus belle Aïda sur le plan vocal, Bergonzi est d’une intelligence rare, simionato est absolument dechainee; Le tout servi par une prise de son d’une rare qualite (la même que celle de la Tosca de Karajan en 1962), sublimant l’ensemble. La meilleure Aïda du siècle.
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Aida superstar, 12 octobre 2009
Par Mario Salvini (France) - Voir tous mes commentaires(TESTEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Verdi : Aïda (coll. Decca Legends) (CD)
La distribution parle d’elle même...Verdi est bien servi par ses inteprêtes...Aida est parfaite...Bergonzi est un très bon Radamès...l’ensemble est excellent et dirige par Von Karajan ..c’est dire la qualite de cette integrale.
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La Forza del destino

Prix :

La Forza del destino Reviews and Opinions

7 internautes sur 7 ont trouve ce commentaire utile :
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La Price dans un de ces plus grands rôles: royale!, 27 janvier 2005
Par Mario "styveb" - Voir tous mes commentaires
Ce commentaire fait reference à cette edition : La Forza del destino (CD)
je ne vous cacherai pas qu’entre Maria Callas et Leontyne Price mon coeur balance.cette voix... d’une chaleur, d’une beaute incroyable, indescriptible!Price possède une voix assez rauque, ce qui donne à ses aigus une puissance parfois deroutante!parlons d’abord de Verdi... il reussit là un coup de maître car la pièce dont s’inspire le livret de la Forza est un texte repute injouable, impossible à representer... c’est mal connaître Verdi qui pensait que la musique etait là justement pour prendre le relai, là où le theâtre trouvait ses limites, la musique traçait un chemin... et c’est vrai, l’histoire est assez eclatee dans l’espace, les actions s’entrecroisent, la narration est très particulière; on reproche d’ailleurs beaucoup à Verdi cette scène festive à la fin de l’acte dit "d’Alvaro", les chefs ont estime que ce n’etait pas sa place... je trouve au contraire qu’achever de cette manière est d’une ironie absolument justifiee et permet une bonne respiration avant d’attaquer le dernier acte qui est quand même l’acte proprement dit de la FORCE du destin!!!James Levine, maître du Met pendant des decennies, est parfait... peut-être un peu trop car on sent que la partition n’a plus aucun secret pour lui, ainsi parfois ça manque un peu d’âme mais jamais de puissance et de tension, necessaires en effet pour nous faire adherer à une telle histoire.d’ailleurs son ouverture est une des plus reussies car executee avec brio et eclat!Placido Domingo est un des meilleurs Alvaro qui soit, à mon goût. très credible, il n’est pas le tenor jeune premier qui a tendance à nous ennuyer comme cela peut nous arriver avec certains tenors qui chantent Puccini avec force de pathetisme larmoyant.Leontyne Price est elle aussi parfaitement maîtresse du rôle, elle connaît bien Leonora; elle chante et on ne sent pas d’effort, de crispations, c’est rond, ça coule, c’est beau...la scène "son giunta" est pour moi un des plus beaux moments d’opera qui existe; Verdi touche au divin: le chant religieux du choeur des moines mêle à la prière de la soprano, c’est poignant! (a-t-il en tête le "Libera me" du Requiem)un scoop: le "Pace...Pace mio Dio" est pour moi la plus belle page de ce que Verdi a pu composer et Leontyne Price est la soprano qui en donne la plus belle realisation! c’est vrai... c’est magnifique, c’est... ecoutez et jugez par vous-même!si on veut faire decouvrir l’Opera à un ami,je crois qu’il lui faut faire ecouter cette romance...Price n’est pas aussi grande comedienne que Callas, cependant sa voix est tellement captivante que ce qu’elle chante, elle nous le rend credible, vivant et palpable. j’aime cette enregistrement car toute la distribution est excellente; une mention speciale pour cette artiste que j’aime particulièrement et qui est pour moi la seule vraie mezzo-soprano verdienne qui compte, c’est Fiorenza Cossoto! une voix magnifique, un timbre reconnaissable entre tous, une sensiblite et une puissance au service de la verite du personnage( de tous les personnages, car vous pourrez en juger dans le Trouvère egalement).
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5.0 etoiles sur 5
le meilleur de verdi, 13 mars 2011
Par Gracieux "fan des templiers" (donzenac,france) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : La Forza del destino (CD)
J’adore l’opera, en particulier Verdi et en particulier "la force du destin". Je me suis donc regale en renouvelant en CD ce que j’avais en vinyl, par quelqu’un d’autre. Cet album est superbement interprete, bref, je le conseille.....
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Chopin Complete Edition

