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Florentz: LAnge du Tamaris - Lancino: Sonate pour violoncelle seul - Bacri: Suite Op. 31, No. 1 Preludio Matmorfosi - de Will Reviews and Opinions
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5.0 etoiles sur 5
Des oeuvres pour violoncelle absolument remarquables, très bien interpretees, 9 janvier 2010
Par JRL (France) - Voir tous mes commentaires(TOP 500 COMMENTATEURS)
Ce commentaire fait reference à cette edition : Werke für Violoncello solo (CD)
Jean-Louis Florentz est ne à Asnières en 1947. De 1971 à 1975, il fut elève au Conservatoire de Paris, et eut comme professeurs Olivier Messiaen (1908-1992), Pierre Schaeffer (1910-1995) et d’Antoine Duhamel (ne en 1925). Pensionnaire à la Villa Medicis à Rome de 1979 à 1981, il enseigna en 1981 et 1982 la composition et la musique africaine occidentale au Kenyatta University College de Nairobi (Kenya). Il devint alors professeur d’analyse des musiques de tradition orale au Conservatoire National Superieur de Musique de Lyon, jusqu’en 2000. Il a en outre ete elève-titulaire à l’Institut d’etho-musicologie des communications animales de l’Ecole Pratique des Hautes-Etudes où il a travaille en particulier sur les polyphonies des oiseaux en milieu equatorial. Il est mort à Paris en 2004. D’un caractère rugueux et passionne, solitaire, Florentz etait un artiste profondement libre et independant. Parmi ses oeuvres majeures, on peut citer le « Magnificat - Antiphone pour la Visitation » pour tenor, choeur mixte et orchestre Op. 3 (1980), les « Laudes - Kidân za-nageh », sept pièces pour orgue Op. 5 (1985), « Debout sur le Soleil », chant de resurrection pour orgue Op. 8 (1990), « Asmarâ » pour choeur mixte à cappella Op. 9 (1992), « Le Songe de Lluc Alcari » pour violoncelle et orchestre Op. 10 (1994), « L’Ange du Tamaris » pour violoncelle solo Op. 12 (1995), « Les Jardins d’Amenta », conte symphonique pour grand orchestre Op. 13 (1997), « L’Enfant des Iles », poème symphonique pour grand orchestre Op. 16 (2002), et « Qsar Ghilâne, ou Le Palais des Djinns », poème symphonique pour orchestre Op. 18 (2003).
Thierry Lancino est ne en 1954 à Civray (Vienne). Il etudie la litterature et la musique à l’universite de Poitiers, et la composition au Conservatoire national superieur de Paris. Après avoir termine des travaux de recherche dans les universites aux États Unis, il est invite en 1981 par Pierre Boulez (ne en 1925) à rejoindre l’equipe de l’IRCAM au Centre Pompidou à Paris. En 1988, il est nomme pensionnaire de l’Academie de France à Rome et reside à la Villa Medicis pendant deux annees. Parmi les oeuvres majeures qu’il a compose à ce jour, on peut noter « Profondeurs de Champ » pour clarinette basse, orchestre et bande (1984), un Trio à Cordes (1989), un Quintette de Cuivre (1993), une Sonate pour violoncelle seul (1995), un « Divertimento » pour orchestre (1997), « Salve Regina » pour voix seule et bourdon (1998), « L’Esprit et l’Eau » pour baryton et quatuor à cordes sur un texte de Paul Claudel (1999), « Vanishing Point » pour clarinettes et deux percussions (2002), « Preludes, Etudes et Inventions » pour piano (2005), un Concerto pour violon et orchestre (2005), ou bien encore « Who is the Third » pour chaeur mixte a cappella sur un texte de T. S. Eliot (2008) ; son « Requiem », ecrit en collaboration avec Pascal Quignard, a ete cree avec un grand succès auprès du public Salle Pleyel, le 8 janvier 2010.