Prix : EUR 36,99

Chopin Complete Edition Reviews and Opinions

18 internautes sur 18 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Jean yves fou de Chopin, 25 avril 2010
Par M. Jean Yves Miller "suedama" (france) - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Chopin : Complete Edition (Coffret 17 CD) (CD)
une edition superbe.Les meilleurs interprètes de Chopin sont ici presents pour notre plus grand bonheur.Pollini,Zimmerman,Argherich,....tous au sommet.Et surtout une decouverte pour moi:Yundi Li:que d’emotions dans son interpretation... quelle finesse dans son jeu,difficile de revenir sur terre après l’avoir ecoute,.Une petite reserve sur les Nocturnes de Maria joao Pirès , mais je pense que cela vient surtout de la prise de son très metallique à mon sens :ce qui enlève beaucoup au plaisir que l’on attend de ces nocturnes.Pour finir un coffret qu’il faut absolument decouvrir ou redecouvrir,le tout pour un prix très competitif.
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4 internautes sur 4 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
L’integrale d’un genie, 23 avril 2011
Par Cymus - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
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L’annee 2010 fut l’annee Chopin, l’annee du bicentenaire de sa naissance, et fut l’occasion de la sortie de nombreuses reeditions d’enregistrements sous forme d’integrales ou de quasi integrales. On peut notamment citer celle des enregistrements Chopin de Samson François chez EMI (reprise dans l’integrale de tous les enregistrements de ce pianiste legendaire), celles de l’½uvre de Chopin d’EMI et Brilliant Classic . On peut ajouter la très belle integrale, plus recente, de son ½uvre sur instruments d’epoque editee par le Frydiryk Chopin Institute (Real Chopin: Complete Works on Period Instruments).
Et puis il y a celle de Deutsche Grammophon.
Celle-ci se presente dans un coffret sobre et elegant, comme à l’habitude de l’editeur allemand, reunissant outre un livret un peu leger (comprenant le detail des disques, une petite presentation du compositeur et une courte chronologie), 17 CD dans des pochettes cartonnees blanches.
On peut être etonne de ce que l’½uvre d’un tel genie ne tiennent que dans 17 disques, surtout par comparaison avec les integrales monumentales de Bach, Mozart ou Beethoven. C’est sans doute parce que Chopin n’avait pas besoin de composer pour vivre, et n’etait pas tenu de produire de la musique pour satisfaire un employeur ou un mecène. Et il est vrai que toute son ½uvre est d’une qualite d’une remarquable constance. Toute mazurka ou etude ou tout prelude est une merveille.
Quand on ne connait pas très bien l’½uvre du compositeur, on peut egalement être surpris de ne trouver dans son integrale que très peu d’½uvres non purement pianistiques : très peu d’½uvres orchestrales ou de musique de chambre. C’est que Chopin avait fait du piano un instrument de predilection qui suffisait à assouvir sa verve creatrice. Il est sans doute, avec Liszt, celui qui a pousse la technique du piano le plus loin. Il faut ajouter que, quelque soit le genre auquel il s’adonne, il est un melodiste merveilleux et incomparable.
Cette integrale rend particulièrement bien hommage au genie de Chopin, reunissant les meilleurs specialistes du compositeur romantique.
Pour se faire une idee :
Krystian Zimerman pour les concertos pour piano et les ballades ; Maurizio Pollini pour les etudes, les polonaises, la barcaroles op. 60, la berceuse op. 57, les scherzos et les sonates ; Vladimir Ashkenazy pour les mazurkas et les valses; Maria Joao Pires pour les nocturnes (d’une beaute renversante) ; Rafal Blechacz pour les preludes, Yundi Li pour les impromptus; Mstislav Rostropovich et Martha Argerich pour l’introduction et la polonaise brillante pour violoncelle et piano et pour la sonate pour violoncelle et piano; Elzbieta Szmytka, soprano, et Malcolm Martineau au piano pour les chansons, etc.
On voit qu’il s’agit bien d’une très belle integrale vivement recommandee, à la hauteur de celui qui l’a inspiree.
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Simpson: Les Symphonies (Intégrale)

Prix : EUR 19,98

Simpson: Les Symphonies (Intégrale) Reviews and Opinions

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Les symphonies de Robert Simpson, très bien interpretees, 26 fevrier 2009
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
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Les cent dernières annees ont vu la composition de plusieurs cycles de symphonies de très grande qualite, depuis celui de Guy Ropartz (1864-1955) à celui de Erkki-Sven Tüür (ne en 1959), en passant par celui d’Alexandre Glazunov (1865-1936), de Jean Sibelius (1865-1957), de Wilhelm Peterson-Berger (1867-1942), de Charles Tournemire (1870-1939), de Ralph Vaughan Williams (1872-1958), de Hugo Alfven (1872-1960), de Charles Ives (1874-1954), d’Havergal Brian (1876-1972), de Natanael Berg (1879-1957), de Jan van Gilse (1881-1944), de Karl Weigl (1881-1949), de Nikolaï Miaskovsky (1881-1950), de Georges Enesco (1881-1954), de Gian Francesco Malipiero (1882-1973), de Maximilian Steinberg (1883-1946), d’Arnold Bax (1883-1953), d’Egon Wellesz (1885-1974), de Vladimir Shcherbachov (1887-1952), d’Heitor Villa-Lobos (1887-1959), d’Ernst Toch (1887-1964), de Kurt Atterberg (1887-1974), de Bohuslav Martinü (1890-1959), de Serge Prokofiev (1891-1953), d’Arthur Honegger (1892-1955), de Darius Milhaud (1892-1974), de Jean Absil (1893-1974), d’Erwin Schulhoff (1894-1942), de Walter Piston (1894-1976), de Paul Hindemith (1895-1963), de Boris Lyatoshinsky (1895-1968), de William Grant Still (1895-1978), d’Howard Hanson (1896-1931), de Richard Flury (1896-1967), de Roger Sessions (1896-1985), de Jean Rivier (1896-1987), d’Alexandre Tansman (1897-1986), de Roy Harris (1898-1979), de Marcel Mihalovici (1898-1985), de Robert Casadesus (1899-1972), de Carlos Chvez (1899-1978), de George Antheil (1900-1959), d’Ernst Krenek (1900-1991), d’Edmund Rubbra (1901-1986), de Conrad Beck (1901-1986), de Vissarion Chebaline (1902-1963), de Gavriil Popov (1904-1972), de Karl Amadeus Hartmann (1905-1963), d’Eduard Tubin (1905-1982), de William Alwyn (1905-1985), d’Eugène Bozza (1905-1991), de Benjamin Frankel (1906-1973), de Dmitri Chostakovitch (1906-1975) bien sûr, mais aussi de Paul Creston (1906-1985), d’Arnold Cooke (1906-2005), d’Ahmed Adnan Saygun (1907-1991), de Camargo Guarnieri (1907-1993), de Miloslav Kabelc (1908-1979), de Vagn Holmboe (1909-1996), de William Schuman (1910-1992), d’Allan Pettersson (1911-1980), d’Alan Hovhaness (1911-2000), de Donald Gillis (1912-1978), de Daniel Jones (1912-1993), de George Lloyd (1913-1998), d’Humphrey Searle (1915-1982), de Vincent Persichetti (1915-1987), de David Diamond (1915-2005), d’Isang Yun (1917-1995), de Richard Arnell (ne en 1917), de George Rochberg (1918-2005), de Lex van Delden (1919-1988), de Cludio Santoro (1919-1989), de Mieczyslaw Weinberg (1919-1996), de Galina Oustvolskaïa (1919-2006), d’Alexander Lokshin (1920-1987), de Peter Racine Fricker (1920-1990), de Malcolm Arnold (1921-2006), de Francis Thorne (ne en 1922), d’Ezra Laderman (ne en 1924), d’Hans Werner Henze (ne en 1926), d’Einojuhani Rautavaara (ne en 1928), d’Avet Terterian (1929-1994), de John Davison (ne en 1930), d’Aubert Lemeland (ne en 1932), de David Morgan (ne en 1932), de Jaan Rääts (ne en 1932), d’Easley Blackwood (ne en 1933), de Jacques Charpentier (ne en 1933), de Krzysztof Penderecki (ne en 1933), d’Alfred Schnittke (1934-1998), de Peter Maxwell Davies (ne en 1934), de Guia Kantcheli (ne en 1935), d’Aulis Sallinen (ne en 1935), de Philip Glass (ne en 1937), de Valentin Silvestrov (ne en 1937), de William Bolcom (ne en 1938), de John Harbison (ne en 1938), de William Thomas McKinley (ne en 1938), de Boris Tishchenko (ne en 1939), de Leif Segerstam (ne en 1944), de Peteris Vasks (ne en 1946), de Jean-Claude Wolff (ne en 1946), ou bien encore de Kalevi Aho (ne en 1949), sans compter de nombreux chef-d’oeuvres isoles. Plusieurs des onze symphonies que nous a laisse Robert Simpson (1921-1997) sont tout à fait interessantes.
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 Remarques sur ce commentaire (4)