Ne à Paris en 1961, Nicolas Bacri a ete admis au Conservatoire National Superieur de Musique de Paris en 1980, où il a ete l’elève de Louis Saguer (1907-1991), Claude Ballif (1924-2004), Serge Nigg (ne en 1924), Michel Philippot (1925-1996) et Marius Constant (1925-2004). Pensionnaire de la Villa Medicis de 1983 à 1985, il a ete initialement marque par la Seconde ecole de Vienne, par celle de Darmstadt, et particulièrement par la musique d’Elliott Carter (ne en 1908) ; mais, suite à sa rencontre avec Giacinto Scelsi (1905-1989), considerant de plus qu’il « est naturel qu’un artiste reexamine ce que les artistes dominants de la generation precedente tiennent pour acquis », Bacri va progressivement se liberer de cette première influence à partir de 1985, pour aboutir vers 1987, sans intention polemique, à « l’examen de possibilites de renouement avec la pensee symphonique tonale elargie », une tonalite non fonctionnelle dans une musique cependant faite de « sons s’attirant ou se repoussant, de tensions et de detentes harmoniques et rythmiques », passant ainsi « d’un langage polyphoniquement hypertrophie (1980-85) à un langage assez clair et melodique [après 1987] ». A la première periode de creation de Bacri appartiennent, en particulier, ses Quatuors à cordes N° 1 Op. 1 dedie à Michel Philippot (1980) et N° 2 Op. 5 (1982), le Concerto pour violon et vingt et un instruments Op. 7 (1983) et la première Symphonie Op. 11 dediee à d’Elliott Carter (1984). Le Concerto da camera quasi una sinfonia piccola « Notturni » pour sept instrumentistes et soprano Op. 14 (1986), le Concerto pour violoncelle Op. 17 (1987) dedie à Henri Dutilleux (ne en 1916), le troisième Quatuor à cordes Op. 18 « Esquisses pour un Tombeau » (1988) et le Concerto pour clarinette « Capriccio Notturn » Op. 20 (1987) appartiennent quant à eux à la periode intermediaire. Depuis, Nicolas Bacri a notamment compose ses Symphonies N° 2 « Sinfonia dolorosa » Op. 22 (1990), N° 3 « Sinfonia da Requiem » pour chant, choeurs et grand orchestre Op. 33 dedie « à la gloire d’Abraham » (1994), N° 4 « Sturm und Drang » Op. 49 (1995), et n° 6 Op. 60 dediee à Serge Nigg (1998), le Requiem « Musica notturna n° 1, 2 et 3 in memoriam Dmitri Chostakovitch » pour alto, ou violoncelle, et orchestre de chambre Op. 23 (1988), le Sextuor à cordes Op. 36 dedie « à la memoire de Louis Saguer » (1992), le Divertimento Op. 37 pour clarinette et trio à cordes (1992), les Concertos pour trompette N° 1 Op. 39 (1992) dedie à Sir Michael Tippett (1905-1998), et N° 2 Op. 65 (2000), la Sonate pour violon et piano Op. 40 (1994), ses Quatuors à cordes N° 4 Op. 42 (1994, rev. 1996), N° 5 Op. 57 (1997) dedie Quatuor Danel, et N° 6 Op. 97 dedie au Quatuor Psophos (2006), la Cantate n° 4 Op. 44 (1995) sur le Sonnet 66 de William Shakespeare, « Une prière » pour alto, ou violoncelle, ou violon « à la memoire des martyrs juifs de tous les temps » Op. 52 (1997), le Concerto da Camera pour clarinette et ensemble à cordes Op. 62 (1999), le Concerto pour violon N° 3 Op. 83 (2003), ou bien encore la Suite N° 6 pour violoncelle seul Op. 88 (2004).
- L’Ange du Tamaris (Jean-Louis Florentz) ;
- Sonate pour violoncelle seul (Thierry Lancino) ;
- Suite pour violoncelle seul, Op.31 (Nicolas Bacri) ;
- Sonate pour violoncelle seul (Dominique de Williencourt).
Dominique de Williencourt, violoncelle.
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