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Stravinsky: The Firebird; Fireworks; The Song of the Nightingale; Tango; Scherzo ? la russe

Prix : EUR 9,99

Stravinsky: The Firebird; Fireworks; The Song of the Nightingale; Tango; Scherzo ? la russe Reviews and Opinions

1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Le feu aux poudres, 5 juillet 2006
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : STRAVINSKY : L’oiseau de feu (ballet integral ), Feux d’artifice, Le Chant du Rossignol (CD)
La direction survoltee de Dorati exacerbe les contrastes de "L’Oiseau de feu" au detriment de la douce seduction onirique qui baigne le conte.
Les couleurs crues de l’orchestre, l’esprit toujours en alerte du chef hongrois et la nervosite de sa battue scrutent avec une acuite incomparable les dissonances de la partition et laissent loin derrière les interpretations impressionnistes qui paraissent en comparaison bien fades.
C’est sans doute le plus grand merite de Dorati de porter l’oeuvre à son point d’incandescence sans jamais s’en servir comme faire-valoir. Qui d’autre que lui pourrait embraser la "danse de Kastcheï" avec autant de brio et de maîtrise
Dans le "Chant du Rossignol", Dorati est plus à son affaire dans la description trepidante de la Cour imperiale que dans le jeu subtil du rossignol mecanique : sa direction poudreuse, d’une absolue secheresse rythmique, son geste raide et cinglant entraînent le Symphonique de Londres, aux couleurs plus crues que jamais, dans une lecture à la fois pointilliste et bruitiste qui parvient à maintenir de bout en bout suspense et tension.
Cette version coruscante trône toujours au sommet avec celle, plus sophistiquee, du jeune Maazel et celle, plus poetique, d’Ansermet.
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2 internautes sur 5 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
Un sommet de la discographie, 21 janvier 2003
Par Artur M. Nogueira "arturn" - Voir tous mes commentaires(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : STRAVINSKY : L’oiseau de feu (ballet integral ), Feux d’artifice, Le Chant du Rossignol (CD)
Parmi les gravures existants de cette oeuvre, cette ci est sans doute un sommet.Le programme est genereux et les complements interessants.Malgre les tempos trop soutenus, Dorati parvient a mettre en relief le moindre detail de l’oeuvre .Quant a la prise de son ( dans le final des annes 50, debut des anees 60 ) c’est tres bon ( un peu de souffle, mais...)et on souhaiterai trouver cette qualite dans les oeuvres actuelles.
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String Quartets

Prix : EUR 43,95

String Quartets Reviews and Opinions

1 internaute sur 1 a trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Captee à Stuttgart pour Deutsche Grammophon voilà plus de trente ans..., 19 novembre 2010
Par Melomaniac (France) - Voir tous mes commentaires(COMMENTATEUR N° 1)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : String Quartets (CD)
...cette meritoire integrale (la toute première fixee au disque je crois) n’hesita pas à se pencher sur les manuscrits originaux pour parfaire son exegèse, en respectant les specificites de chaque opus.
Ecrits entre 1814 et 1837, ces six Quatuors constituent une singulière synthèse entre le style contrapuntique austro-allemand (Haydn, Beethoven...) et les genres plus extravertis du Quatuor concertant (importe par Boccherini avant la Revolution et laissant briller la virtuosite des instruments) et du Quatuor brillant prône par Viotti et Pierre Baillot.
Datant de 1814, le theâtral Premier quatuor (ecoutez la quatrième variation du Larghetto à 6’40) ne fut joue qu’en 1826 mais devint fort apprecie au cours du XIX° siècle, notamment de Schumann. Le violon de Wilhelm Melcher y trouve ici la claire eloquence que reclame les elans solistes.
Quinze ans plus tard, alors que Cherubini etait devenu directeur du Conservatoire de Paris depuis 1822, le Second retravaille le materiau de sa Symphonie en re majeur. L’interpretation se montre aussi attentive à la solidite de l’architecture qu’aux changements de climats : dans l’episode median en ut mineur du Scherzo, notez la subtilite des pizzicati de Peter Buck.
La Monarchie de juillet s’etait installee. A soixante-dix ans passes, le compositeur avait definitivement delaisse la creation d’operas pour se concentrer sur la production instrumentale et la musique sacree quand il ecrivit les quatre quatuors suivants.
Les Melos ne cherchent pas à enjoliver la severite du Troisième (ainsi le fugato du Scherzo, souvenir du contrepoint acquis avec Giuseppe Sarti pendant les jeunes annees d’apprentissage à Bologne) mais ils trouvent dans le Quatrième (le plus long et eminent de la serie) des textures autrement riches, des nuances mieux brossees, des couleurs plus seduisantes. La prise de son les aide en cela : parmi les quatre sessions d’enregistrement, celle de fevrier 1975 s’epanouit genereusement, les autres s’averant un peu sèches quoique pregnantes.
L’influence viennoise rayonne dans le Cinquième dont le Finale rappelle le troisième "Razoumovski" (opus 59) de Beethoven, comme souligne Ludwig Finscher dans la notice qui accompagnait dejà la parution en disques vinyles.
Les quatre archets allemands y font sentir l’orante interiorite de l’Adagio, et recreent magiquement les chatoyants effets au coeur du Scherzo (2’08) : l’archet de Melcher chante comme une alouette sur les tremolos que ses coequipiers jouent « près du chevalet ».
La maîtrise formelle caracterise le Sixième, acheve à soixante-seize ans, ce qui constitue un accomplissement du style classique de l’auteur, sans qu’on n’y decèle aussi une certaine liberte d’elaboration thematique : le Finale cite des extraits des trois mouvements precedents.
Les accords qui concluent l’Andantino comme un tomber de rideau nous montrent que Cherubini n’avait pas oublie l’importance de l’effet de scène !
On a trop souvent dit que ces oeuvres etaient academiques et pas toujours suprêmement inspirees. Redecouvrons leur dramatisme et leur reelle carrure.
Pour cela, notez que cette même integrale a ete recemment reeditee par le label Brilliant.
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Intégrale Des Symphonies

Prix : EUR 41,87

Intégrale Des Symphonies Reviews and Opinions

4 internautes sur 4 ont trouve ce commentaire utile :
4.0 etoiles sur 5
Requiem pour un ami, 7 decembre 2010
Par Priscilla (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Integrale Des Symphonies (CD)
La disparition toute recente de Rudolf Barshai est passee inaperçue; d’ailleurs s’il ne m’avait pas emue dans les "Notes interdites" de Bruno Monsaingeon, je crois que moi aussi, j’aurai continue à l’ignorer. Le coffret à sa gloire dans la serie des Archives russes de Brilliant est un fouillis pas possible. Son legs, son grand oeuvre, à part la creation de la 14e de Chostakovitch, c’est CE boîtier enregistre à Cologne dans d’excellentes conditions, techniquement meilleures par exemple que le boîtier Jansons, à peu près contemporain mais plus mediatise. A tort !!! J’aime la force brute de Kondrachine, la violence debridee de Rozhdestvensky et - un peu moins - la somptuosite des disques d’Haitink, enfin ceux d’Amsterdam du moins - (pour ne parler que des integrales), j’aime aussi l’humanite et les couleurs plus claires qu’obscures qui se degagent de ces 15 symphonies par Barshai. Ce parti-pris d’antigrandiloquence (le mot n’est pas bien choisi, j’avoue) peut avoir ses limites (la 8e ne laisse pas d’impression durable ici), ce Chostakovitch si different, chantant, presque doux (la Leningrad la plus musicale car la plus "humaine" est peut-être ici; à noter egalement une magnifique 11e, symphonie que je trouve de plus en plus attirante) a une hauteur de vue qui n’est pas donnee au tout-venant. J’imagine que Barshai, qui a attendu la mort de Chostakovitch pour quitter l’URSS, y a mis tout son coeur. Absence totale de calcul, de frime. Du coeur, seulement du coeur.
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Die Walkure

Prix :

Die Walkure Reviews and Opinions

4.0 etoiles sur 5
une Walkyrie à part, 10 août 2011
Par earthlingonfire - Voir tous mes commentaires(TESTEURS)
  
(TOP 50 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Die Walkure (CD)
Cette Walkyrie celebrissime est presentee dans le Guide des operas de Wagner comme tout bonnement la meilleure integrale de studio. Avec presque 40 ans de recul, on peut tout de même se permettre de moderer ce jugement. Par rapport à Solti et Leinsdorf, pour ne rien dire des versions posterieures, elle a certes l’avantage d’un concept d’ensemble qui lui assure une identite definie dans la memoire de l’auditeur. La transparence, la finesse et l’ampleur de l’image orchestrale est certes sans precedent et c’est bien un gain car, pour paraphraser Fischer-Dieskau, qui s’y connaît, chez Wagner, l’orchestre n’accompagne pas la voix mais c’est le chant qui se greffe sur l’orchestre. Pour autant, l’Orchestre philharmonique de Berlin est quand même bien rutilant et apprête. Le bilan vocal est quant à lui en demi-teintes, mal gre qu’on en ait. D’abord, les tempi très moderes obligent les chanteurs à tenir chaque note et chaque syllabe un peu trop longtemps pour que la parole ne succombe pas à la musique, contrairement au miracle de Bruno Walter ou Clemens Krauss, à savoir l’impression d’entendre les personnages parler et non les chanteurs chanter. Gundula Janowitz est surdistribuee, sans appel : sa voix, placee en exergue artificiellement par le mixage pour ne pas être totalement noyee dans l’orchestre, a de ce fait quelque chose de surnaturel au mauvais sens du terme. Son interpretation est certes d’une fraîcheur appreciable, mais sans la passion de Lehmann, Rysanek ni même Resnik, cette fraîcheur tourne à la fadeur. Que reste-t-il donc d’elle Son timbre Mais sa voix etant forcee à ce point au-delà de ses possibilites reelles, il n’a jamais paru moins beau. Vickers, Siegmund ideal pourtant, se prend lui aussi les pieds dans l’allongement des valeurs, qui lui permet de minauder. Crespin, elle, s’en sort admirablement, et on ne peut que regretter que Karajan se soit rabattu pour le 3° acte de Siegfried, pourtant plus court et plus lyrique, sur Dernesch, pourtant moins bien dotee. Josephine Veasey est quant à elle une excellente Fricka, et le meilleur de ce coffret est peut-être le Wotan de Thomas Stewart. Si sa voix n’est fondamentalement ni plus grande ni plus etendue que celle de Fischer-Dieskau, elle est en revanche plus corsee, moins claire, ce qui la rend plus credible dans les emplois heroïques, sans même parler de l’interpretation, bien moins manieree mais tout aussi nuancee et riche de sens. Confirmant et completant ses magnifiques Amfortas et Sachs, voilà en definitive la grande reussite de cette tentative d’allègement des standards wagneriens.
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Tannhäuser (coll. Wagner Edition)

Prix : EUR 89,55

Tannhäuser (coll. Wagner Edition) Reviews and Opinions

2 internautes sur 2 ont trouve ce commentaire utile :
3.0 etoiles sur 5
Du grand Windgassen, 13 novembre 2008
Par Soulier - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
  
(VRAI NOM)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Tannhäuser (coll. Wagner Edition) (CD)
L’ouverture passee, dès que nous venons à entendre le timbre quelque peu strident et vindicatif de Venus (Bumbry), nous arrivons à expliquer sans grande difficulte l’empressement de Tannhäuser pour quitter son Venusberg...effectivement Bumbry represente assez mal la deesse de l’amour (par contre, elle aurait ete parfaite dans le rôle de Fricka). Windgassen, eloquent et plein de charme, habite le rôle de Tannhäuser avec une sorte d’etrange melancolie, sorte de « Sehnende » typiquement germanique. La direction de Sawalisch, moins electrisante que certaines autres grandes versions, apporte cependant une coherence certaine, creant une osmose evidente entre les grandes voix que sont celles de Windgassen, Silja, Greindl, Nienstedt et l’orchestre du Festspiele. Concernant Nienstedt, et à titre de comparaison, il n’apporte pas la lourdeur chevrotante de Bailey de la version Solti par exemple. Pour continuer le jeu des comparaisons, Windgassen se veut certes (quoique les conditions d’enregistrement soient vraiment differentes) moins eclatant que Kollo, mais habite le rôle avec beaucoup plus de psychologie. Le dernier acte, interprete avec une sorte d’emotion cassee, de lassitude melancolique, prouve la comprehension accrue de l’oeuvre par Windgassen, contrebalançant une technique dès fois legèrement incertaine à la faveur d’une intelligence d’interpretation evidente.
Malgre le timbre fort agreable de Silja, il est vrai qu’elle en fait souvent trop, usant de sa puissance de manière (presque) quasi-systematique. Sa lecture de l’oeuvre est quelque peu antinomiste avec celle de Windgassen, creant de temps en temps un certain desequilibre (bon, c’est vrai, je pinaille un peu...).
Autres details, le pâtre est interprete par une femme au lieu de l’habituel jeune garçon. Certes, la grosse machine qu’est Bayreuth n’est peut-être pas fait pour accueillir un petit garçon, mais la distorsion que procure son chant ainsi que celui de la tenora avec l’arrivee massive des pèlerins cree un climat que les amateurs de musique affectionnent particulièrement. Ici, cette fameuse distorsion passe à peu près inaperçu.
Concernant le son general de cet enregistrement, il est excellent, les bruits parasites ne se faisant remarquer que très rarement.
Pour conclure, la direction ne revolutionne guère le genre (quoique le travail au niveau des cuivres est assez remarquable), mais est rehausse par l’interpretation très fine de Windgassen et, il faut l’avouer, par la puissance extraordinaire de Silja.
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4 internautes sur 5 ont trouve ce commentaire utile :
5.0 etoiles sur 5
splendide version helas indisponible, 8 septembre 2009
Par Stephane B. "Stephane B." (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 100 COMMENTATEURS)
  
Ce commentaire fait reference à cette edition : Tannhäuser (coll. Wagner Edition) (CD)
Au moment où j’ecris ce commentaire, cette splendide version n’est plus disponible en coffret isole sauf sur le marche de l’occasion à un prix exorbitant. Elle se trouve par contre dans le coffret integral Wagner edite par Decca et reprenant des versions publies jadis par ...Philips.
Cette situation est extrêmement regrettable car, sauf à accepter les doublons (il est vrai qu’à 55 ¤uros les 33 Cd...) nous sommes prives de ce qui reste plus de quarante ans après la meilleure version possible de Tannhäuser.
La meilleure version possible car il n’existe pas de version ideale ou de reference de cet opera. D’une manière generale, il est difficile , de par la longueur et la complexite des ouvrages, de parler de versions de references pour un opera de Wagner, toute version etant affaire de compromis, même en studio. C’est encore plus vrai pour Tannhäuser ou se pose en plus la question du texte, quelle version choisir Dresde, Paris, un melange des deux
C’est cette dernière option qu’avait choisi Wieland Wagner lorsqu’il remet l’ouvrage sur le metier au debut des annees 60. Il en confie la direction d’orchestre à la baguette alerte et dynamique de Sawallisch, grand specialiste du romantisme allemand, merveilleux interprête de Weber ou Schumann. Du point de vue de la direction , une reference quasi absolue. Il engage par ailleurs plusieurs paris audacieux en confiant la choregraphie à Bejart (que n’a-t-on filme l’ouvrage ! ) en choisissant Bumbry en Venus et Los Angeles en Elisabeth.
Pour la reprise de l’ouvrage en 1962 (que nous entendons ici) Wieland opère un double recentrage, en remplaçant Los Angeles par Silja et Fischer-Dieskau par Wächter. Ce double recentrage renforce la cohesion du plateau et c’est une equipe soudee autour du projet artistique qui mena ces representations au triomphe.
Car la force de cette version est avant tout une coherence sans faille ou le tout depasse la somme des parties. Si l’on ajoute que Windgassen est un Tannhäuser ideal et inegale, Silja une Elisabeth fulgurante, Wächter le meilleur Wolfram, les seconds rôles (Greindl, Stolze, Crass) parfaits, les choeurs somptueux, on comprendra que l’on est devant une très grande version. Reste le cas Bumbry, cette Venus peremptoire et autoritaire pourra deranger certaines oreilles (voir commentaire de l’internaute precedent) , pourtant le pari de W.Wagner est largement gagne, quelle presence, quelle prestance et quelle superbe voix !
Une très très grande version toujours inegalee.
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